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Queen of denim w/Penny

2 participants
Dubh Ó Fearghail
Isolationniste
Dubh Ó Fearghail
•☽✧☾•
As above
Face claim : Taz Skylar
Pronoms RP : Il
Âge : 28 ans
Tuer le temps : Acteur qui attend son heure - ça sonne mieux que raté.
Arnaqueur/magicien chez les humains, qui use un peu trop de ses talents pour se faire de l'argent.
Community manager chez Assunção, option créateur de contenu qui aime trop porter de belles fringues.

Familier : Aoife, husky sibérien la plus drama-queen qui soit, et qui possède son propre compte TikTok -qui a plus d'abos que celui de Dubh, oups.
Compte en banque : 244
Champion.ne : Queen of denim w/Penny M99MSHi Queen of denim w/Penny OcdIEGk
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queen of denim
27 juillet 2024





"I'll sue you if you don't sew."

tw : mention de blessure.
Soundtrack : The Beatles

Le souffle haletant, Dubh cavalait dans les escaliers qui menaient à son appartement comme si sa propre vie ou presque en dépendait. Il fallait dire que c’était une urgence de niveau semi-maximale - sur l’échelle de Dubh, mais tout de même. Sur le palier du troisième étage, sa course folle fut arrêtée par Madame Jenkins, déboulant de son entrée, son yorkshire sous le bras, l’air effaré de voir ainsi son jeune voisin dans tous ses états. « Mais, mais ! » Quasi-outragée, la commère n’eut même pas le temps de bredouiller sa stupeur que déjà, l’aéromancien avait repris son chemin, manquant se casser la gueule sévère sur la marche piégée qu’il esquivait souvent habilement - raté cette fois, décidément. Finalement, la porte de la coloc apparut, porte qu’il ouvrit avec la subtilité d’un rhinocéros lancé à toute vitesse alors que déjà, ses yeux cherchaient dans la pièce à vivre une trace de sa future sauveuse. « Pennyyyyyy ! » Tirée de son sommeil par la voix stridente de son sorcier, Aoife émergea d’une sieste trop longue, pas tellement affolée par la scène, ni par le fait que Dubh tenait son coude d’une façon un peu bizarre. L’habitude, sûrement. Dans un soupir, la chienne reposa sa truffe sur l’oreiller qu’elle avait piqué du canapé alors que Dubh traçait direction la chambre de sa coloc.

Toquant pour la forme, la tornade blonde déboula dans la pièce sans réellement attendre de réponse - pas comme s’il avait en réalité la moindre notion d’intimité, urgence ou pas. « Penny ! Ah t’es là ! » Casquette de traviole, joues rosies par l’effort et bras donc à moitié en écharpe dans sa propre autre main, Dubh avait tout du fou que personne ne laisserait rentrer chez lui - sauf que là, en l’occurence, il était chez lui, donc bon. « Dis-moi qu’tu peux faire un truc, steu plaiiiiiit ! » Négligeant les propres signaux d’alerte de son corps, Dubh déplia son bras douloureux avec à peine une grimace, dévoilant une plaie béante dans le tissu en jean de sa veste. Cette même veste soi-disant porte-bonheur qu’il trimballait partout cette saison, chinée dans sa friperie préférée, et qui abordait une collection de pin’s qui alourdissait sa tenue, mais lui faisait gagner un tel style que peu importait. C’était sa veste du premier date, sa veste de la self confidence - comme s’il avait besoin ça. Bref, c’était important, et désormais largement arraché. « Rencontre avec un mur de brique, au secours ! » Laissant sa coloc admirer l’étendue des dégâts, Dubh décida de ne pas la retirer, on ne savait jamais. Des fois que ça aurait empiré les choses.

