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oh, the drama ☾ ft. Camille

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Alasdair Galbreath
Isolationniste
Alasdair Galbreath
•☽✧☾•
As above
Trombinoscope : oh, the drama ☾ ft. Camille Nf4TQFd
Face claim : b. urie
Pronoms RP : il²
Âge : Ligne de vie à l'ichor plus assez juvénile à son goût pulsant aux artères, se fardant de [ trente-quatre ] cuvées.
Tuer le temps : Collectionne les babioles, chine des trésors qu'il ramène du monde des hommes, ouvrant fièrement au public l'antre de son [ cabinet de curiosités ] aux milles histoires qu'il se plaît à conter avec passion brûlante. [ Fouineur ] à ses heures, s'embourbe dans un tas d'enquêtes au-delà de chasser les cauchemars d'autrui.
Familier : oh, the drama ☾ ft. Camille Du7YkWD

Chétif volatile au plumage iridescent évoquant les nébuleuses et au bec sarcastique, [ étourneau sansonnet ] (sturnus vulgaris) répondant au sobriquet de Caelum.

Compte en banque : 510
Champion.ne : oh, the drama ☾ ft. Camille S3kEiEi
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oh, the drama

Je sais pas comment te dire, ce que je peux pas écrire. Faudrait que j'invente des mots qu'existent pas dans le dico. C'est toi que je t'aime (vachement beaucoup). C'est toi que je t´aime (vachement beaucoup)

Mal d'amour. Sempiternelle rengaine qui vient enserrer le myocarde des jours durant, tord les tripes emplies de friandises depuis trois jours en guise de consolation. Rêveur amoureux même des beaux mots, des douceurs et autres murmures tendres, l'hypersensibilité au teint qui rend les choses toujours trop intenses. Et même si la fêlure est en bonne partie à son initiative, il n'en éprouve pas moins l'équivalent de se casser les dents sur le trottoir en un mur de désillusions cinglantes. Un nœud de culpabilité est resté coincé à sa gargue, peinant à le ravaler, toujours trop soucieux d'autrui et peinant à blesser.

Camille est une belle âme à la sensibilité artistique pointue vibrant en chœur avec la sienne. Nécromancien dont il adule la compagnie lors de leurs après-midi à refaire le monde, se prenant pour des divinités antiques capturées entre poèmes et tableaux. Leurs étreintes furent loin d'être insipides, chérissant encore le galbe de ses chairs sous ses phalanges et ses noyades au sein de ses mires céruléennes. Leur mésaventure était pourtant restée hétérogène, incapables de se fondre dans les aspirations de l'un l'autre sans que les choses ne divergent trop. Parce que s'il y a bien une chose au monde qu'Alasdair apprécie tout autant que la romance ; son espace vital baigné de solitude. Concept abstrait qui semble échapper au préparateur de sommeil éternel, étouffant dans ses expansions tentaculaires toujours plus envahissante. Pourtant la faute n'est pas uniquement portée sur l'ombre. Lui aussi reste un sempiternel distrait s'égarant dans la lune, perdant souvent le fil des conversations.  

« C'est une mauvaise idée et tu sais déjà très bien comment ça va finir. » Pointe l'étourneau atterrissant à son épaule. « Ça ne coûte rien d'essayer. » Caelum n'a pourtant pas tord et les choses risquent de finir en vaudeville pour les voisins lorgnant au travers des fenêtres. Il aimerait arranger les choses, rabibocher leurs égos écorchés et retrouver la complicité d'il y a quelques semaines, avant leur tentative d'amourette infructueuse au possible. « Je te trouve un tantinet trop optimiste. J'espère qu'elles sont comestibles, il va te les faire manger. » le bec désigne le bouquet tenu aux pognes, ayant opté pour des fleurs aux nuances ténébreuses et échos funestes de manière à alpaguer ses pans d'artiste torturé.

