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holiday is a state of mind w/Jingyi

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Dubh Ó Fearghail
Isolationniste
Dubh Ó Fearghail

En ligne

La discordance des temps modernes
Le braquage de Serpentine (Août 2024)
Pas besoin de crème solaire
La bosse de l'écrivain

Trombinoscope : holiday is a state of mind w/Jingyi Capture-d-cran-2024-10-15-191722
Face claim : Taz Skylar
Pronoms RP : Il
Âge : 28 ans
Tuer le temps : Acteur qui attend son heure - ça sonne mieux que raté.
Arnaqueur/magicien chez les humains, qui use un peu trop de ses talents pour se faire de l'argent.
Community manager chez Assunção, option créateur de contenu qui aime trop porter de belles fringues.

Familier : Aoife, husky sibérien la plus drama-queen qui soit, et qui possède son propre compte TikTok -qui a plus d'abos que celui de Dubh, oups.
Compte en banque : 74
Arrivé.e le : 18/06/2024
Messages : 105
   

holiday is a state of mind
16 août 2024



ft.    @Xie Jingyi   


"Sous les sunlights des tropiques,
l'amour se raconte en musique."

tw : mention d'alcool
Soundtrack : Jonas Brothers

Soirée à marquer d’une pierre blanche. La coloc était libre, juste Dubh et qui il voulait pour passer un moment de qualité et il fallait bien l’avouer, la chose était rare. Penny qui sociabilisait, Hasan chez l’amoureux et Olivia partie dans sa famille pour la semaine, autant dire, pure liberté. L’occasion rêvée pour organiser la teuf de l’année, mais non. Non non, Dubh avait eu d’autres projets. Sûr que le carnet d’adresse était rempli de gens à voir, mais il y avait bien quelqu’un qui comptait et à qui il avait promis de passer un moment lé-gen-daire. Revenant donc de la cuisine avec deux verres bien remplis, option petit parasol mignon, Dubh planta le cocktail dans les mains de son invitée avec le sourire qui allait avec le genre de festivité. Ce soir, c’était leur soirée à Jingyi et lui. Rien qu’à eux deux, leurs familiers, et aussi un peu leurs followers.  « Ta boisson préférée, douce beauté. »

C’était que Dubh avait toujours apprécié la présence de la jeune femme. Enfant, sans se l’expliquer, il était allé la trouver pour combler un bout de sa solitude. Les gestes avaient comblé la barrière de la langue, et son coeur était tombé en amour de cette personnalité si douce que c’aurait été un crime de l’ignorer. Entre temps, l’éloignement avait fait qu’il ne s’était plus tellement parlé, mais les hasards de la vie lui avait fait recroiser sa route, et le manque avait disparu sitôt réalisé. Jingyi était quelqu’un qu’on gagnait à connaître. Adorable, tendre, si dévouée à sa cause… Dubh avait l’impression que leurs âmes étaient faites pour se croiser.  « OK, pas de vacances pour les braves, mais pas une raison pour pas se faire kiffer ! » Télécommande à la main, l’aéromancien activa le projecteur du salon qui projeta sur le fond qu’il avait acheté récemment un décor de palmiers ultra kitsch. Trop pratique pour son nouveau travail, même si Davi n’aurait jamais validé la ringardise de l’image choisie ce soir. Mais là, il était en pleine ode à l’amitié. L’envie pure de légéreté.  « J’ai choisi Hawaï, mais tu m’dis ce que tu veux. Google est notre ami, baby ! » Tout en joie, Dubh se dandina sur la voix oubliée d’un Jonas Brother en tournoyant sur lui-même avant de s’assoir sur le canapé.

Avec leurs vies bien occupées, Jingyi et lui n’avaient pas toujours tellement le temps de se voir. Le prix à payer de la popularité, côté Dubh du moins, alors que son téléphone vibra comme pour prouver qu’on le réclamait ailleurs. Mais non non messieurs dames, pas ce soir.  « A la santé des honnêtes travailleurs ! » brailla-t-il en faisant tinter son verre contre celui de son amie, dégustant une lampée de sa trouvaille du soir, une tequila associée à des fruits de la passion, pointe de sel.  « Faut trop que je te raconte mon nouveau travail. Non vraiment, c’est une dinguerie. Mais je sais que je parle trop, alors dis-moi toi ! » Croisant les jambes, l’air empreint de curiosité, sa bouche vint à nouveau frôler la paille plantée dans son propre verre.  « J’veux tout savoir. Ta vie, ton oeuvre, tes amours. » Il aurait bien tenté un clin d’oeil, mais soudain Aoife débarqua comme la princesse qu’elle était, trottinant dans la pièce sachant bien la tournure que prendrait la soirée. Avant même qu’elle n’ouvre la truffe, Dubh la coupa. « Ttttt, ton heure viendra toi. Laisse parler les grandes personnes. » Boudeuse, la husky lâcha un hurlement contrit avant d’aller dans son panier - aka un immense coussin plus moelleux que le propre oreiller de Dubh. Mode drama queen activé. Soirée classique chez Dubh, compagnie et associé.e.s.
Xie Jingyi
Expansionniste
Xie Jingyi

