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What if happily ever after existed ? ◈ ft. Priya

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Carmen Callaghan
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Carmen Callaghan

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La discordance des temps modernes
Le braquage de Serpentine (Août 2024)
Le braquage de Serpentine : 2ème place
La bosse de l'écrivain
Les inarrêtables
Batman & Robin
Nano-quoi?
Un petit pas pour l'individu, un grand pas pour le coven

Trombinoscope : What if happily ever after existed ? ◈ ft. Priya YiQVCzr0_o
Face claim : Taylor Lashae
Pronoms RP : she/her
Âge : 39 ans - À défier le temps.
Tuer le temps : Passe-temps officiel en tant que [ Responsable de salle au friday 13th ], certainement la seule fois où vous verrez Carmen et responsable dans la même phrase. Officieusement, elle répond au rôle d' [ émissaire et négociatrice ] pour le groupe dans les affaires moins légales.

Familier :
What if happily ever after existed ? ◈ ft. Priya C6a6e5efcd9d4e659be0400abf0ba90e
Tempérament de l'animal aussi chaotique que celui de sa sorcière, [ chèvre alpine ] en acolyte indéfectible. Voyelles espagnoles, [ Cariño ] en prénom, qu'elle trouvait sonner bien lorsque sa mère les échappaient. Le plus souvent raccourcit en un Cari - plus court, et parce-qu'elle galérait à prononcer cariño plus jeune surtout.

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Arrivé.e le : 08/07/2024
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" Chaos from the beginning "
(AU) :

Il y a les " et si " avec lesquels on refait un monde, avec lesquels on refait une vie. Ceux qu'elle ressasse peu Carmen - dans cette réalité-ci, où l'ensemble a des airs d'idylles. Du mal à s'imaginer une vie plus radieuse que celle-ci, même en retapant l'ensemble à coup de " et si ". Parce-qu'elle est heureuse là - ne voit ce à quoi elle pourrait aspirer de plus. Saskia à ses côtés - bien que pas littéralement aujourd'hui, leur fille qu'elle aime d'une de ces tendresses que des mots ne seraient suffisant à décrire - en dépit de l'inquiétude latente près du palpitant, à l'idée que quelque chose lui arrive. L'ambition comblée - elle aussi, récente promotion en tant que chuchoteuse onirique - après les années à officier en tant que gardienne des limbes. Des airs de tout lui souriant - des airs de presque trop beau pour être vrai, pas vrai ?

Parenthèses enchantées qu'il faut pourtant savoir appréciées - quand bien même parfois elles ne sont qu'un mirage d'un autre univers. A parler de parenthèse, la chimère apprécie d'ailleurs celle qui s'offre présentement à elle. Tête dans les nuages - plutôt littéralement, verre à la main, à trinquer avec Priya avec qui l'idée soudaine de vacances partagées était survenue. L'extravagance autorisée même - de voyager en première classe s'il vous plaît, ah c'est beau les univers où tout est possible. « Tu penses avoir combien de temps avec que Cassidan t'appelle car il n'arrive pas à trouver une de ses cravates ? » Sarcasme roulant des lippes - courbes amusé dessinant son sourire. Moquerie légère - face à une scène observée un peu trop de fois. Ne grossit cependant pas trop le trait - car si la dynamique n'est pas la même, entre Saskia et elle, Carmen était indéniablement la plus susceptible des deux d'appeler sa femme car elle ne retrouvait pas quelque chose.

Vol touchant à sa fin - destination atteinte, l'heure de fouler le territoire grecque au sein duquel les deux mères et amies avaient décidé de s'octroyer des vacances bien méritées - sans partenaire ni enfant. Si elles atteignent le terminal sans encombre - elles ne peuvent pas vraiment en dire de même de leurs valises, qui malgré les minutes qui files, files et défilent... N'arrive pas. Y a les sourcils plissés - par l'oniromancienne, l'air à demi contrarié qu'elle essaye de ne pas trop étirer malgré l'augure de la situation qui ne lui plait pas vraiment. « Je vais voir si un agent sait où sont nos valises.» Soufflé - alors qu'elle s'éloigne déjà de la brune, l'impatience de la chimère pas vraiment altérée par le changement d'univers. Contrairement à sa politesse - qui a des airs d'exemples dans ce contexte-ci, à s'adresser respectueusement à un‧e agent‧e afin de savoir où était leurs bagages. Incroyable même - qu'elle ne l'insulte pas, lorsqu'iel lui annonce que... Leurs valises sont perdues. Il n'y a que la main - venant masser les tempes, trahissant son agacement, un " merci " tout de même adressé pour le renseignement.

