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(alaois) ≈ you’re my favorite kind of night

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Sílas Carter
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Sílas Carter

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La discordance des temps modernes

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Âge : vingt-neuf ans (29.08)
Tuer le temps : c’est presque une histoire de famille à ce rythme; résident en chirurgie thoracique et cardiovasculaire au CHU d’Edimbourg, il ne vit que pour l’euphorie du bloc, du bistouri et de flanquer une bonne raclée à son paternel
Familier : Icarus est un chat européen qui adore emmerder son monde et qui est plutôt doué à la tâche (comme son sorcier, tout à fait)
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you’re my favorite kind of night
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Cette putain de journée, voilà ce qu’il se dit sur le chemin du retour, Sílas. Il n’a pas le pied champêtre — ou l’âme, peu importe l’inexactitude de l’expression employée puisque toutes les fibres de son corps sont unanimes sur la question : il n’a strictement rien à foutre dans une forêt, et tout amoureux qu’il est, ce n’est pas au point de se complaire à jouer les (très mauvais) hippies modernes entre deux branches d’arbres fruitiers. Il ne comprend toujours pas pourquoi Cat a autant insisté pour qu’il accompagne le coréen dans l’une de ses escapades bucoliques à la con mais, après être passé chez lui pour prendre une douche et se changer — parce que la poussière, la boue, l’herbe et toutes ces conneries pastorales dont il se serait bien passé, il revient dans l’appartement de son petit-ami en claquant la porte, déjà prêt à en découdre même s’il est retardé dans le jet de ses hostilités par une voix fluette qui retentit sur le palier ’’EH OH J’AI RIEN FAIT MOI’’ merde qu’il pense en revenant sur ses pas pour ouvrir de nouveau la porte à Icarus qui, bien que mécontent, se limite à un regard réprobateur dirigé vers son sorcier quand il s’avance dans l’appartement, pas franchement décidé à s’offrir en bouclier. Son élan dramatique est foutu à cause de son familier mais, la main sur la bordure de la porte, Sílas effectue une petite moue hésitante avant de la claquer une deuxième fois, comme si cela mettait une emphase particulière sur la colère qu’il libère sitôt que ses yeux accrochent la silhouette de son petit-ami ’’Toi,’’ inutile de dire que le ton n’est guère affable ou même affectueux, mais plutôt annonciateur d’un courroux qui ne tarde pas à le transformer en moulin à paroles, puisque c’est d’une seule traite qu’il débite un ’’Est-ce que j’ai l’air d’être Charles Ingalls ?’’ il replie ses doigts contre ses paumes exceptés ses index, car il en use pour se désigner en les articulant dans le vide ’’Quand tu me regardes, à quel moment tu te dis que ma passion dans la vie c’est de me promener dans les bois en prenant des saletés de fleurs en photos ? Dis-moi, j’ai l’air d’être un retraité ?’’ inclinant légèrement son profil sur le côté, il hausse ses sourcils d’un air faussement interrogateur, attendant quelques secondes que la question fasse son chemin dans l’esprit de son homme, duquel il se rapproche en continuant de déblatérer ’’Pourquoi tu m’as envoyé là-bas ? Tu sais que j’aurais pu mourir ?’’ il a failli tomber six fois et a été pourchassé par des abeilles donc c’est tout à fait comparable à un stage de survie en milieu hostile, ouais ’’Tu veux te débarrasser de moi, en fait ? C’est comme le Petit Poucet, le but c’était de me perdre en forêt c’est ça ?’’ il bascule légèrement son regard sur le côté en étant visiblement persuadé qu’il tient la bonne hypothèse, mais difficile pour Cat d’en placer une parce que le monologue du médecin n’est pas encore achevé ’’C’est déloyal ce que tu as fait, tu m’as tendu un piège. Je voulais te faire plaisir et je me suis retrouvé avec Gargamel en train de chasser les Schtroumpfs dans la foret,’’ l’extrémité de son index vient se poser à la bordure de son pouce, formant une boucle qui est le noeud avec lequel il projetait de se pendre un peu plus tôt, et qu’il article au rythme de ses syllabes colériques ‘’Donc si tu espérais avoir un autre plaisir, ce soir et pour les jours à venir, je ne suis pas navré de te dire que c’est mort, je vais rentrer et essayer de survivre à cette journée traumatisante. Et si je finis en stress post-traumatique, ce sera de ta faute.’’ inutile de dire qu’il en fait trop, il est actuellement au service minimum et il y a fort à parier que Cat va en entendre parler pendant un long moment… ou pas ?