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Bronzer à l'ombre
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Trombinoscope : holiday is a state of mind w/Jingyi 28cbd03cf13c0a6a95d6bb61986d827c
Face claim : havana rose liu
Pronoms RP : she/her
Âge : 29 ans
Tuer le temps : ORNITHOLOGUE à l'Hermitage of Braid
Familier : FANG, un Loddigésie admirable (colibri) qui déteste ces fausses fleurs en plastique (quelle ignoble farce !) que les citadin‧e‧s mettent partout pour faire joli (c'est moche, d'abord)
Compte en banque : 1450
Arrivé.e le : 27/07/2024
Messages : 1060
   
Holiday is a state of mind



tw: alcool

Sagement assise dans le canapé, la tête dodelinant au rythme de la musique, tu accueilles le cocktail tendu par l'aéromancien, sourire aux lèvres. « Merci Dubh ! » Avec délicatesse, les mains entourent le verre rempli d'un Tequila Sunrise coloré, sucré à souhait. « Hawaï, c'est parfait ! acquiesces-tu, joyeusement, en glissant sur le côté pour laisser plus de place à ton ami sur le canapé : oh, c'est chouette ton système. » Les mots sont appréciateurs, le regard curieux glisse sur le rétroprojecteur. Peut-être que tu t'imagines déjà un peu faire ça, pour tes soirées froides, avec une fausse cheminée, image projetée et son numérisé.

« Et à celle de celleux qui n'ont pas de vacances ! » Renchéris-tu. En vérité, tu t'en moques pas mal d'avoir des vacances ou pas : les oiseaux, elleux, sont toujours là alors tu es prête à être toujours là pour t'occuper de tes protégé‧es, toi aussi. Et avec le nouveau projet qui vous avez lancé avec Amor, tu n'as pas le temps de chômer à l'Hermitage, tes journées sont bien occupées. Tes soirées aussi, puisque tu te consacres à la maman dodo qui couve son œuf au sanctuaire de Green Bank.

Mais ce soir, c'est Dubh et toi, à la faveur de votre vieille amitié ravivée malgré les années d'éloignement. « Faut trop que je te raconte mon nouveau travail. Non vraiment, c’est une dinguerie. Mais je sais que je parle trop, alors dis-moi toi ! J’veux tout savoir. Ta vie, ton oeuvre, tes amours. » Et tu rougis, tu reposes le verre qui faisait son chemin jusqu'à tes lèvres. Tu secoues les mains devant toi, tu secoues la tête avec vigueur : « Non non, toi d'abord ! Moi, il n'y a pas grand chose de nouveau à dire. Je veux que tu me racontes ton nouveau travail, qu'est-ce que c'est ? » Ca a toujours été ainsi, depuis votre première rencontre jusqu'à maintenant : tu veux toujours laisser les autres parler en premier, tu veux toujours leur laisser la première parole. Toi, tu es sincèrement heureuse d'être celle qui écoute, tu te satisfais avec plaisir d'être la personne qui se tait. Mais, peut-être aussi, que tu crains un peu d'ennuyer tout le monde avec ta vie plan-plan, tes histoires tranquilles et ta vie plate ? Oui, sûrement car la vie des autres te semble toujours plus palpitante et passionnante après tout. Surtout celle de Dubh, toujours pleine de péripéties et de rebondissements, toujours si dynamique à l'image du sorcier.