L’expressivité - des traits qu'elle ne cherche pas à dissimuler, comme une balance de la sphère professionnelle où chacune des réactions et des émotions est contrôlée, maniée, à la nuance près. Revient aux côtés de l'amie - inattendue, rapprochée par l'amitié partagé par leurs enfants, s'en étaient découvertes une belle complicité et un amour du voyage partagé - la chance en revanche... « Tu veux la bonne ou mauvaise nouvelle en premier ?» Demande - pour la forme, alors qu'elle n'a même pas de bonne nouvelle en main. Ou pas de la part des agent‧e‧s en tout cas. « Nos valises sont perdues.» Sans détour - toujours le même franc parler, commence par la mauvaise nouvelle sans même avoir tenu compte de la réponse de Priya finalement. « Mais Cassidan ne t'a toujours pas appelé.» Oui, c'est ça sa bonne nouvelle - rire mal contenu glissant de ses lèvres.

Prends un instant, avant de reprendre. « Après, est-ce qu'on a vraiment besoin de plus qu'une robe et de maillots bain qu'on peut trouver dans la première boutique, pour profiter de ces vacances ?» Carmen qui essaye de positiver - ça c'est incroyable et n'est possible que dans cet univers-ci.


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Priyanka Gilmore
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Priyanka Gilmore

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Chasse aux oeufs 2024
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Pronoms RP : Elle
Âge : 35 ans
Tuer le temps : Depuis 5 ans maintenant, Priyanka Gilmore a suivi les traces de son père en devenant à son tour [Ancre des serments] au sein des [Enfants du verger]
Familier : [Grand Bharal] prénommée Neela, surnommée [Myrtille] aussi douce que sa maîtresse bien qu'elle n'a pas la langue dans sa poche !

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" Chaos from the beginning "
(AU) :

Baiser sur le front de son mari, au revoir léger comme un voile venant caresser la joue de cet homme encore un peu endormi. Parfum de la douce qui reste contre le coussin qu’il attrape et la brune dans un sourire attendrie finit par partir dans le taxi. Son fils étant à l’internat, elle n’avait pas à lui dire au revoir aujourd’hui et le reverrait normalement à son propre retour de vacances. Sourire toujours présent sur ses lippes tandis que la jeune femme est dans le taxi, elle respirait le bonheur alors qu’il était bien trop tôt pour être aussi en forme. Une vie de rêve, vraiment, elle ne pouvait s’imaginer autre vie d’ailleurs. Elle était si épanouie… Et pourtant dans un autre univers, elle l’était aussi. Différemment, ça a été plus long aussi, certes, mais tout de même.

Tintement des verres qui se croisent, Priyanka était maintenant aux côtés de son amie Carmen dans un avion prête pour des vacances plus que méritées. Les deux mères de familles et amies s’étaient octroyées ces vacances, juste entres elles. Pour une fois, les deux penseraient à elles ! Mais ça ne les empêchait pas de rire un instant sur leurs partenaires respectifs “Hm… Je pense qu’il ne m’appellera pas car j’ai noté les heures de l’avion un peu partout dans la maison, mais j’ai sûrement déjà reçu un message que je n’arriverai à lire qu’en débarquant. Après sait-on jamais, il est capable d’appeler malgré tout.”, rire partagée, elle le connaissait bien cet homme et avait prévue le coup en lui mettant un peu partout comme piqûre de rappel qu’elle ne serait pas joignable par appel. Organisée, la Gilmore qui partageait maintenant le nom des Ó Fearghail, n’en était pas à son premier voyage sans mari. Même si ce n’était pas le plus fréquent, mais ça leur convenait aussi de temps en temps que chacun ait ses petites libertés. La confiance régnait dans leur couple et l’indépendance les aidaient à garder la flamme intacte. Même s’il avait parfois du mal à s’en sortir seul dans leur maison. “Et toi ? Tu penses que Saskia t’envoie combien de messages pour être sûre que tu sois bien arrivée ?”, retour à l’envoyeur, elles se connaissaient bien les deux. Se confiant beaucoup de choses.

Justement, elles arrivaient. L’heure de vérifier si Cassidan avait envoyé un message ou encore Saskia pour Carmen. Mais ce n’est pas la priorité… Récupéré les valises avant c’est mieux. Seulement, rien n’arrive. Aucun bagage à leur nom. Souffle exaspéré, l’indienne n’aimait pas la tournure que ça prenait elle qui s’était faite une joie de porter son nouveau maillot de bain sur les plages grecques. Carmen s’occupe de la situation, alors Priya prends sur elle et attends d’en savoir plus. Peut-être que ça allait se régler… Elle observait son téléphone en attendant, pas de messages de son mari, mais elle lui envoya quelques nouvelles rapide.