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Alaois Ó Fearghail
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Tuer le temps : Gérant du "Friday 13th" officiellement, dans les affaires louches officieusement. Non pas que ça le comble dans sa vie, au contraire, il déteste quand il voit la dépendance parler, mais au moins, l'argent est facile. Sale, c'est vrai, mais il peut subvenir à ses besoins et surtout ceux de sa famille depuis bien longtemps grâce à cette source de revenus.
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Barthelemy Aristide Celestine Booth of Dunham Massey, Emperor of trash, raton-laveur excentrique qui n'a pas la langue dans sa poche et aime se mettre dans des situations périlleuses.


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Est-ce que c'était une bonne idée d'envoyer son précieux petit ami en pleine foret avec son bras droit ? Peut-être pas, c'est vrai... Mais Cat n'avait pas eu le choix, c'était aujourd'hui ou bien et Ryung était disposé à lui accorder quelques faveurs... Alors, forcément, Alaois avait sauté sur l'occasion, envoyé l'hydromancien dans les pattes du rat et une fois qu'il était certain qu'ils étaient bien partis, il s'était dépêché de rejoindre son lieu de rendez-vous, Bart sur le dos, comme d'habitude. Parce qu'il voulait faire une surprise à Silas, une belle surprise... Enfin il espérait. Parce qu'il avait passé du temps, à fouiller chez son petit ami, à la recherche d'une photo de ce fameux piano, dont le père de Silas s'était honteusement débarrassé sur un coup de tête, sans penser une seule seconde à l'affecte que son enfant portait à cet instrument. Et puis, une fois trouvé, il avait passé des jours et des nuits à éplucher les sites de ventes aux enchères, jusqu'à le retrouver. L'enchère n'avait pas été simple, il y avait mis le prix, mais le sorcier était heureux de l'avoir retrouvé. Mais maintenant, il fallait le ramener....

Et l'aventure avait été drôle, surtout au moment de faire léviter l'instrument dans la cage d'escalier, le familier étant monté dessus pour hurler " A DROITE NON L'AUTRE DROITE AH NON TU AVAIS RAISON" ou encore " TUTUTUTUT tu te rapproches du muuuuuuuuur " Ça avait été long, fatiguant, mais ils avaient réussi et ça, c'était le plus important. Enfin non, le plus dur était fait, le plus important, c'était de trouver l'endroit parfait pour accueillir le piano. Pendant deux heures, sorcier et familier avaient chercher, bougé les meubles, jusqu'à finalement trouver un coin dans le salon, où il serait parfaitement mis en valeur. Petite touche finale avant une douche bien méritée, rendre l'instrument invisible le temps que son homme rentre.

Et c'est finalement quelques heures plus tard que le chirurgien rentre, plus remonté que jamais. En entendant et surtout en voyant son cher et tendre dans une colère noire, Alaois ne dit rien, le laisse parler. De toute façon, est-ce qu'il l'aurait laissé parler ? Il n'était pas bien sûr, c'est qu'il commençait à le connaître, son petit ami. Alors, il se contente d'écouter, hochant parfois la tête, fronçant parfois les sourcils, mais le sourire ne disparaît pas. Il était beau quand même, Silas, même s'il était énervé. Mais il le serait encore plus en voyant sa surprise, non ?