Voilà donc ce qui arrivait quand on se laissait distraire par un nuage en vague forme de dinosaure alors qu’on survolait la ville à quelques mètres de hauteur. Ivre de liberté, dans un élan de vitesse, il avait suffi d’une seconde d’inattention pour que le corps heureusement tonique rencontre le coin d’une façade. Pas assez fort pour le faire chuter, assez pour lui caler un flash dans les yeux sous la douleur. Ce ne fut que posé qu’il avait réalisé l’étendue des dégâts vestimentaires. Pour le bras, encore, ça ne faisait trop rien. La force de l’habitude, et trois mouvements lui avaient suffi à réaliser que ça n’était pas cassé. Luxé, au pire du pire, mais ça il ferait avec. Un gentil gars l’avait arrêté, histoire de voir si ça allait, mais Dubh n’avait même pas trop pris le temps de le rassurer avant de rentrer. Maintenant qu’il s’était posé, quand même, ou que l’adrénaline retombait peut-être, son coude lui faisait un mal de chien. Et dire que le lendemain, il avait une audition. Audition à laquelle il avait prévu de mettre sa super veste, d’ailleurs. Enfin, s’il pouvait ? Ses yeux, déjà, cherchaient un peu de réconfort dans ceux de Penny. Elle allait sauver la situation, pas vrai ? Hein ?
Penelope Chatterton
Expansionniste
Penelope Chatterton
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Face claim : Kaya Scodelario
Pronoms RP : elle
Âge : 28
Familier : Un lynx ibérique, une femelle nommée Volusa. Assez peu sociable, à la fâcheuse tendance à mordre les fesses qui passent devant elle...
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TW | Cigarette.


Penelope était toute affairée à broder un torchon de cuisine, les pieds nus posés sur son bureau en verre, une clope allumée dans le cendrier à côté de ses pieds. Elle avait dessiné une méduse violette et jaune et elle avait décidé de faire toute une collection de torchons avec des animaux marins. Ça la changeait un peu des grosses pièces qu'elle essayait de vendre dans sa boutique et cela avait le mérite au moins de diversifier ce qu'elle proposait à la vente. Elle se disait que pour arrondir ses fins de mois, elle pourrait par exemple vendre des objets brodés et cousus, comme des bavoirs pour bébés (et pas que...) ou alors des torchons. Peu habituée à la broderie, Penny préférait donc faire un essai sur les torchons de la coloc'. Cela avait au moins le mérite de surprendre tout le monde mais honnêtement, personne n'avait rien à dire sur son art. Alors que la jeune femme passait l'aiguille dans le tissu, elle entendit un fracas qui ne lui fit pas lever le nez de son occupation. Il y avait toujours du monde dans cet appartement, elle avait parfois l'impression que c'était un moulin. Naturellement, n'importe qui d'autre ne penserait pas cela, mais encore faudrait-il qu'elle soit sociable comme eux. Spoiler, elle ne l'était pas.

Alors qu'elle finissait son tentacule, on toqua à sa porte pour y entrer, le ton catastrophé, et Penelope reconnu immédiatement la voix paniquée de Dubh. L'anglaise leva un sourcil à la définition parfaite sans lever son regard, comme si elle allait prendre le temps de faire son noeud avant de s'occuper de son meilleur ami. Mais les lamentations l'empêchaient de se concentrer et elle consenti à lever ses yeux bleus. Le pauvre Dubh s'était blessé en vol - encore une originalité des aéromanciens... - mais ce n'était pas la blessure qui interpelait l'anglaise. « Mais c'est épouvantable ! » s'écria-t-elle en déposant sa broderie sur son bureau - elle ne parlait absolument pas de la blessure, mais bien de la veste qu'elle avait planifié de voler un jour. Dans le mouvement pour retirer ses pieds du bureau, elle fit tomber le cendrier et la cigarette allumée avec aux pieds de Dubh. « Il faut que tu enlèves ta veste immédiatement » ordonna-t-elle d'un ton impérieux, sans réaliser que sa cigarette allait enflammer le magnifique tapis oriental qui était à ses pieds... « Je t'ai toujours envié cette pièce, j'aurais bien du te la voler au lieu d'hésiter » - le culot, quand tu nous tiens. Ce n'est que lorsque l'odeur de brûlé lui monta aux narines qu'elle réalisa qu'elle était en train de foutre le feu à son tapis. « MON TAPIS » - Ô feu ! Penelope attrapa son verre d'eau sans réfléchir et le jeta sur les grésillements de flammes qui s'éteignirent, heureusement, avant qu'une catastrophe arrive. Et ce n'est que lorsqu'elle poussa un soupir de soulagement en reposant son royal fessier sur son fauteuil qu'elle réalisa la blessure sanguinolente sous la veste. « Oh Dubh mais c'est aussi épouvantable que ta veste ! ». Merci Penny pour la délicatesse... Alertée par tous ces bruits qui sortaient de l'ordinaire, Volusa débarqua de son pas souple, intéressée aussi par l'odeur du sang. « Il faut qu'on t'emmène te faire soigner » décréta-t-elle. En se levant, la sorcière marcha sur sa cigarette désormais éteinte,et ajouta : « On ne sait jamais, t'imaginerais-tu vivre avec un membre de moins ? ». Parce que elle non. Elle lui fit les gros yeux pour faire passer son message. Elle ne prendrait pas le risque de couter son bras parce qu'elle s'était improvisée infirmière à domicile.