Déglutition une fois au pas de la porte. « Et bien, bonne chance. » siffle le familier avant de s'envoler, préférant observer la scène du haut d'un lampadaire et possiblement pour esquiver tout projectile éventuel. Une paume replace ses mèches de jais, prenant une profonde inspiration, avant de sonner. Voyant poindre la trombine de Camille, il entame aussitôt, ayant déjà oublié le discours méticuleusement préparé durant des heures. « Avant que tu ne m'empoisonnes avec, j'aimerai te parler. » Ses arcades se sont creusées au-dessus de pupilles suppliantes, espérant que le nécromancien ne lui claque pas la porte au nez.
Camille Barton
Expansionniste
Camille Barton
•☽✧☾•
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Face claim : Yuri Pleskun
Pronoms RP : (il/he)
Âge : 30 ans
Tuer le temps : Effusions de couleurs, de matière, Camille est un Artiste, ceux que l'on traite bien souvent de fou, tant il est torturé, aspiré dans ses toiles, ses idées tantôt lumineuses, tantôt sombres. L’art, comme moyen de communication sur ce qui n’a de cesse de le faire souffrir depuis qu’il est né, moyen d’expression, de ses émotions malheureusement parfois un peu trop fouillis. Il a cependant laissé sa carrière artistique de côté pour rejoindre les rangs de son coven, mettant son art à contribution pour venir embellir les défunts avant leur dernier voyage, Préparateur de sommeil éternel, c'est une appellation qu'il porte avec fierté.
Familier : Aussi douce et colorée qu'une fleur d'orchidée, souvent posée en silence sur les vêtements de son sorcier, Morana n'est pas réellement des plus loquace, déteste presque la compagnie des vivants si ce n'est celle de son alter-égo. La petite Mantomancienne préfère de loin les esprits impalpables, tricote souvent avec ses pattes pour tenter de libérer ceux qui se retrouvent coincés ici-bas. Un familier que Camille trouve essentiel dans son métier, qu'il chérie presque plus que sa propre vie.
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Oh the drama
Date



Notre rencontre, c´était fatal, Ça s´est passé dans les Halles
TW : Dépression, pensées sombres, mention d'envie d'auto-destruction, d'addictions

Camille détestait l'amour. Enfin non, il était amoureux de l'amour et de toutes les personnes pouvant lui en donner. Mais tout de même, l'amour c'était nul, moche, ça puait. Parce qu'il n'avait pas le même amour que les autres ou du moins qu'il n'avait jamais trouvé quelqu'un comme lui et que, qu'importe les efforts qu'il faisait, Camille avait l'impression que ce n'était pas assez, qu'il faisait tout de travers, qu'il détruisait tout ce qu'il construisait avec les autres et ça, c'était blessant. Tout comme les mots qu'avait pu utiliser Alasdair pendant leur dernière dispute. Enfin, le nécromancien ne savait plus trop ce qu'il s'était dit et passé, mais il avait eu cette impression qu'on ne voulait plus de lui alors il était parti, en claquant la porte et n'avait plus donné de signe de bien ensuite.

Non, il avait préféré s'enfermer dans son atelier après avoir pleuré comme une madeleine dans son lit. Il aimait l'oniromancien, il en était sûr, parce qu'il y avait cette alchimie artistique, parce qu'il se sentait inspiré en sa présence, qu'il aimait son toucher, son air rêveur. Mais il ne l'aimait peut-être pas de la bonne façon, c'est vrai que sur ça, ils étaient totalement différents : Alasdair avait besoin de solitude là où Camille, lui, avait besoin d'une présence soutenue.

Tu n'es pas fait pour lui, après tout, comme bien souvent, d'ailleurs.

