Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €


[Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1

2 participants
Marilou de Mercœur
Candide
Marilou de Mercœur

En ligne

La discordance des temps modernes
La bosse de l'écrivain
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 2c6afa43c74590ba81e590697757844f
Face claim : Dove Cameron
Pronoms RP : ELLE ; pronoms féminins
Âge : 24 ANS ; même pas un quart de siècle.
Tuer le temps : CHANTEUSE, POPSTAR, INFLUENCEUSE ; l'amour de la scène dans les veines, une voix enchanteresse, un sourire innocent et parfois un peu canaille.
Familier : AUCUN ; longtemps, son absence te pinçait le coeur. Longtemps, tu n'as pas compris pourquoi tu n'étais pas aussi spéciale que tes demi adelphes. Mais maintenant, tu en as pris ton parti.
Compte en banque : 270
Arrivé.e le : 11/09/2024
Messages : 58
   
I don't chase, I attract


tw: flirty


Les dernières notes de la chanson dans la salle de concert d'Edimbourg, portée par un geste de la main, crèvent l'espace dans un silence alors que les lumières se stoppent. Une seconde comme une parenthèse enchantée, comme un instant de grâce. Tu fermes les yeux sur tes paupières pailletées pour profiter, sentir, ressentir tellement le moment. Cette pure connexion qui se tisse entre le public et toi, ce lien indéfectible qui fait qu'éternellement, tu remontes sur scène. Tu en réclames encore et encore. Tu en as besoin autant que l'oxygène dans ton système. Et les pupilles se rouvrent et la salle explose en cris de joie, d'admiration, de passion. Il y a un rire, un sourire : " Oh Edimbourg, c'est pour ça que je t'aime. Vous savez m'accueillir, un clin d'oeil qui provoque un nouveau mouvement de foule. " Un " SEAfiiiina ! " te parvient, déclenchant un nouveau rire de ta part. " Vraiment le meilleur accueil mais ne le dites pas aux autres villes, elles vont être jalouses de vous, mes amours. " Cette façon que tu as de jouer et de t'amuser avec le public t'est propre. Il y a ce flirt éternel avec tes fans parce que c'est ce qu'iels viennent chercher dans les yeux de la sirène.  Parce qu'il y a autant d'amour de soi, qu'un appel au jeu, à être ce que l'on souhaite sans honte, ni gêne. " Mais on va prendre une petite pause. Il y a des bouteilles d'eau gratuites à la sortie pour vous mes chou‧e‧s et n'oubliez pas de manger un peu entre deux-trois tours au merchandising ! Vous ne voudriez pas louper la suite du concert pour un petit malaise, non ? " Un penchement de tête sur le côté, un sourire innocent et absolument charmant alors que tu disparais sous la lumière. Les bruits de la salle te parviennent de derrière la scène : des cris d'admirations, des bavardages, des rires. On te tend un peignoir pour te vêtir. Tu t'y glisses et récupères la bouteille d'eau dans un sourire et un remerciement à ton assistante. " Marilou, il y a une fan qui a remporté un concours sur ton insta'. Oh ! Oui, je me souviens, tu claques des mains, joyeuse à l'idée de rencontrer ton public de plus près. Tu t'approches de ton assistante, crochète son bras du tien dans un charmant sourire. Montres-moi son insta. Oh quel joli couleur de cheveux, tu te mords la lèvre. Tout à fait mon type, un petit rire mutin qui amuse l'assistante et le staff alors que vous vous dirigez vers la loge. Du coup, elle devrait arriver d'ici dix minutes ! J'ai hâte ! "  Tu déclames dans des yeux brillants, chatoyants, dans le claquement de tes talons hauts.