(611)
Dubh Ó Fearghail
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27 juillet 2024





"I'll sue you if you don't sew."

tw : mention de blessure, de sang, de feu au secours.
Soundtrack : The Beatles

La réaction de sa coloc en débarquant dans sa chambre - ou plutôt son absence de réaction - ne fut pas tellement pour le surprendre. Reine des glaces qu’elle pouvait être, Penny préférait visiblement s’atteler à une tâche créative avant de gérer son cas, ce qui était un drame supplémentaire qu’il ne manquerait pas de lui reprocher à l’occasion mais soit. Finalement, la situation finit par l’alerter assez pour qu’elle lève les yeux vers lui et réalise. Oui madame, il y avait urgence, et maintenant s’il vous plait. Obéissant sans se faire attendre, Dubh entreprit d’ôter le tissu, bravant sa douleur qui lui semblait bien minime, ignorant au passage les petites étoiles qui vrillaient devant ses yeux parce que aie quand même. Déjà, il était prêt à s’outrer de son attitude de petite fouine voleuse, si un incident chaotique n’avait pas détourné tout à coup son attention de poisson rouge. « T’es culot… Ouch ! » La sensation de chaleur proche de sa paire de sneakers lui fit baisser les yeux, constatant qu’une jolie flamme s’était invitée dans le décor pour ajouter un peu de drama dans la scène qui n’en manquait déjà pas. « Penny ça craaaame ! » Toujours cette même réaction affolée alors qu’ils n’en étaient pas à leur première expérience de pyromanie, la dernière remontant à un mois quand Dubh avait cramé un bout de rideau en soirée trop arrosée où son mégot avait malencontreusement volé de sa main. Heureusement, ils vivaient avec un hydromancien. Mais cette fois, Hasan n’était pas là, et vite, il fallait réagir, et dans la panique, empêtré dans sa veste, Dubh ne fit qu’agrandir le trou béant. Enfer et damnation !

Entre temps, la jeune femme avait eu le bon réflexe de jeter le contenu de son verre sur le feu naissant - verre qui contenait fort heureusement de l’eau et pas une quelconque boisson aggravante. « On a eu chaud. » lâcha-t-il dans un rire mi insouciant, mi nerveux, conscient de sa blague nulle. Mais c’était sans compter les yeux tout rond de la couturière qui fixait son bras. Pardon mais quoi ? Tout à coup, Dubh réalisa l’étendue des dégâts dans sa propre chair. Trop accaparé par sa précieuse veste, trop pressé, l’aéro n’avait même pas songé à s’examiner et jaugea donc la situation avec calme. Des blessures, il s’en faisait tout le temps. Au point qu’il connaissait son groupe sanguin, et surtout la technique parfaite pour récupérer une fringue souillée par le surplus de rouge. « Merde, va falloir racheter du gros sel je pense. » Oui, parce qu’à l’instant précis, c’était toujours la tâche sur sa veste qui le tracassait, voyez. Marrant d’ailleurs de voir Penny, et son familier mêle-tout en faire des caisses pour une écorchure sans grande gravité. « Ca va regarde, j’arrive à le bouger. » Démonstration faite à base de grimace, il n’y avait vraiment pas fracture. Donc pas d’amputation à venir - mais quelle idée.