L'intervention d'Aoife tire un grand rire de ta bouche et les yeux lâchent un regard et une moue désolé‧es à la familier qui s'en va bouder plus loin. « Oh, Aoife, reviens, je te fais des gratouilles si tu veux ? » Proposes-tu à la husky en guise d'offrande de paix. Puis l'attention est ramenée sur Dubh. Et le cocktail abandonné que tu récupères pour le goûter d'une gorgée appréciatrice : « Est-ce que ton nouveau job est en rapport avec le cinéma ? Tu as eu un rôle ? »
Dubh Ó Fearghail
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Dubh Ó Fearghail

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Familier : Aoife, husky sibérien la plus drama-queen qui soit, et qui possède son propre compte TikTok -qui a plus d'abos que celui de Dubh, oups.
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ft.    @Xie Jingyi   


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tw : mention d'alcool
Soundtrack : Jonas Brothers

Bien des gens s’accordaient à dire que Dubh possédait un super-pouvoir, plus puissant encore que ceux innés des enfants des vents : celui de savoir convoquer l’insouciance en toute circonstance. Ca, et aussi savoir créer une certaine ambiance, comme un ouragan de fraîcheur qui balayait tout sur son passage. Douce comme elle était, Jingyi n’eut évidemment rien à redire sur le set-up de la soirée, et à dire vrai, l’aéromancien en était tout heureux. S’il faisait ça pour lui, son bonheur se multipliait quand il sentait les gens bien avec lui. Mieux, la jeune femme complimenta son ingénieuse installation, et Dubh était fier comme Artaban. « T’as vu ça ! » se fendit-il avant de s’assoir et de trinquer avec allégresse à une situation qui aurait rendu pourtant bien tristes les gens accros au soleil - le vrai. Mais le soleil, avec Dubh, était dans le coeur. Et bientôt lui viendrait l’envie de claquer quatre jours et de s’envoler il ne savait où. Mais pour l’instant, pas question. Pour une fois qu’il avait un boulot cool, pas chiant et qui ne l’avait pas lassé au bout de trois semaines…

Et même s’il avait grande hâte de déballer tous les détails à son amie, Dubh s’enquit d’abord de sa vie à elle - sans quoi il aurait monologué et oula, c’était parti pour trois heures. Mais la douce enfant des vergers ne l’entendait pas de cette oreille, et ramena l’attention à lui. Pas pour le déranger en soi, mais… Sûrement aurait-il un peu insistè sans tout le cinéma d’Aoife qui joua évidemment les grandes outragées, ce qui brisa le coeur de la tendre zoomancienne. Très contente d’avoir volé la vedette à son sorcier, Aoife revint triomphante, ses oreilles fin prêtes à se faire gratouiller. « Pfff… » lâcha le gros bébé de 27 ans, pas tellement ravi qu’on cède aux caprices de son familier alors que lui même faisait tout un cirque quand il manquait d’attention - un comble. Heureusement, Jingyi le relança vite sur sa vie, son job, et Dubh se fendit d’une petite moue boudeuse en entendant sa supposition. « Hm non, le cinéma n’est pas encore prêt pour ça je crois… » lâcha-t-il parce que c’était toujours mieux de dire ça que d’avouer qu’il avait encore raté 2 auditions cette semaine. « Enfin, c’est quand même un truc trop bien. Je suis community manager pour une marque de fringues, de luxe en plus ! » Ca, c’était la petite touche qu’il ajoutait à chaque fois, histoire de se la jouer. Pas comme s’il avait eu beaucoup l’occasion de se vanter de ses anciens métiers, enfin…

« La marque c’est Assunção. Tu connais pas encore ? Normal, ça fait pas longtemps que je fais ça mais crois-moi, crois-moiii ça va devenir une folie ! » Sans laisser le temps à Jingyi d’en placer une, sans se douter que peut-être elle connaissait, Dubh enchaîna en brandissant son téléphone avec panache, ignorant les 13 notifications inutiles pour aller sur le compte instagram qu’il gérait, scrollant en même temps qu’il parlait. « Le créateur est vraiment un mec passionné et oh, t’as vu ça ? » La photo montrait une mannequin portant sa création préférée de Davi, magnifique à souhait, une jupe aux inspirations de son pays d’origine. Slidant sur le carrousel, la tenue était maintenant portée par un homme. « Full inclusivité, valeurs et tout ça, c’est vraiment trop top ! Et j’ai quasi carte blanche, franchement, c’est le pied ! » Déjà son doigt avait lancé un reel où il reprenait une trend TikTok qui mettait en valeur les différentes associations avec une veste à motif végétale absolument magnifique. « Ok, je suis pas encore une star du grand écran, mais du petit ça m’va. Surtout que ca me fait déjà un styliste en vrai ! » Le monologue s’arrêta enfin alors que Dubh guettait enfin la réaction de son invitée face à cette débauche d’informations. Aoife soupira lourdement. C’était qu’elle avait entendu le speech des dizaines de fois. Mais Dubh lui ne se lassait jamais. C’était donc ça, être passionné par son métier ?
Xie Jingyi
Expansionniste
Xie Jingyi