***

Le bruit de la porte t'indique l'arrivée de la fan dans la loge alors que tu es derrière un paravent : " Rentres, love. Je ne mange que les hommes, petit rire de ta part, faisant référence à une chanson de la première partie où tu déclamais les " I eat boys like you for breakfast " *. Tu jettes un regard en te penchant hors du paravent, dévoilant une épaule dénudée, un œil rieur et une gerbe de cheveux blonds bouclés. Quel est ton prénom ? J'ai regardé ton insta', tout à l'heure. Tu t'effaces de nouveau derrière le paravent, achevant de passer le haut de ta tenue. Un bruit de fermeture éclair indique que tu as zippé le haut. Et tu sors de derrière le paravent, une main sur le support. Tu me suis depuis longtemps ? " Tu interroges, curieuse et t'approchant, pieds nus de la jolie rouquine. Tu lui proposes ta main, n'outrepassant son consentement et lui indique une table où trône une fontaine de chocolat, des fruits coupés et de quoi boire thé, café ou limonade. " Je suis tellement contente de te rencontrer, commences-tu doucement. Tu veux qu'on s'assoit pour manger ou tu préfères commencer par le maquillage ? " Parce que tu adores faire tes maquillages toi-même et en faire profiter tes fans. C'est toujours un moment privilégié et tu es ravie de l'offrir pendant l'entracte à quelques chanceu‧ses‧x.

Tu fais un petit " oh " de ta bouche parfaitement maquillée, réalisant peut-être que tu la noies d'informations. " Pardon, pardon, tu fais plus calme, moins excitée. J'ai tendance à m'emporter quand je vois des jolies filles et à vouloir les couvrir d'attention. " Petit sourire innocent, le bleu de tes yeux semblent chatoyer comme deux saphirs envoutants, hypnotisant. Mais la rougeur des joues traduit l'embarras et tu lui demandes en lui frôlant le bras : " Je ne t'ai pas fait trop peur ? " Tes yeux ne lâchant pas les siens, complètement focalisés, habités par les siens. Complètement happés par leur propre beauté et tu te demandes quelle chanson se cache dans les tréfonds de cette jolie sorcière.

copyright:
Filomena Barclay-Nave
Expansionniste
Filomena Barclay-Nave

En ligne

La discordance des temps modernes
Batman & Robin
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 29f546919dcc18ae69993271c40faea6
Face claim : sadie sink
Pronoms RP : elle/she
Âge : 27 ans
Tuer le temps : SOUVERAINE IGNEE des Enfants des Volcans. Unanimité désunie, légitimité remise en question par une poignée. Prise au milieu de rapports d'influence quand tu essaies de mener ton office avec sincérité et dignité.
Familier : MILTON est un SURICATE. Présence constante, ou presque, à tes côtés - éternel compagnon de vie, partenaire qui ne t'abandonnera jamais.
Compte en banque : 884
Arrivé.e le : 25/08/2024
Messages : 720
   
I don't chase, I attract



tw: blessure, nourriture, attirance

Au début, tu n'étais pas vraiment certaine.
Au fond, les concerts ne sont pas une chose que tu aimes.

Tu ne connaissais même pas cette chanteuse avant qu'un‧e membre de ton coven ne t'en parle au détour d'une conversation, ne s'attriste de ce concours remporté, du concert où iel ne pourrait pas aller à cause d'une jambe cassée durant son travail. Puis iel t'avait fourré le pass Concert dans les mains, te disant d'y aller à sa place et d'en profiter - toi qui passe tant de temps, tant d'énergie à prier pour elleux toustes, tu méritais bien de sortir un peu, de souffler loin de tes responsabilités.

Tu avais écouté sa musique, tu avais aimé, tu t'étais laissée bercée - mais tu avais continué d'hésiter.
Le jour du concert, tu t'étais habillée, tu t'étais observée, critique, devant ton miroir et tu avais hésité encore.