"Désolé, je ne pensais pas à mal, vraiment... Je ne pensais pas que tu vivrais toutes ses aventures." Il s'approche de quelques pas. "Mais merci d'avoir accepté de l'accompagner... Si j'avais pu faire autrement, je l'aurais fait mais... il fallait vraiment que je t'éloigne de la ville quelques heures." Et avant que Silas ne tente de dire autre chose, Cat le coupe " Je t'ai écouté sans t'interrompre, alors s'il te plaît, écoute moi jusqu'à la fin, hm ? " Maintenant juste devant son homme, l'aéromancien vient prendre doucement ses mains pour les serrer dans les siennes, plongeant son regard dans celui de l'enfant des vagues. " Je voulais te faire une surprise, je devais aller la chercher et si tu étais là quand je revenais avec ma surprise aurait été gâchée... Donc, j'ai comploté avec Ryung pour que je puisse avoir le champ libre." La vérité, rien que la vérité, promis juré. " Bon, si j'avais su que là-bas, tu aurais pu mourir, j'aurais trouvé un autre moyen... Promis, la prochaine fois, je t'offrirais une journée dans un spa, au lieu de t'envoyer dans la gueule de Gargamel" Même si bon, parfois, on ne pouvait pas tout prévoir... " Tu me pardonnes ?" Offrant son plus grand sourire, le bouclé attend sa sentence, venant tout de même forcer un peu le verdict en attirant l'hydromancien contre lui, enserrant sa taille alors qu'il vient embrasser sa joue, sa mâchoire, son cou, histoire de lui faire oublier les derniers évènements négatifs.

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Le monologue qu’il débite à un rythme effréné n’est nullement gêné par le sourire qui persiste sur le visage de son petit-ami, qu’il désigne comme l’unique responsable des malheurs subis un peu plus tôt dans la journée. Sílas le fixe pourtant, ne décrochant son regard de sa figure qu’en de rares occasions, lorsque sa rhétorique l’emporte et qu’il flâne en gesticulations risibles pour appuyer sa colère, comme s’il avait besoin de semer des preuves pour qu’on se rende compte qu’elle existe, qu’elle est là, physique et pas seulement émotionnelle, inscrite dans son patrimoine génétique comme l’héritage invisible de ses parents défectueux. Parce qu’il n’est pas un homme fait de chair, Sílas, sa peau camoufle la lave d’un volcan en sommeil qui, parfois, entre en éruption et déverse une pluie de cendres sur ceux qui l’entourent.