La voix résonne encore dans sa tête, alors que son cœur se serre, il reste là, le regard vide fixé sur la toile qu'il n'a de cesse de maltraité depuis qu'il s'est enfermé ici. C'est ça qui était bien au moins, ses mésaventures l'aidaient à peindre des choses bien plus sombres que certaines commandes qu'il avait en cours. Mais forcément, tout ceci remue la bouillie sombre et visqueuse qui l'enveloppe depuis quelques temps, elle est là, se nourrit de cette peine, cette peur et cette détresse, grossie a vu d'œil en murmurant bien des choses négatives à l'artiste, tout était de sa faute, après tout.

Comme d'habitude, tu gâches tout, Camille.
Tu ne le mérites pas, tu n'es qu'un moins que rien.
Pourquoi es-tu aussi ... envahissant. Tu étouffes le monde.
Celleux qui restent ont juste pitié de toi.
Tu es pitoyable.


Les blessures au palpitant s'ouvrent de nouveaux alors que les pensées sombres n'ont de cessent se tourner encore et encore, devenant plus violente à chaque minute qui passent. Le sorcier essaye de passer au travers de tout ceci, d'éloigner ces envies d'autodestruction qui se font sentir jusque sous sa peau, mais plus il tente, plus tout ceci s'intensifie, plus il perd pied. Et s'il se laissait un peu aller ? Juste un tout petit peu, pour libérer un peu ce mal qui le ronge ?

Et puis, la sonnerie salvatrice vient faire exploser la bulle néfaste qui s'était formée autour de lui. Le peintre hésite, il ne voulait voir personne, mais en même temps, l'amas visqueux risquait de revenir et si cette personne pouvait l'aider à la tenir éloignée, jute quelques secondes, c'était toujours ça de gagner. Alors, les pieds trainant Camille s'approche de la porte d'entrée, l'ouvre avec hésitation et quand son regard se pose sur celui qui était un peu à l'origine de son état actuel, son sang ne fait qu'un tour et il s'apprête à lui claquer la porte au nez. Cependant, il ne pouvait rien refuser à Alasdair, encore moins lorsqu'il lui faisait ce regard et qu'il lui avait apporté un joli bouquet.

Je ne suis pas en état pour parler.
Il a compris qu'il ne te méritait pas, il préfère se terrer dans son coin et ne plus te déranger. Ne t'en fais pas, je lui ai tout dit.


Le nécromancien secoue un peu la tête après ce petit moment d'absence qui a peut-être duré quelques secondes ou minutes, il ne savait pas vraiment, tout est-il qu'il se décale un peu, ouvre plus grand la porte pour laisser passer celui qui occupait ses pensées depuis quelques temps.

" Entre, même si bon, je ne vois pas ce qu'il y a de plus a dire. "
Alasdair Galbreath
Isolationniste
Alasdair Galbreath
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Âge : Ligne de vie à l'ichor plus assez juvénile à son goût pulsant aux artères, se fardant de [ trente-quatre ] cuvées.
Tuer le temps : Collectionne les babioles, chine des trésors qu'il ramène du monde des hommes, ouvrant fièrement au public l'antre de son [ cabinet de curiosités ] aux milles histoires qu'il se plaît à conter avec passion brûlante. [ Fouineur ] à ses heures, s'embourbe dans un tas d'enquêtes au-delà de chasser les cauchemars d'autrui.
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Chétif volatile au plumage iridescent évoquant les nébuleuses et au bec sarcastique, [ étourneau sansonnet ] (sturnus vulgaris) répondant au sobriquet de Caelum.

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oh, the drama

Je sais pas comment te dire, ce que je peux pas écrire. Faudrait que j'invente des mots qu'existent pas dans le dico. C'est toi que je t'aime (vachement beaucoup). C'est toi que je t´aime (vachement beaucoup)

Myocarde trébuche dès l'instant où la porte s'ouvre sur le faciès du nécromancien, ses opalines céruléennes qui en disent long sur son état psychologique. Épaves probablement ridicules qu'ils sont à se mettre dans tous leurs états, suffocant de leurs maux d'amour. Il pourrait presque entendre d'ici le caquètement sarcastique de l'étourneau qui aurait très certainement raison. À peine eut-il baragouiné quelques syllabes afin de convaincre Camille de le pas lui claquer la porte au nez qu'il perd intégralement possession de ses moyens. Inspiration. Focus. Expiration. Comment faut-il faire pour respirer au juste ?

