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[Abandonné] I'm with you, 'till the end of the line ☘ ft. Aydan

Maeve Ó Fearghail
Isolationniste
Maeve Ó Fearghail

En ligne

Trombinoscope : [Abandonné] I'm with you, 'till the end of the line ☘ ft. Aydan AqvlYaEq_o
Face claim : amelia zadro
Pronoms RP : she/her
Âge : 26 ans
Tuer le temps : Tournée vers les autres - les animaux, [ Soigneuse au Hermitage of Braid ], souci de préserver ce que l'humanité abîme et d’offrir cadre respectueux de toute forme de vie.

Familier : [Abandonné] I'm with you, 'till the end of the line ☘ ft. Aydan Oqxr
un [vison d'europe] répondant au nom de cinnamon - la plupart du temps raccourci en cinna, souvent confondu avec une loutre ou un putois au plus grand damne de ce dernier.

Compte en banque : 780
Arrivé.e le : 23/05/2024
Messages : 491
Champion.ne : [Abandonné] I'm with you, 'till the end of the line ☘ ft. Aydan M99MSHi [Abandonné] I'm with you, 'till the end of the line ☘ ft. Aydan OcdIEGk

   

I'M WITH YOU, 'TILL THE END OF THE LINE
30.05.2024




ft. @"Aydan Ó Fearghail"  

" sometimes, simplest things are the greatest "
tw : parent dysfonctionnel, vulgarité, alcoolisme

Écran glissant sous les doigts - pavé tactile effleuré, message envoyé à son cadet pour l'informer qu'elle se mettait en route pour leur rendez-vous. Encore un message - parmi d'autres, comme celui de la veille où elle avait glissé son impatience d'être aujourd'hui pour enfin le revoir - aussi à la fonction de rappel déguisé ; car elle avait remarqué qu'il lui répondait de moins en moins souvent Aydan. Qu'il y avait les oublies - répétés, se dit que cela venait peut-être d'une période chargée au travail, ou de la fatigue cumulée. Essaye - d'ignorer et apaiser l'intuition à qui ces excuses ne semblent pas convenir - suffire. « Meve, t'as pas sorti les poubelles ! C'est si compliqué qu'ça de sortir un putain de sac ?» Voix de la matriarche résonne - l'arrache à l'inquiétude logé au creux de sa poitrine quant au pyromancien. « Désolée maman, j'ai dû oublier ! Tu me connais, je suis tête en l'air. Je m'en occupe.» Sourire désolée aux lèvres - sans protester ni reprendre son prénom déformé encore une fois, rit du trait distrait qu'on lui colle en excuse.  L'écho déformé dans la voix de leur mère qu'elle reconnaît - celui trahissant l'ivresse habituelle, celle lors de laquelle argumenter n'a pas le moindre sens. « Et voilà, c'est fait ! A ce soir.» Jeté à la volé - en même temps que les poubelles, dernier sourire pour leur mère qui a déjà retrouvé le réconfort de sa bouteille. Dernier regard - qu'elle jette à son téléphone pour voir si son frère lui a répondu, avant de grimper sur son vélo.

Destrier d'acier abandonné au milieu de l'étendue verdoyante, il y a un sourire qui se colle à ses lèvres - et les épaules s'affaissant sous la respiration apaisée. Permet d'oublier - l'angoisse engendrée par l'énième constat de la détresse de leur mère, et de se concentrer - sur le moment à venir. « Tu me donnes un coup de main Cinna ?» Glissé au vison - alors qu'elle attrape le drap qu'elle étend sur l'herbe, familier se glissant dessous pour l'aider à en dégager les plis. Panier - déposé sur le tissu, la brune en extirpe rapidement ce qu'elle avait préparé pour l'occasion - exclusivement des choses qui seraient simples à manger à la main, l'essentiel d'un bon pique-nique selon elle ! Photo capturée - une fois que la disposition lui semble satisfaisante, qu'elle envoie à son cadet en lui signifiant qu'il ne manquait plus que lui ; le plus important à ses yeux.

Bruissement de l'herbe foulé - lui faisant finalement relever la tête, lui indiquant que le tatoueur était là. Empathe bondissant sur ses pieds - elle ne prend qu'un instant, pour détailler son cadet, bref coup d’œil de la tête au pieds - celui qu'elle adressait toujours à ses adelphes lorsqu'elle les retrouvait, juste pour s'assurer qu'ils avaient au moins l'air d'aller bien. « Aydan !» Arabesques trahissant la joie l'étreignant sur l'instant, sourire solaire, bras se glissant autour des épaules de son frère, étreinte en guise de salut. « Je suis contente de te voir » Soufflé - un peu plus posément, pas moins joyeusement. Affection qui - si elle n'était pas toujours la plus habile pour l'exprimer, elle mettait toujours un point d'honneur à verbaliser ; laisser savoir combien - ses proches comptaient pour elle. La soigneuse se recule d'un pas - foule le drap aménagé pour l'occasion. « Tout ça n'attendait plus que toi.» Glissé - alors que le bras désigne les assiettes posées ci-et-là. « Promis, il n'y a rien au chocolat !» Car il détestait ça - et elle le savait bien.

Crédits : ☆, lea