Il pourrait en prendre ombrage, Cat. Il aurait pu perdre patience face aux épanchements brûlants de celui qui partage sa vie depuis quelques semaines à peine mais, le bouclé semble s’être déjà acclimaté aux orages éphémères qui traversent parfois le ciel de ses humeurs, ne désespérant jamais lorsque le tonnerre gronde, attendant, avec douceur et impassibilité, que le soleil revienne. "Désolé, je ne pensais pas à mal, vraiment... Je ne pensais pas que tu vivrais toutes ses aventures." pour beaucoup les excuses auraient suffi mais, Sílas se contente d’un mouvement du menton pendant qu’il prend une fine inspiration, ses yeux se levant brièvement vers le plafond comme s’il essayait d’y trouver le calme qu’il n’a plus ; il l’a peut-être perdu en forêt mais il n’a pas le courage de partir à sa recherche "Mais merci d'avoir accepté de l'accompagner... Si j'avais pu faire autrement, je l'aurais fait mais... il fallait vraiment que je t'éloigne de la ville quelques heures." autant dire qu’il ne cherche plus un quelconque calme et qu’il fronce ses sourcils avec un air de « tu te fous de ma gueule j’espère » qui lui fait avancer son visage de quelques degrés, franchement heurté par la dureté de la révélation, ou du moins de ce qu’il croit comprendre. La vraie question est ‘’pourquoi’ mais il n’a même pas le temps de la poser, même si ses lèvres ont amorcé l’ébauche en s’espaçant de quelques degrés "Je t'ai écouté sans t'interrompre, alors s'il te plaît, écoute moi jusqu'à la fin, hm ?" faisant claquer sa langue derrière ses dents du haut dans un tic agacé, il est bien obligé de concéder la parole à son petit-ami-qui-a-voulu-l’éloigner-de-la-ville, sans réellement changer de posture tant il est désormais sur la défensive. Méfiant, redoutant à moitié ce que Cat va lui annoncer — dans son esprit fataliste cela ne peut qu’être quelque chose de foncièrement négatif, Sílas le laisse néanmoins capturer ses mains, celles-ci restant molles comme s’il refusait de coopérer avant d’avoir obtenu des réponses probantes "Je voulais te faire une surprise, je devais aller la chercher et si tu étais là quand je revenais avec ma surprise aurait été gâchée... Donc, j'ai comploté avec Ryung pour que je puisse avoir le champ libre." quelques secondes, il aiguise ses paupières comme pour mieux sonder l’expression de son interlocuteur et, comme il ne lit rien d’autre que de la sincérité, il se radoucit enfin (il était temps, oui) en intercalant ses doigts à ceux de son homme ’’Quelle surprise ?’’ qu’il ne peut s’empêcher de demander, ses yeux vagabondant brièvement dans la cuisine avant de revenir sur le beau visage de son compagnon, essayant de lui soutirer des informations par un regard appuyé. "Bon, si j'avais su que là-bas, tu aurais pu mourir, j'aurais trouvé un autre moyen... Promis, la prochaine fois, je t'offrirais une journée dans un spa, au lieu de t'envoyer dans la gueule de Gargamel" la proposition le fait nettement plus rêvé que la journée qu’il vient de passer, et il l’accueille avec une petite moue toujours boudeuse mais, bien moins vindicative que la colère tourbillonnante qu’il a balancé en passant la porte "Tu me pardonnes ?" il ne résiste pas au sourire de son homme mais il minaude pour la forme, feint l’hésitation, ondule son menton de gauche à droite dans des mouvements amples avant d’être happé par l’averse de baisers qui se déposent sur sa peau, et qui font irrémédiablement fondre la carapace rancunière de son coeur — un traitre notoire quand il s’agit de Cat ’’On dirait que tu essaies de me manipuler, là…’’ l’accusation est soufflée sans gravité tandis qu’il enlace la nuque de son homme pour le rapprocher un peu plus de lui, incapable de se satisfaire d’aussi peu de contacts avec lui ; il vient chercher ses lèvres des siennes et, après avoir ramené ses deux mains sur ses joues, il se recule pour demander, d’une voix redevenue malicieuse, presque enfantine, dans laquelle scintille quelques étoiles impatientes ’’C’est quoi ma surprise ?’’

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La réaction énervée de Silas fait ricaner l'aéromancien, qui le remercie tout de même d'un regard, d'accepter de le laisser terminer avant de reprendre la parole. Alaois savait à quel point son petit-ami pouvait parfois (souvent) être tout feu tout flamme et réagir avant d'avoir eu le fin mot de l'histoire. C'est donc pour ça qu'il tente de se dépêcher, de trouver les bons mots pour ne pas faire sur réagir l'hydromancien, même s'il se doute qu'un certain mot clé viendra désamorcer la bombe Silas. Mot clé étant "surprise" et en voyant l'air suspicieux de l'autre sorcier, Cat ne peut s'empêcher de lui faire un grand sourire, refusant de lui donner plus d'information pour le moment. Non, il préférait s'amuser un peu, changer de sujet après avoir parlé de cette fameuse surprise, juste pour titiller son Silas. Parce que Cat aimait le tourmenter gentiment, adorait voir les milliers de petites expressions qui traversaient les traits parfaits de son homme. Et puis, il lui devait bien ça, après avoir maltraitée sa pauvre porte d'entrée, encore une fois. Alors, Cat continue sa petite tirade, s'amuse de la petite moue boudeuse qu'il aperçoit, alors qu'il vient serrer un peu plus les doigts de son alter ego. Et puis, sa dernière carte, demande s'il était pardonné après cette journée d'enfer. Et devant le mouvement négatif de menton de son cher et tendre, Alaois passe aux choses sérieuses=, vient déposer ses lèvres sur la peau qu'il aimait tant embrasser. Un petit rire s'écrase d'ailleurs contre le cou de Silas, quand ce dernier parle de manipulation.