Panards s'embourbent à son antre qu'il eut tant de fois arpenté, le cordes vocales naguère mutique pour un instant, se contentant de tendre de ses deux mains le bouquet en offrante, de manière à meubler, baissant le museau comme le ferait un môme responsable d'une bêtise. Ça lui tord le cœur. « Je suis désolé. » Ça sort sur une note stridente, tel un disque rayé qui s'éteint en une tonalité aiguë. « J'aurai vraiment aimé que... » ça fonctionne. Que les choses s'emboitent parfaitement comme lors de leurs après-midi où ils se laissent porter par leurs imaginations ou lorsqu'il s'assure de panser ses songes en lui offrant quelques muses nocturnes. Parce qu'il sait, que Camille aspire à trouver parfaite moitié autant que lui. Maître ses songes pue la sincérité, levant les mires humides sans trop oser affronter. Parce qu'il y a une part de son être qui aspire encore à l'enlacer jusqu'à disparaître dans ses entrailles, entrelaçant leurs phalanges pour panser les maux.

Il inspire. Encore. Conscient qu'il doit en dire davantage, fourrant une pogne au sein de sa poche pour en saisir le meuporg dont le toucher lisse parvient à l’apaiser. « C'était maladroit, tout ce que j'ai dit. » Rêveur renifle à la manière d'un rejeton paumé qui ravale tant bien que mal un débordement de sanglots, son caillou de consolation au creux de la paume. « Je n'ai pas envie que les choses se gâchent et se perdent. » Face retrouve la contemplation du sol, la vision de plus en plus trouble par la houle de ses larmes formant une couche contre ses lobes et qui se refusent encore à couler. « En fait, c'est idiot, mais en venant ici j'espérais qu'on pourrait reprendre les choses depuis le départ, comme avant. Enfin je me doute que forcément ce ne sera plus vraiment tout à fait pareil, quoi qu'on en sait rien, mais je trouverai ça profondément triste de perdre nos journées à réinventer le monde. Bien entendu c'est uniquement si tu es d'accord. » les syllabes s'étaient enchainées d'un débit beaucoup trop rapide, vomissant les mots qui lui encombraient la gargue. « Tu resteras toujours une muse bourrée d'inspiration et de bonnes choses à mes yeux. » murmure soufflé et qui s'éteint, attendant la sentence, quasi persuadé que son ichor servirait de peinture pour un ultime tableau de maître.
Camille Barton
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Âge : 30 ans
Tuer le temps : Effusions de couleurs, de matière, Camille est un Artiste, ceux que l'on traite bien souvent de fou, tant il est torturé, aspiré dans ses toiles, ses idées tantôt lumineuses, tantôt sombres. L’art, comme moyen de communication sur ce qui n’a de cesse de le faire souffrir depuis qu’il est né, moyen d’expression, de ses émotions malheureusement parfois un peu trop fouillis. Il a cependant laissé sa carrière artistique de côté pour rejoindre les rangs de son coven, mettant son art à contribution pour venir embellir les défunts avant leur dernier voyage, Préparateur de sommeil éternel, c'est une appellation qu'il porte avec fierté.
Familier : Aussi douce et colorée qu'une fleur d'orchidée, souvent posée en silence sur les vêtements de son sorcier, Morana n'est pas réellement des plus loquace, déteste presque la compagnie des vivants si ce n'est celle de son alter-égo. La petite Mantomancienne préfère de loin les esprits impalpables, tricote souvent avec ses pattes pour tenter de libérer ceux qui se retrouvent coincés ici-bas. Un familier que Camille trouve essentiel dans son métier, qu'il chérie presque plus que sa propre vie.
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Notre rencontre, c´était fatal, Ça s´est passé dans les Halles
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Même si la colère de la dernière dispute est encore là, emmêlée avec la culpabilité, l'envie de serrer l'homme qu'il a devant lui dans ses bras. Mais il doit rester digne, il ne doit pas céder à ses émotions, c'était fou à quel point les "conseils" de son père revenait souvent dans ces moments et comme Camille tentait de les écouter, comme si tout ceci allait l'aider à passer une situation délicate alors qu'il sait très bien que, tôt ou tard, ce masque s'effondrerait. Et il craque déjà, ce fameux masque, quand il entend les notes stridentes que produit la voix de son amant, l'artiste se mord la lèvre alors que les larmes menacent de nouveau de couler. Mais il ne fait rien, préfère laisser Alasdair continuer, parce que, de toute façon, il ne sait pas quoi dire et il n'est pas sûr de réussir à parler vu comment sa gorge lui fait mal en ce moment même.