Bon, pour sûr qu’il allait falloir faire un tour à l’hôpital histoire de régler le souci, parce que ça continuait à saigner, et bientôt sur le tapis s’il n’y faisait rien. Et ce tapis avait déjà assez morflé comme ça pour la journée après tout. Choppant le bout de tissu à portée sur le bureau - l’oeuvre de Penny, hélas - Dubh enveloppa la blessure tout en l'examinant quand même histoire de rassurer l'auditoire. « Je mise sur quatre points de suture max. Oh, tiens, c’est joli ça, c’est quoi ?  » La broderie venait de lui attirer l’oeil d’un coup, même si inachevée, sans réaliser qu’il venait peut-être de ruiner des heures de travail. Oups ?
Penelope Chatterton
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Penelope Chatterton
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Entre Dubh et Penelope, c'était difficile de dire lequel avait le plus les pieds sur terre - sachant que l'un des deux avait tendance à se prendre des murs en plein vol, considérons que c'est la Chatterton qui était la moins perchée. Pour autant, l'un comme l'autre était catastrophé comme il faut. Penny ne savait pas si Dubh s'inquiétait pour sa chair ou pour sa veste, elle s'inquiétait pour les deux, sans doute avec une pointe en faveur... de la seconde. L'aéromancien s'était pris assez de murs dans sa vie pour qu'elle arrête de s'en faire trop. A vrai dire, elle aimait bien en faire des caisses, tellement qu'à la fin elle ne faisait même plus exprès, parce que le drama n'a aucune limite. Le feu qu'elle failli foutre à l'appartement venait d'abîmer son splendide tapis mais elle voyait presque cela comme une magnifique occasion de le rendre plus original. Tout comme cette veste... L'anglaise fomentait déjà son plan dans sa tête. D'autant plus qu'elle aurait à charge de la remettre en état... « Et du liquide vaisselle » commenta Penelope. C'est que cela marchait foutrement bien associé avec le sel, vieille recette de sa grand-mère.

Penny regarda le jeune homme bouger son bras et fit sans doute la même moue que n'importe quelle infirmière avec un semblant de de conscience professionnelle. Mais heureusement, elle n'était pas infirmière. Sauf que tout allait de mal en pis, comme si on devait lui faire payer d'être mentalement une petite peste. La broderie, qu'elle comptait vendre pour un prix carrément plus élevé que ce qu'elle valait, servit à Dubh comme gaze. Les yeux déjà globuleux de Penelope s'ouvrirent en grand et son teint vira au rouge cramoisie spéciale tomate italienne. « DUBH » s'écria-t-elle trop tard. La voix de crécerelle avait résonné dans tout l'appartement. Le mal état fait, le cœur de l'anglaise éclaté dans sa poitrine comme quand son ex l'a largué. Les larmes lui montèrent aux yeux, parce qu'elle y avait passé la journée, qu'elle était contente de son idée et qu'elle comptait bientôt voir l'étendu du résultat... Mais avec tout ce sang, cela semblait être peine perdue. La colère commençait à monter comme une chantilly et les poils de Volusa commencèrent à se dresser sur son dos. « Tu viens de tout ruiner... ». Qu'importe sa douleur, sa veste et tout ce sang. Le travail et les heures qu'elle avait passé seraient des heures gâchées. Elle qui ne roulait déjà pas sur l'or, se voyait donc privée d'une nouvelle opportunité de vente. A cause de son meilleur ami. « C'est moi qui vais te rajouter des points de suture » menaça-t-elle de mauvaise humeur. Elle venait de décider de ne pas exploser - pour l'instant - et de s'occuper du plus urgent : la veste. « Je vais m'occuper de ta veste et toi tu files à l'hôpital » ordonna-t-elle. Dans son regard dansait une flamme que l'on retrouverait davantage chez les Enfants des Volcans. Son tempérament impétueux ne venait pourtant pas de ce coven. Il lui fallait toute la volonté du monde pour ne pas l'incendier sur place, mais elle s'en chargerait une fois seulement qu'il aurait ses points de suture. « OUSTE ».


Après une crise de larme assise sur les toilettes pendant que Dubh était à l'hôpital pour se faire soigner, Penelope décida de s'occuper de la veste du jeune homme. Avec ses longs doigts fins, Penny s'est affairée, avec grande précaution, à retirer le sang de la veste. Volusa s'était permise de lécher le mollet de la sorcière, sachant combien elle était irritée de la situation. « Si tu savais comme cela m'énerve... ». Le familier ne répondit rien et se contenta de fixer l'anglaise silencieusement. La tâche était partie lorsque Dubh revint à l'appartement. Penny ne regarda même pas l'heure et sortit une tête seulement de sa chambre pour l'accueillir, la mine toujours sombre : « Ta veste sera comme neuve demain » - avant de claquer la porte pour faire comprendre que oui, elle était GA-VÉE !