"Mais non, je te couvre d'amour, ce n'est pas la même chose... " Et pour appuyer ses dires, l'aéromancien vient déposer encore quelques baisers au creux du cou de son homme, aimant beaucoup trop son goût, avant de se redresser, lui offrant un grand sourire quand ses yeux rencontrent ceux de l'enfant des vagues. Le toucher dans sa nuque le fait frissonner alors qu'il laisse ses mains aller attraper les hanches du sorcier contre lui, répond à ce tendre baiser, si heureux de le retrouver après une journée passée loin de lui. "Hm... il me faut encore un bisou pour te le dire..." Baiser qu'il vient prendre par lui-même, qu'il fait durer quelques secondes juste pour embêter Silas. Et une fois qu'ils ont rompu, Cat attrape les mains du sorcier, pour l'emmener au milieu de la pièce, devant un mur quasiment vide. "Ferme les yeux ! Et ne les ouvre pas tant que je ne t'ai rien dit, d'accord ? " lâchant les mains de son petit ami, Alaois se recule de quelques pas, fait quelques mouvements devant pour être certain que l'hydromancien ne triche pas. Et quand il est certain que tout était bon, il se dirige vers le mur, vient faire disparaître sa magie, laissant ainsi apparaître le fameux piano. Se mettant ensuite un peu sur le côté, le sorcier observe les traits du chirurgien avec attention, avant de lui dire, doucement. " Tu peux les ouvrir. " Et maintenant, il n'y avait plus qu'à espérer que cela plairait à Silas.



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Les baisers qui s’éparpillent sur sa peau sont comme le vent salvateur qui chasse les nuages noirs ; la contrariété furibonde se dissipe un peu plus chaque fois que les lèvres de l’aéromancien se déposent su sa gorge, si bien qu’il se radoucit sans même s’en rendre compte, ses lippes se courbant à la faveur d’un sourire suave dont il n’est point capable de réprimer l’élan. Sílas est clairement victime de son inclinaison amoureuse, bien trop avide des contacts tendres et affectueux de la part de son petit-ami pour lui reprocher d’en user en cet instant mais "Mais non, je te couvre d'amour, ce n'est pas la même chose..." lui fait émettre un petit rire incrédule qui secoue tranquillement son torse même s’il ne semble pas tellement convaincu par l’argument, marmonnant seulement un ’’L’un n’empêche pas l’autre…’’ ce serait même présentement son outil de manipulation, mais l’ancien médecin ne donne pas l’impression de véritablement s’en plaindre puisque, glissant ses pouces sur les joues de son homme, il revient chercher ses lèvres pour les recouvrir des siennes, ne se privant pas de maintenir le contact par un baiser qui se fait tendre, bien loin des rouages coléreux qui ont pu l’animer précédemment "Hm... il me faut encore un bisou pour te le dire..." s’il ne rechignerait pas à satisfaire la demande de son homme, le chantage exercé par la position de force de ce dernier l’amuse au point qu’il fronce le milieu de son nez en glissant ses doigts jusqu’à sa nuque, ayant l’air de dire mais t’es sérieux ’’Vous êtes dur en affaires, monsieur…’’ il le souffle presque contre sa bouche, avant de fermer les yeux sous l’ultime baiser qu’ils partagent avant de se détacher l’un de l’autre.