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Familier : FANG, un Loddigésie admirable (colibri) qui déteste ces fausses fleurs en plastique (quelle ignoble farce !) que les citadin‧e‧s mettent partout pour faire joli (c'est moche, d'abord)
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Holiday is a state of mind



tw: alcool

Quand ton regard se pose sur Dubh, c'est littéralement impossible à manquer : il y a une énergie nouvelle chez Dubh. Des traits de son visage jusqu'à la gestuelle de son corps - cette énergie entière semble s'imprimer dans ses expressions jusqu'à l'emplir, le combler même ? Au moins, le contenter, sustenter son cœur. Et ton sourire s'agrandit parce que tu ne sais qu'être heureuse pour ton ami.

Au début, bien sûr que tu penses que c'est le cinéma - son ambition depuis que tu connais. Mais il te corrige immédiatement. « Hm non, le cinéma n’est pas encore prêt pour ça je crois… » (jet de dés) Tu sens instantanément qu'il minimise quelque chose, sans vraiment savoir quoi. Et tu pourrais écarter la situation en arguant que le cinéma ne le mérite vraiment pas (ce que tu penses sincèrement). Mais à la place, tu lui offres de la place pour s'exprimer s'il le souhaite : « est-ce que tu as envie d'en parler ? » La proposition est sincère, la porte toujours ouverte pour tes ami‧e‧xs, l'oreille toujours attentive pour les blessures - petites ou grandes. Tu ne doutes pas que Dubh le sait, qu'il te connait mais ça ne coûte rien de le rappeler, n'est-ce pas ?

« Oh, waw ! » Ta réaction ne marque pas un manque d'enthousiasme mais plutôt un manque de mots face à l'annonce. Impressionnante pour sûr. D'autant plus pour toi qui n'évolues pas dans ces sphères là mais qui, en revanche, imagines très bien Dubh y évoluer comme un oiseau dans les airs. Avec son aisance sociale et les connaissances en réseaux sociaux qu'il a bien voulu partager avec toi, tu n'as pas de doutes sur le fait que ton ami excelle dans ce nouveau métier. « Ca te va bien, monsieur le community manager ! » Tu le félicites enfin, en proposant un nouveau toast.

Les paroles suivantes de Dubh sont un flot interrompu que tu n'oses pas couper. Alors, tout du long, ta tête hoche avec enthousiasme à tout ce qu'il te raconte, tes yeux regardent ce qu'il te montre et ton sourire ne faiblit pas un instant. Tu as l'habitude du flux de paroles de l'aéromancien - tu dirais même que ça te fait plaisir de les retrouver, ses monologues. Tu aimes ces moments où tu peux simplement écouter et savourer la joie communicative des autres. Ces instants où on ne te demande pas de donner ton (peut-être faux) avis ou de proposer tes (sans doute mauvaises) idées. Contrairement à ce que d'autres pensent, c'est confortable, pour toi, tout ça.

Et puis, le voir passionné comme ça : comment aurais-tu le cœur à le couper dans son élan ?
Alors tu attends sagement, patiemment qu'il termine ce qu'il a à dire avant d'avouer : « Je connais la marque, c'est une de mes préférées. » Une des seules même. La plupart de ton armoire, pas bien grande par ailleurs, n'abrite que des vêtements de second main. Mais les valeurs d'Assunção résonnent avec toi, les couleurs et les coupes te plaisent tant. Et ta rencontre avec le propriétaire et styliste te revient en tête ; cette robe tellement belle qui n'attend que la parfaite occasion pour être enfilée. « Et monsieur Galhardo Assunção est mon voisin. » Tu confies - de toute façon, Dubh aurait sû bien assez tôt. Il suffit d'une rencontre tissée par le hasard pour dévoiler l'information qui, de toute façon, n'a rien de secret.

« Mais du coup, je comprenais mieux pourquoi les derniers posts d'Assunção me donnaient une impression familière ! Et ton sourire s'agrandit : C'est ta marque de fabrique ! Bravo en tous cas, je trouve que la qualité du contenu sur les réseaux s'est drastiquement améliorée. On voit que tu fais du très bon travail. » Parce qu'avant ... Enfin, tu ne veux pas critiquer ... Mais il faut être honnête tout de même. « Et puis, ça a l'air de te plaire ! C'est la première fois que je te vois parler ainsi de ton travail. Ca fait chaud au cœur. »
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