(672)
Dubh Ó Fearghail
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27 juillet 2024





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Tout affairé qu’il était à gérer le drame du moment - à savoir son bobo qui était bien plus que ça - Dubh ne réalisa même pas qu’il venait de briser un coeur. C’était tout lui, au fond, juste palier à l’essentiel et capter après. Bien, bien après. Son prénom invoqué avait tout du tire-larme alors que Penny le considérait comme s’il venait d’insulter ses ancêtres sur quatre générations. Qué que quoi ? Mais Dubh connaissait assez la coloc de meilleure amie pour savoir qu’il venait de franchir une limite, et une grosse. « Mais quoi ? » Sauf que sur le moment, franchement, ça ne percutait pas. Mais il avait ruiné quoi en fait, à part sa propre capacité à plier son coude sans avoir envie de pleurer ? Les menaces de l'enfant des vergers furent toutefois assez pour le glacer sur place. Oula, c’était sérieux. « Mais Pen… » Sa voix se fit douce, comme désolée pour un crime qu’il ignorait avoir commis. Penny aimait en faire des caisses, c’était sûrement ça. Quoiqu’un truc en lui lui fit comprendre qu’il avait salement merdé. « Ok ok, j’y vais, tu … » Phrase inachevée. Aoife avait fini par pointer le bout de sa truffe, demie endormie, tirant sur le pantalon de l’aéro. « Dubh, écoute-la. » La chienne avait la voix calme des situations qui le requéraient. OK, hôpital ça serait.

Quelques heures plus tard, Dubh sortit du bâtiment le bras bandé. Trois points seulement, il avait surestimé. Le médecin en charge avait roulé des yeux, le même qu’à l’incident d’avant. « Mais comment faites-vous pour toujours vous fourrer dans de telles situations ?  » Petite tête adorable et contrite, pas vraiment de réponse. Casse-cou un jour, casse-cou toujours non ? Dehors, la husky huma l’air, l’oeil dans le jugement. « Dubh Dubh Dubh… elle avait l’air trop fâchée…» Peiné plus par l’accueil qui l’attendait que par son état, l’aéromancien se posa sur un banc, le bras en écharpe dans son autre main. « Je sais… elle va flinguer ma veste pour me faire payer, hein ?» Sauf que non. Penny et l’amour du style, ils se savaient. Mais Penny sa meilleure amie surtout, qu’il voulait toujours avoir à ses côtés malgré ses impairs nombreux à dénombrer. « Je sais ! » Joyeux d’un coup, Dubh retourna dans le temple de la douleur et en ressortit l’air ravi et la main occupée; Aoife leva les yeux au ciel, consternée. « T’es un cas désespéré. »

Le trajet fut long jusqu’à l’appartement, à pied. Dubh avait cramé trois clopes, manqué de lâcher le cadeau 2 fois. Mais non, tout tenait bon. L’ascenseur en panne l’obligea à regrimper trois par trois, sans voisine curieuse pour le gêner. Yeah. Croisant Hasan dans l’entrée de chez eux, l’hydromancien fut inquiet, et pour cause. En deux deux, Dubh le rassura avant de filer direction la chambre de Penny, d’où une tête sortit bientôt pour le houspiller avant de claquer tout fort. Oh misère, elle était en colère. « Mon coeur… » susurra-t-il de sa voix doucereuse en toquant de sa main valide, ouvrant comme souvent la porte sans invitation. Le retour de flamme était un risque, il le savait, mais risque qu’il prit sans hésiter. A pas de loup, Dubh poussa donc le gond, pointant son minois timidement derrière un gros ballon de mauvais goût qui évoquait un bon rétablissement sur le verso invisible. « Je suis vraiment, vraiment, vraiment désolé… » Et honnêtement, il l’était. Pas sûr de capter à quel point il avait fait une connerie, mais si ça la contrariait... « Promis, tu me piques la veste quand tu veux… » Sauf audition. Oh merde, demain… « On commande thaïlandais ? A mes frais. Pour ma couturière préférée. » Oh comme c’était hasardeux. Maintenant tout à fait rentré dans la pièce, Dubh lui tendait le ballon comme un enfant de cinq ans. Ca lui avait coûté 10 livres, mais tant pis. « Pour ma bae. » Excès de truc niais, il le savait. Mais tout pour se faire pardonner, alors rip la dignité.
Penelope Chatterton
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Penelope Chatterton
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Le mausolée qu'était son cœur s'était transformé en tombe inconnue sans pierre tombale à cause de Dubh, de sa tendance à se croire tout permis et à prendre toute la place. La sorcière se sentait dépassée, désespérée. Volusa lui léchait tristement le mollet alors que ses joues étaient encore humides de ses larmes lâchées sur le trône. Elle se demandait bien combien allait lui coûter un nouveau set de torchons pour reprendre son travail de couture. « Tu sais bien comment il est... ». Pour une fois apaisante, Penny se doutait que son familier disait cela de son intonation profonde pour conserver sa propre amitié avec le husky drama-queen de son meilleur ami. L'était-il vraiment ? Après ce qu'il avait fait ?