Mauvaise nouvelle annoncée en première, ça a le don de faire rouler les yeux de la brune, avant qu’elle ne rigole légèrement aux bêtises de son amie. “Tu n’as pas tort, il n’a pas appelé, ni même envoyé de messages.”, autant rigoler un peu. Cela permettait de ne pas s’énerver. “Au moins, quand nos valises seront retrouvées, j’aurais deux nouveaux maillots de bain. Un acheté ici, le deuxième dans ma valise.” et ce n’était pas si mal. Actuellement c’était la seule solution qui s’offrait à elles, autant faire comme ça. “On ira après l’hôtel, autant aller se présenter, récupérer la clé et après on sera tranquille pour visiter un peu et acheter des vêtements.”

Coordonnées laissées à la compagnie d’avion pour leur bagage, les femmes partaient ensuite direction l’hôtel. Admiration des paysages, yeux émerveillés devant les images qui défilaient, Priya calmait un peu ses nerfs face à la Grèce. Destination choisie un peu au hasard, les filles avaient longtemps hésités entre plusieurs, elle n’était pas déçue du choix en voyant ce qu’offrait le monde méditerranéen. Arrivée à l’hôtel, lunettes de soleil remonter sur sa tête, la jeune femme se présenta à l’accueil. Il y avait un peu de monde, quelques personnes mécontente, mais elles passèrent vite. Clé récupérée, reste de la réservation payée, elles allèrent à leur chambre. Test de la clé numérique… Rien. Test à nouveau… Toujours rien. Regard se tournant vers sa colocataire du séjour, elle semblait exaspérée. “Soit leur système est nul, soit c’est moi qui ne sait pas me servir de ce machin.” et une Priyanka qui perdait patience, ce n’était pas souvent. “Je te laisse essayer, ça m’évitera de tout casser. Si tu y arrives c’est que je suis idiote !”, se rabaissant en rigolant, elle ne disait pas ça vraiment sérieusement, mais simplement qu’entre le long voyage, les bagages perdus et ça… Elle fatiguait vite la miss. Dans un autre univers, l’indienne aurait sûrement été plus patiente, seulement dans celui-ci si elle s’était octroyée des vacances c’est aussi parce qu’elle avait besoin de repos même si tout allait pour le mieux dans sa vie. Visiblement, pour le repos, c’était mal parti.


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Carmen Callaghan
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Tempérament de l'animal aussi chaotique que celui de sa sorcière, [ chèvre alpine ] en acolyte indéfectible. Voyelles espagnoles, [ Cariño ] en prénom, qu'elle trouvait sonner bien lorsque sa mère les échappaient. Le plus souvent raccourcit en un Cari - plus court, et parce-qu'elle galérait à prononcer cariño plus jeune surtout.

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" Chaos from the beginning "
(AU) :

Il y a le regard qui brille un peu - ou bien peut-être que c'est un reflet du soleil, aux mots de l'amie. « S'il voit tes messages comme il voit ses lunettes qu'il cherche partout quand elles sont sur sa tête...» Bonne chance  - en suspens. Un rire glisse sur les lèvres - moqueuse sans pour autant être vicieuse, qui rigole pourtant de moments qui lui sont déjà arrivée trop de fois, avec ses solaires. La provocation retournée dans une complicité que ni l'une ni l'autre ne serait imaginé partagé, la première fois qu'elles se sont croisées, étire un peu le sourire. « Un seul, La certitude simple dans les mots, car la démonstration et l'affection qu'elles partagent se témoignent de façon plus insidieuse, tout aussi claire mais moins flagrante. mais je vais sans doute avoir le droit à une enquête détournée sur la météo tous les jours, on a eu un débat sur le temps qu'il allait faire avant que je parte.» Et comme souvent, elles ne sont pas tombées d'accord - aucune d'entre elles n'a voulu lâcher l'affaire, reconnaître avoir tord ; dans un amusement exaspérant plutôt qu'un vrai souci de fierté qui étouffe.

