Identité - Camille, ambiguïté, mixité du prénom qu’il se plaît à entretenir, ni homme, ni femme. Camille aime la surprise sur le visage de ses interlocuteurs, la première fois qu’il les rencontre, quand ils s’aperçoivent que Camille n’est pas féminin. C'est au moins une des choses que ses géniteurs parents ont su bien choisir, pour cet enfant qui dévoue maintenant sa vie à son coven, bien que la signification laisse un peu à désirer, un enfant de chœur, vraiment ? En voilà une jolie signification pour le mouton noir (devenu gris) de la famille.
Barton, quant à lui est un patronyme qu'il a longtemps détesté car trop lourd à porter pour un enfant malmené, délaissé par les siens. Pourtant, depuis quelques années maintenant, Camille a comprit la puissance que ce nom pouvait lui conférer auprès des hautes sphères de la ville sorcière et il s'amuse énormément depuis.
Naissance -30 années qu’il foule le sol, longue perdition dans les méandres de son esprit, de sa vie bien que certains moment de grâce viennent illuminer les temps les plus pénibles. Enfant de l’hiver comme pour rappeler ses origines des pays de l’est. Premier cri poussé le 20 décembre 1993 dans Édimbourg sorcier, il n’a de cesse de se faire entendre depuis, au grand dam de ses proches.
Nationalité & Origines - Il y a des origines slaves, par sa mère, Camille le sait, car sa génitrice aime le rappeler à chaque fois qu'elle le peut, son géniteur, lui, est un écossais pur souche le genre bourru qui ne parle que pour dire des phrases toutes faites et pourtant blessantes.
Magie & palier - La mort n'a aucun secret pour lui, ou presque. Enfant vagabond, nécromancien de générations en générations, il n'y a plus vraiment de surprise maintenant. Si désormais Camille a atteint le deuxième pallier, ce n'était absolument pas gagné dans ses jeunes années. L'enfant avait si peur de ce monde bien sombre qu'il préférait ignorer totalement ses pouvoirs. Sa mémoire est d'ailleurs visuelle, pour venir consolider son côté artistique.
Familier - Aussi douce et colorée qu'une fleur d'orchidée, souvent posée en silence sur les vêtements de son sorcier, Morana n'est pas réellement des plus loquace, déteste presque la compagnie des vivants si ce n'est celle de son alter-égo. La petite Mantomancienne préfère de loin les esprits impalpables, tricote souvent avec ses pattes pour tenter de libérer ceux qui se retrouvent coincés ici-bas. Un familier que Camille trouve essentiel dans son métier, qu'il chérie presque plus que sa propre vie.
Tuer le temps - Effusions de couleurs, de matière, Camille est un Artiste, ceux que l'on traite bien souvent de fou, tant il est torturé, aspiré dans ses toiles, ses idées tantôt lumineuses, tantôt sombres. L’art, comme moyen de communication sur ce qui n’a de cesse de le faire souffrir depuis qu’il est né, moyen d’expression, de ses émotions malheureusement parfois un peu trop fouillis. Il a cependant laissé sa carrière artistique de côté pour rejoindre les rangs de son coven, mettant son art à contribution pour venir embellir les défunts avant leur dernier voyage, Préparateur de sommeil éternel, c'est une appellation qu'il porte avec fierté.
Philtre d'amour - Célibataire, à son grand désespoir, depuis qu'il a mit fin à ses précédentes relations. Mais c’est qu’on lui dit souvent qu’il est trop, trop passionné, trop collant, juste, trop. Et c’est vrai quand on y pense, il est trop, romantiquement ou amicalement parlant d’ailleurs, mais il est comme ça, Camille, c’est soit noir, soit blanc et une fois que son avis est fait, il est presque impossible de le faire changer sa vision, à moins qu'un petit détail vienne faire s'effondrer tout le mythe entourant la personne aimée ou non... Et puis, Camille ne regarde pas avec le genre, préfère regarder l'esthétique, l'aura, l'esprit, la petite étincelle qui élève pendant quelques instants un.e pauvre mortel.le qui deviendra sa muse jusqu'à la prochaine. Il est aussi de celleux qui ont trop d'amour et en demande beaucoup également, l'artiste n'est en rien exclusif, se laisse porter là où son cœur et ses muses le porte.
L'enfer c'est les autres - expansionniste jusqu'aux bouts des ongles mais pas parce qu'il imagine un monde parfait où sorcier.ères et humain.es vivraient en parfaite harmonie. Il croit par contre en la suprématie de la magie et trouve ça vraiment triste qu'on ne puisse pas montrer à des insectes l'étendue de ses pouvoirs.
FC & Crédits - Yuri Pleskun (aftermathstuff)
résumé
Deuxième enfant de la famille Barton, il a longtemps été le mal-aimé, celui qui faisait honte à sa famille pour tout un tas de raisons plus ou moins absurdes. Il partira à ses 10 ans en France pour continuer ses études chez sa tante qui accepte de le garder avec elle. C'est là qu'il découvrira réellement l'art et qu'il décidera d'en faire son métier plus tard. Une fois le diplôme en poche, Camille ne retourne pas en Écosse pour autant et entre aux Beaux-Arts, devenant en parallèle un artiste de plus en plus connu. Ce n'est qu'à ses 25 ans qu'il reviendra dans la ville sorcière de son enfance, devenant ainsi le fils prodige après que son grand-frère ait préféré fuir avec une humaine. Il devient également préparateur de sommeil éternel pour son coven.
vrac
Peur bleue du noir, comme un enfant. Ce qui est bien paradoxal, quand on sait qu'il aime vivre la nuit. Peur maîtrisée en temps normal, incontrôlable dans ses phrases compliquées. - Artiste qui aime expérimenter, si bien que parfois, on peut découvrir des choses assez inattendues chez lui, comme un pot de confiture qui a explosé à force d’être près d’une source de chaleur... - Train de vie élevé, car il ne se pose aucune limite. Heureusement, ses économies et la vente de ses œuvres aident à suivre. -
Auto-destruction qui prend place dans sa chair, dans ses gestes, ses actes. Addictions vite arrivées pour pallier à ce que le cœur pourrait subir en surface. - Ongles souvent peints, avec du vernis, car ainsi, le peintre est persuadé qu'il arrêtera de se les ronger, ce qui ne marche absolument pas - Inventeur de mot, pour qualifier certaines émotions ou situations, parce qu'il estime que ceux existants ne sont pas assez forts ou adaptés à ce qu’il veut décrire. - Tendance à la fête il ne refusera jamais d'y aller, même s'il n'est pas sûr que l'ambiance sera au beau fixe. - Tentative de mariage arrangé, crise du peintre qui, selon ses dires, refusait de se marier avec un visage aussi asymétrique et laid. - Traces de couleur sur sa peau, en permanence. Vêtements foutus à cause de la peinture, il tente de se tenir à ceux-ci quand le génie créatif apparaît, mais souvent, c'est une chemise neuve qui y passe. - Il a beaucoup voyagé après l'obtention de son diplôme, surtout en Amérique. - Il adore l'ambiance des raves party et autre fêtes de ce genre. - La peinture reste son passe-temps quand il ne travaille pas, il a toujours son petit cercle d'admirateur.trices qui l'aide à continuer de vivre en achetant ses œuvres. - Il adore chanter des chansons nulles.
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