’’C’était bien la peine de râler en arrivant.’’ ignorant la remarque railleuse mais néanmoins vraie de son familier, Sílas ne perd pas son sourire lorsqu’il suit son homme sur quelques pas, ses yeux effectuant une rotation entre la pièce — à la recherche de la fameuse surprise, et le visage de ce dernier. ’’Alors ?’’ impatient, il arque l’un de ses sourcils en baissant légèrement le menton "Ferme les yeux ! Et ne les ouvre pas tant que je ne t'ai rien dit, d'accord ?" d’abord méfiant, il plisse légèrement ses paupières en considérant son bouclé, comme s’il redoutait une plaisanterie qui ne serait pas à son avantage, lui qui déteste ne pas avoir le contrôle sur les évènements ’’D’accord…’’ il le souffle en se montrant docile, remontant légèrement son menton lorsqu’il abaisse le voile de ses paupières, les lèvres closes dans un demi-sourire. Les yeux clos, il fronce brièvement ses sourcils sous la concentration, essayant d’être plus sensible aux bruits environnements mais… Il n’a pas les pouvoirs de son homme et, en ce sens, il n’entend rien de bien tangible. ’’Qu’est-ce que tu fais ?’’ il le demande dans un petit rire, fronçant ses paupières par intermittence pour réprimer l’envie d’ouvrir les yeux même sans autorisation — la tentation est terrible mais il résiste jusqu’à la sommation de délivrance "Tu peux les ouvrir." pas besoin de le dire deux fois : il ouvre les yeux en zieutant machinalement de droite à gauche avant d’immobiliser ses billes dorées sur le piano qui, il est sûr, n’était pas là avant. Il n’a besoin que d’une demi-seconde pour le reconnaître, ses reliures anciennes, son clavier dont les touches blanches ont été quelque peu jaunies par le temps — il n’a jamais voulu qu’on y touche, jamais voulu lui offrir une seconde jeunesse comme disait son père, si bien que ce dernier a fini par l’avoir en horreur au point de s’en débarrasser sans plus de considération. ’’Comment tu as…’’ comment tu l’as trouvé, ce sont les syllabes qui meurent sur sa langue lorsqu’il s’approche de son instrument, l’effleurant d’abord du bout des doigts comme s’il craignait de le voir disparaître à nouveau, perdu dans les méandres d’un marché trop vaste pour qu’il puisse le retrouver ’’Je ne sais pas quoi dire…’’ en réalité, si, il sait ce qu’il devrait dire (cela ressemblerait à quelque chose comme « merci d’avoir fait ça pour moi ») mais il ne sait pas s’il est présentement capable de formuler quelque chose de véritablement suffisant. C’est une vraie preuve d’amour de la part de Cat, qui a monté un véritable subterfuge pour que la surprise soit parfaite — et elle l’est, mais jamais personne n’avait déployé de tels efforts pour restaurer une injustice dont il avait été victime.

Alors, après quelques secondes à observer le précieux instrument qui orne le salon de son petit-ami, Sílas pivote sur ses jambes pour se retourner vers Cat, un sourire fendit ses lèvres même s’il vient mordre le coeur de la seconde. ’’Tu es merveilleux…’’ il l’annonce en se rapprochant de lui, attrapant délicatement ses mains dans les siennes pour glisser ses phalanges entre les siennes, les yeux brillants d’une émotion vivace, dont il ne sait pas vraiment quoi faire mais qui gonfle son coeur d’un bonheur immense ‘’Je t’aime, tu le sais ? Je t’aimais avant, même sans ça…’’ ça c’est sans doute son piano d’enfance puisqu’il se retourne vers ce dernier comme pour s’assurer qu’il est toujours là, avant de revenir auprès de son bouclé ’’…Mais ça me touche beaucoup, que tu l’aies trouvé. Je ne sais pas comment tu as fait mais…’’ mais c’est incroyable, et il n’en revient toujours pas mais, utilisant leurs doigts noués pour l’attirer vers le piano, il libère une de ses mains afin d’attraper le banc — dont le bois est tout aussi usé que le reste, afin de le retourner pour dévoiler la gravure, grossière et peu élégante, taillée à même la plaquette de bois sous l’assise capitonnée, portant son prénom visiblement taillé avec un couteau par une main maladroite. ’’J’avais six ans, tu excuseras mon écriture’’ il émet un léger rire en secouant le menton, avant de poursuivre ’’Mais c’est le notre, maintenant. Alors il faut rajouter ton prénom.’’