Un regard perdu sur le hublo instant - avant que le regard ne vienne se reposer sur la partenaire d'épopée. « Et je paris qu'Hanaé va me demander des photos toutes les heures.» Exaspération mimée - les iris levées au ciel, alors qu'il une tendresse qui ne trahit pas, dans la courbe des lèvres, dans les mots. Elle l'aime - comme elle n'aurait jamais pensé pouvoir aimer, différemment de Saskia et pourtant tout aussi férocement. Sa fille - même si elle n'est pas de son sang, celle pour qui elle plongerait le monde dans un cauchemar constant - si quiconque osait ternir son joli sourire. « J'aurais jamais du lui apprendre comment dissimuler son téléphone avec les illusions pour faire tourner en bourrique Saskia.» Forcément, elle apprend les choses qu'il ne faut pas à leur fille - mais qui n'est pas très grave, qui fait plus rire que crier, sait que sa femme n'est pas en reste non plus. Que leur foyer, il a des airs de chaos - au milieu de tout l'amour qui s'y trouve. « J'me dédouane de toute responsabilité si tu reçois des messages d'Archie alors qu'il est censé être en cours.» Les mains levées de chaque côté du visage, un rire plus franc - qui résonne entre les amies. Car elles savent combien iels sont intenables ensembles, Archie et Hanaé. Meilleur‧es ami‧es pour le meilleur et pour le pire - souvent, aux yeux des deux mères, pour le pire ; qu'elles changeraient pourtant pour rien au monde.

Terres promises enfin gagnées - mais pas leurs valises, elle prend le problème à bras le corps Carmen. Mauvaise nouvelle qui tombe - elle essaye de se dire que c'est pas grave, même si ça l'emmerde cette histoire de bagages perdus. Elles s'étaient dit vacances - pas pénitences, Priya et Carmen. « Évidemment, je n'ai jamais tort.» Ah la modestie, toujours aussi présente. Y a des choses qui se perdent pas même en se réinventant une vie, qu'on garde parce-que c'est aussi collector qu'un pokémon légendaire - même quand c'est pas celui qu'on préfère. « Bien m'dame, oui m'dame.» Imitation d'un salut militaire au plan énoncé par la botanomancienne, le rythme des pas qui s'entremêlent et les épaules qui se frôlent dans l'humour étiré à coups de fausses provocations.

Sanctuaire de repos et de confort atteint, cette fois elle laisse Priya se présenter à la réception et récupérer la clé de leur chambre. Elle se voit déjà en train de poser sa valise - de se jeter sur le lit pour en tester la literie et d'en lâcher un soupire d'extase. Pourtant, le seul soupire qui lui échappe, là, s'en est un de contrariété alors qu'elle voit la brune s'acharner sur la porte qui ne semble pas décidé à s'ouvrir. « Respire, tu vas finir aussi rouge que tes tomates à être si contrariée.» Rit encore - des airs de mélodies entre les deux, au creux de la moquerie taquine, c'était rare de voir l'indienne perdre patience. Elle récupère la clé magnétique, essaye une fois, deux fois et une troisième - parce-que jamais deux sans trois, mais... Ça ne fonctionne pas non plus. Et les sourcils se froncent. « ... Je refuse de croire qu'on est deux idiotes.» Fort heureusement, contrairement à Priya, elle est un peu plus patiente dans ce monde-là Carmen - sinon, elle aurait défoncé la porte sans grande hésitation.

Les talons tournées - l'invitation silencieuse à Priya de la suivre, au moins elles ne risquent pas d'oublier leurs valises dans leur galère. Puisqu'elles n'en ont pas. La réception gagnée de nouveau - la file semble s'être rallongée et les plaintes s'entendent plus clairement. Splendide - elles ne semblent pas êtres les seules en galère. Soupir qui glisse des lèvres - arrête du nez qu'elle se pince, agacement évident. « Garde-moi ça.» Sac confié à l'amie, il y a les pas alignés rapidement et l'air aux sous-titres " déconseillez d'essayer de l'emmerder ". Priorité qu'elle grille éhontément à celleux attendant - gorge raclé pour attirer l'attention d'un‧e réceptionniste ; elle sort son meilleur savoir faire français pour faire entendre combien il est inadmissible que leur clé de chambre ne fonctionne, que c'est franchement une honte qu'on les fasse attendre et l'avis salé qu'elles allaient laisser sur google et même tripadvisor face à ce manque de professionnalisme. Jusqu'à ce que, ôh magie - et même pas la leur, on s'excuse et upgrade leur chambre à la nouvelle clé qu'on leur donne. Pas l'air peur fière, lorsqu'elle revient vers Priya. « Savoir râler, ça résout quand même pas mal de problèmes.» Et ça en créer tout autant.

Étage regagné, porte devant laquelle elles se plantent un instant - avec que Carmen n'y glisse la clé magnétique et, ôh miracle, la porte s'ouvre sur le saint sésame. « Si Madame veut bien se donner la peine » Fausse révérence - elle reste pourtant sur le côté, un bras tendu pour désigner l'entrée de la suite et Priya qu'elle laisse entrer en première. Peut-être que leurs vacances allaient enfin pouvoir commencer - et correctement, s'il vous plaît.

Crédits : ane
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