Un puissant soupir s'échappa des lèvres roses de Chatterton. Volusa n'était jamais très bavarde. Cela convenait très bien à la sorcière. Elle faisait souvent office de créature apaisante et mature pour elle, douce ironie lorsque l'on sait qu'elle avait les griffes acérées et une fâcheuse tendance à sauter sur ce qui ressemblait de près ou de loin à une proie. Pour autant, elle l'aidait à se contenir, généralement. Si la tâche sur la veste ne mit pas longtemps à partir, Penny péta un boulard en arrivant pas à enfiler un fil dans une aiguille. « CA ME GONFLE, CA ME GONFLE, J'EN AI MARRE » - et ainsi utilisa-t-elle la veste pour taper sur sa couette avec. Volusa bondit en arrière, les pupilles dilatées. « Mais arrê- » ; « TAIS TOI TAIS TOI ». En presque pleine crise d'hystérie pour ce qui n'était pas grand chose, sans doute que la goutte d'eau débordait d'un vase trop plein. Dubh avait une personnalité très différente de la sienne et cela n'avait jamais causé de problème. Mais parfois, à l'instar d'un choc des cultures, les choses étaient difficiles à gérer. Parce qu'ils avaient une sensibilité différente, Penelope se sentait une âme trop sensible enfermée dans un corps qui ne l'était pas. Sa solitude la conduisait souvent à se forger une carapace, les gens ne la comprenaient pas. Ses parents ne l'avaient jamais comprise, toujours jugée. Elle ne se sentait pas dans le bon coven, emprisonnée avec un don qui lui déplaisait. Et cette impression d'être à la merci de tout le monde, couturière aux doigts d'or que l'on vient voir pour régler un problème en ruinant son travail. Et qu'est-ce qu'il allait faire ? Sans doute s'excuser, penaud, sans comprendre qu'on ne respectait pas, une fois de plus, ce qui comptait pour elle.

Elle l'informa lorsqu'il revint qu'il aurait sa veste demain, comptait clairement ne plus lui parler de la soirée. Sa crise d'hystérie pulsait encore dans ses doigts. Sa voix douce ne l'adoucit pas pour autant. « Je te déconseille de me mettre des baguettes entre les doigts Dubh, sinon tu vas perdre un œil dans l'opération » le menaça-t-elle. Armée de son aiguille à laquelle elle avait enfin réussi à enfiler un fil, Penelope s'approcha d'un coup du jeune homme et creva son maudit ballon. Le PSCHITT de sa tentative pour se racheter s'écrasa à ses pieds. Penny pouvait être cruelle si elle le désirait. Impétueuse aussi, c'était son caractère. « J'en ai marre Dubh » dit-elle la voix vibrante de colère, « marre que vous considériez TOUS mon métier comme quelque chose de subsidiaire, de ridicule, de pas assez important au point d'utiliser MON TRAVAIL, MON ARGENT, comme foutue gaze parce que tu t'es mangé un mur ». Si Penelope parlait habituellement très bien, elle se lâchait largement avec Dubh. « Je ne suis pas votre boniche à tous, j'ai passé la journée sur ma broderie et cela ne t'intéresse peut-être pas, mais j'ai perdu de facto une journée de ma vie pour rien ». Du coin de l'oeil, malgré tout, Volusa s'approcha d'Aoife, pas pour déclarer la guerre mais pour lui mettre un coup de langue derrière l'oreille. Pas de bol, comme si ce n'était pas le moment, le lynx se retrouva avec des poils plus drus dans la gueule qu'elle n'en avait l'habitude, et elle commença à baver pour s'en débarrasser en louchant vers ses moustaches.