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Est-ce que Cat savait exactement où appuyer pour faire fondre l'hydromancien ? Très certainement. Mais ça lui servait bien, dans leur quotidien, comme là, par exemple, quand Silas était bien trop énervé pour entendre raison sur le coup. Là au moins, il se faisait plus calme, moins vindicatif, ce qui était mieux pour continuer cette conversation. Alaois vient tout de même rire un peu contre la peau de son aimé, alors qu'il entend sa réponse. C'est vrai, l'un empêchait pas l'autre, mais ça, c'était une autre histoire. Mais bien vite, tout ceci est oublié, le mot "surprise" avait été prononcé et devant l'air impatient de Silas, le bouclé vient réclamer un ultime baiser, savourant les lèvres contre les siennes, leur goût, leur douceur. Elles lui avaient tant manqué aujourd'hui et était bien content de les retrouver. Et il aurait aimé prolonger encore et encore ce contact, mais le sorcier est conscient qu'il ne peut pas trop jouer avec la patience de son homme, que déjà, il était bien patient, surtout après la journée qu'il venait de passer. Et puis, il avait juste beaucoup trop hâte de voir son regard, quand il se poserait sur le piano encore caché des yeux de tous.

Amenant vite Silas au milieu de la pièce, ignorant totalement la remarque du chat qui, comme à son habitude, était d'une humeur massacrante, Alaois demande à l'hydromancien de fermer les yeux et surtout, de ne pas les ouvrir avant qu'il ne le dise. Bien entendu, il vérifie que tout est bon avant de faire apparaître le dit instrument dans la pièce et s'il prend quelques instants pour admirer le sorcier qui partageait sa vie, il ne tarde pas à lui dire d'ouvrir les yeux, trépignant d'impatience de voir sa réaction. Et Alaois n'est absolument pas déçu. Un grand sourire orne ses lèvres, alors qu'il ne loupe aucune miette de ce spectacle, à partir du moment où le chirurgien pose son regard sur son instrument qui s'était volatilisé quelques temps plutôt. Le sorcier hausse d'ailleurs un peu les épaules, face aux mots qui manquent à Silas. " Parfois, il n'y a rien à dire, je t'assure." parce qu'il voyait bien l'émotion dans le regard de l'autre sorcier, que ce soit parce qu'il retrouvait son piano ou parce qu'il se rendait compte qu'il était aimé, assez pour qu'on remue ciel et terre pour retrouver cet objet si cher à son cœur. Et ça lui suffisait, à Cat.

Tout comme le sourire plus que radieux que son petit ami lui lançait était largement suffisant pour un "merci", c'était là le plus beau cadeau qu'il pouvait lui, faire, monter à quel point il était heureux en ce moment même. "J'essaye de l'être pour les personnes qui le sont également. " Entrelaçant leurs doigts, le brun est ému, quand il entend les mots de Silas. " Je t'aime aussi." Sinon, il n'aurait jamais fait tout ça, c'était certain. " Et je vais garder un peu de magie et ne pas te révéler les coulisses !" Avec un petit clin d'œil, Cat se laisse embarquer, laisse une main s'en aller avant de poser son regard sur le dessous du banc, là où une gravure est inscrite sur le bois. "Je t'excuse totalement ! Au moins, ça m'a aidé à savoir que c'était vraiment le bon. Je remercie donc ton toi de 6 ans. Et je rajouterais mon prénom alors, tu crois qu'il faut que je le fasse dans le même style ? " Ça lui fait si chaud au cœur, de savoir que Silas l'inclus dans tout ceci. Après tout, c'était son souvenir à lui, pas celui de Cat, alors, l'inclure de la sorte était une belle preuve d'amour, aux yeux de l'aéromancien.


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