Et maintenant, assise dans le carré VIP, tu n'hésites plus. La musique te porte, te transporte ; ton cœur bat sur la même rythmique alors que ton regard se rive sur elle, sur sa façon de bouger, sur ses gestes qui semblent caresser tantôt les paroles, tantôt la mélodie. Les chansons défilent, le temps file et toi, tu ne vois rien de tout ça, tu vois seulement SEAfina portée par son art, tu la vois seulement glisser d'un accord à un autre. Et tu la trouves élégante, grâcieuse, précieuse, offerte ainsi à sa musique.

Les lumières s'éteignent sur les dernières notes d'un chant et il y a comme un pincement au cœur que ça s'arrête déjà. Comme les autres autour de toi, tu as envie d'en redemander plus, de l'entendre chanter à nouveau. Mais déjà, on vient te chercher, te sortir du rêve éveillé.

L'assistante t'amène au stand de merchandising avant le reste du public, te propose de regarder, d'y choisir tout ce que tu souhaites acheter. « On a à peu près cing à dix minutes avant que le merchandising soit ouvert aux autres fans donc prends ton temps. » Par politesse, tu fais le tour, même si tu sais que rien ne t'intéresse, que rien n'attirera ton œil dans les marchandises exposées. Tu n'es pas une fan de SEAfina après tout - pas comme ça. Et ta réaction, ou plutôt ton manque de réaction semble surprendre l'assistante, tu le lis dans ses yeux, sur tout son visage, quand tu annonces que tu as fini. Mais elle ne dit rien, elle n'insiste pas et t'amène vers les coulisses.

Dans les couloirs encombrés des coulisses, tout un tas de choses te sont expliquées - des règles au déroulé de l'entrevue. Tu penses entendre les mots mais les paroles, tu ne les saisis pas tellement, étouffées par la nervosité qui te gagne peu à peu. Est-ce que tu as vraiment envie de la rencontrer ? Elle t'a émerveillée, émue aux larmes et embrassée avec sa colère - tu as peur de briser la magie de sa musique avec les banalités du réel, de l'IRL. Tu n'as pas envie de ça.

Sauf qu'on ne te laisse pas le choix.
La porte de la loge est ouverte devant toi.
Refermée après toi.

La remarque de la chanteuse te tire à l'intérieur de la loge, à une distance polie du paravent où elle semble se changer. Et ton regard s'égare sur la pièce, cherche un endroit assez neutre pour se poser sans être intrusive. « Quel est ton prénom ? J'ai regardé ton insta', tout à l'heure. » Un instant, tu hésites à donner un faux prénom - à cacher ton identité, mais tu te rappelles qu'ici, chez les humain‧e‧s, tu n'es déjà personne, anonyme parmi la foule. « Filomena, je m'appelle Filomena. » Du coin de l'œil, tu aperçois des mèches blondes cascader sur son épaule dévoilée. Et un peu par réflexe, tu tournes la tête vers elle, vos yeux s'accrochent. Les tiens marqués par l'étonnement, les siens brillants, pétillants. « Vous, tu as vu mon Instagram ? » L'idée te semble un peu absurde qu'une célébrité pose les yeux sur ton feed ; puis tu te rappelles que l'assistante t'avait posé la question avant le concert et tout prend plus de sens. « Oh, depuis... » Les mots restent en suspend, tu comptes les jours dans ta tête. Mais la chanteuse s'approche de toi, main tendue, et tu en perds le compte autant que les mots. Elle est belle. Face à elle, tu vois tout ce que tu as manqué pendant le concert, absorbée que tu étais par sa musique. D'ici, impossible de manquer la fossette qui creuse le sourire, les yeux qui se plissent sous l'enthousiasme et cent autres détails qui animent tout son visage au fil de ses expressions. « Tu veux qu'on s'assoit pour manger ou tu préfères commencer par le maquillage ? » Maqui-quoi ? « Pardon ? » Les yeux clignent, pleins de surprise, un peu perdus. Le rouge te monte aux joues quand tu réalises que tu étais en train de la dévisager.

De l'envisager.