(696)
Dubh Ó Fearghail
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Dubh Ó Fearghail
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queen of denim
27 juillet 2024





"I'll sue you if you don't sew."

tw : mention de blessure, de sang et de coloc pénible à souhait.
Soundtrack : Queen

C’était un fait avéré, Dubh n’avait franchement rien du coloc idéal. Le simple fait qu’il soit devenu un de ces coloc d’ailleurs tenait plus du miracle, et de sa fichue tendance à être un parasite social. Squatter un canapé des semaines durant avait fini par faire de lui un membre permanent du groupe, associé au fait que quelqu’un partait, et voilà qu’il avait trouvé sa place sans même avoir à trop chercher. Et même si sa personnalité solaire faisait du bien au quotidien, Dubh était quand même du genre pénible à vivre. Pas doué pour remplir le frigo, ni payer le loyer à l’heure, l’aéromancien compensait sacrément par son charisme et ses douces phrases qui endormaient le monde, alors que lui même organisait souvent des soirées improvisées et comblait si souvent le silence de ses dialogues bruyants avec Aoife, ou par sa musique trop forte. Mais par un truc qui ne s’expliquait pas, Penny et les autres s’étaient attachés à lui, comme on se prenait d’affection pour un chien errant plein de puces à la bouille adorable. Penny plus que les autres d’ailleurs, sacrée bien vite meilleure amie malgré son caractère de cochon - ne lui répétez jamais ça.

Alors forcément, de savoir Penny fâchée, ça l’ennuyait sacrément. Raison pour laquelle il était prêt à claquer le peu qu’il lui restait sur son compte pour l’amadouer, surtout quand elle lui faisait ses yeux là. Les menaces ne tardèrent pas à gronder, la faute à ce côté drama queen qu’elle avait - bien un truc qui les rapprochait, définitivement. Ok, pour le thaïlandais, on repasserait donc. Dubh tenait trop à ses yeux pour la laisser avec une arme de destruction oculaire massive. La suite, toutefois, eut le mérite de bien plus lui fendre le coeur alors qu’elle crevait son cadeau d’un geste assassin. Merde, 10 livres foutues en l’air. Ou au sol, plus exactement. Mais bientôt, Dubh eut autre chose à considérer que ces pauvres sous mal dépensés. Penny entra dans une forme de rage qu’il ne lui connaissait que peu, même s’ils n’étaient pas à leur première engueulade. Oula, il y avait plus profond que ce qu’il pensait dans cette colère là. Le coeur à vif, la jeune femme lui déballa tout de ce qui la rongeait, avec beaucoup d’injustice au passage. Comment ça quoi, Dubh ne considérait pas son travail ? Non mais c’était la meilleure, lui qui lui achetait de temps en temps des trucs avec ses maigres deniers et qui l’encourageait tout le temps. Tout ça pour sa broderie ? Oh non vraiment, il n’avait pas perçu le caractère aussi dramatique de la chose. « Mais Pen… » La créatrice finit de défouler ses nerfs et Dubh, penaud, l’écoutait, sa ficelle dans la main comme un enfant triste qui revenait d’un parc d’attraction et qui aurait rencontré des barbelés.

« Mais je sais que t’es pas ma bonniche, et que ton travail est important. Tu sais comment je suis fan hein, et puis je serais pas venu te voir sinon. Enfin, ok, on dirait que je te prends pour ma bonniche sur ce coup là, mais c’était pas le cas ! C’est parce que t’es la meilleure mon coeur. » Ca sonnait comme une excuse toute nulle mais pourtant, Dubh pensait chaque mot. « J’avais pas vu que c’était ton travail, je suis vraiment, vraiment désolééééé. » En même temps, Penelope n’avait jamais donné dans le torchon avant, mais il se garda bien de lui dire. « Je te promets de rattraper le massacre, juré. Si y’a bien quelqu’un de doué pour faire disparaître une tache de sang, c’est moi ! » Ca sonnait comme une phrase de serial killer, et pourtant, juste une dans la bouche d’un grand blessé habitué. « Et puis si ça reste marqué, tu peux toujours me le floquer sur une fringue et je le porterai, je te promets. Ca sera pas du gâchis. » Du coin de l’oeil, il remarqua enfin le motif, une petite méduse qui rendrait joliment en rose si jamais ça ne partait pas. « Juste pas sur ma veste hein ? Elle a déjà trop mon A négatif sur la manche, hein… » Une vanne récurrente avec ses adelphes qu’il ait un rhésus négatif en étant un être si positif. Mais pas le moment là de blaguer. Déjà que réévoquer sa veste, c’était peut-être la maladresse de trop, alors…
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