Comme un gosse qui écoute les excuses qui lui sont dues, mais qui n'ose pas avouer que ça le touche, le nécromancien vient hausser les épaules avec une certaine nonchalance quand le rêveur qui dit qu'il avait été maladroit. Il tente bien de faire celui qui n'a pas été touché par tout ceci, pourtant...Camille préfère détourner le regard, trouve que le mur est beaucoup plus intéressant que celui qui se trouve en face de lui alors qu'il vient maltraiter le pourtour de son ongle. Et puis, la bombe arrive, se lance, le peintre le sent bien, quand sa muse commence à parler plus vite, enchaînant les syllabes sans sembler respirer. Lui aussi d'ailleurs, manque d'air, alors que son cœur se brise. Ce qu'Al lui dit est terriblement vrai, mais terriblement douloureux. Ils étaient mieux avant, quand le romantisme n'était pas de mise, quand ils étaient amis, inspirations communes, mais amant, certainement pas, ils étaient beaucoup trop différents sur beaucoup de plans, mais les amants maudits ont voulu tenter, se sont brûlé les ailes et les voilà maintenant en train de s'entredéchirer. Et Camille, encore une fois, ne trouve rien à répondre, totalement perdu dans cette situation qui lui filent des émotions qu'il ne pensait jamais ressentir ou du moins, pas dans ce genre de situation, pas avec cet homme merveilleux qui avait accepté de l'accompagner un peu.

Mais si les mots lui manquent, ses gestes eux, décident de parler pour eux, sans vraiment réfléchir, Camille s'avance, vient prendre dans ses bras cet être merveilleux qui l'avait supporté de nombreuses semaines sans réellement broncher. Et il le sert contre lui, laisse les sanglots l'envahir alors que le parfum de l'oniromancien l'enveloppe de nouveau, il lui avait tant manqué. Et pendant quelques minutes, les seuls mots qui sortent sont les mêmes " Je suis désolé", qu'il répète en boucle. Désolé de la situation, désolé de pleurer, désolé de t'avoir blessé, désolé d'être moi, désolé de t'avoir fait perdre du temps, désolé, désolé, désolé... Camille finit tout de même par se reprendre quelque peu, vient se redresser avant d'enfin, oser venir plonger son regard dans celui de son âme sœur artistique, séchant d'abord ses propres larmes avant d'aller essuyer les joues d'Al.

" Je pense que tu as eu une merveilleuse idée, on pourrait reprendre comme avant, même si nous avons eu un petit truc en plus pendant un temps. "

Petite inspiration, il tente de reprendre un peu une respiration normale, de penser à bien respirer pour pouvoir poursuivre.

" Parce que même s'il n'y a plus rien de romantique entre nous, je te veux à mes côtés, je ne pourrais pas vivre sans toi, tu sais ? Tu es une muse tout autant bourrée d'inspiration, je n'ai jamais ressenti ça, tu sais ? Avec toi à près de moi, c'est si simple, si doux, alors je ne peux pas renoncer à toi, Alasdair, j'ai besoin de toi. "

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