« Je ne t'ai pas fait trop peur ? » La question te tire un sourire, tu secoues la tête à la négative. Tu n'as pas peur mais c'est vrai que tu n'es pas à l'aise, que tu as cette impression d'être une fraude - alors tu expliques, tu avoues : « en réalité, je ne connais ta musique que depuis une semaine, lae gagnant‧e du concours ne pouvait pas venir, alors iel m'a donné son pass. »  Et immédiatement, ta main s'engouffre dans ton sac pour en sortir un petit carnet et un paquet de chocolats, emballés dans un joli papier coloré de grenouilles joyeuses. « D'ailleurs, est-ce que c'est possible de lui signer un autographe ? Iel était vraiment triste de ne pas pouvoir te rencontrer, et iel m'a aussi demandé de te donner ça. Iel les avait achetés exprès pour toi. » Puis, un peu gênée, tu penches la tête sur le côté : « désolée d'avoir laissé croire que j'étais une fan de longue date. Mais j'ai quand même beaucoup aimé le concert ! »
Marilou de Mercœur
Candide
Marilou de Mercœur

En ligne

La discordance des temps modernes
La bosse de l'écrivain
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 2c6afa43c74590ba81e590697757844f
Face claim : Dove Cameron
Pronoms RP : ELLE ; pronoms féminins
Âge : 24 ANS ; même pas un quart de siècle.
Tuer le temps : CHANTEUSE, POPSTAR, INFLUENCEUSE ; l'amour de la scène dans les veines, une voix enchanteresse, un sourire innocent et parfois un peu canaille.
Familier : AUCUN ; longtemps, son absence te pinçait le coeur. Longtemps, tu n'as pas compris pourquoi tu n'étais pas aussi spéciale que tes demi adelphes. Mais maintenant, tu en as pris ton parti.
Compte en banque : 270
Arrivé.e le : 11/09/2024
Messages : 58
   
I don't chase, I attract


tw: flirty ; auto dépreciation


Filomena. Il y a quelque chose de chantant, d'envoutant dans son prénom. Il y a ces chansons s'égarant dans la pointe du "i", dans l'altitude du "o" et l'arabesque du "a". Il y a un sourire mutin, légèrement plissé dans cette envie de jouer, d'hypnotiser. De se faire reine pour cette jolie fille à la crinière de feu et au regard pétillant comme mille soleils. Tu y lis l'étonnement, la surprise. Tu y lis un instant de trouble et oh que tu aimes troubler ton monde. Que tu aimes sentir les joues rougir, les genoux fléchir et les yeux papillonner. Tu aimes qu'on te regarde. Tu aimes qu'on t'admire. A la question de Filomena, tu hoches la tête, suivi d'un : " Oh oui. C'est très joli ce que tu fais. Un petit silence, un sourire délicieux. Avec le verre. C'est ton métier ? " La curiosité déborde, l'intérêt est toujours sincère, jamais surjoué. Tu aimes tes fans et tu es toujours soucieuse, intriguée par qui iels sont. Certain‧e‧s deviennent même des ami‧e‧s. Et tu n'imagines pas les traiter autrement ; Maman dit que tu y mets trop de sentiments. Belle-Ma' soupçonne trop d'attachement et que le détachement t'irait mieux. Elles s'inquiétent, elles ne font que s'inquiéter depuis que Mapa a rejoint Thalassadora. Depuis que les vies se font plus fragiles, plus futiles.

Mais tu ne veux pas y penser. Pas ce soir.
Pas quand tu vois ce que tu vois dans les yeux de la jolie rousse ; la beauté, oui. Tu aimes lui plaire, retenir un peu son attention, la faire trébucher sur ses mots.

A ta question, pourtant, c'est la réalité qui revient frapper. C'est le charme qui s'efface - parfois, tu regrettes que Mapa ne t'ait pas léguer ce charme étouffant, brûlant. Parfois, tu te dis qu'iels avaient raisons : tu es plus belle quand tu la fermes.

L'inquiétude prend tes yeux clairs alors que l'expression de surprise fendille le moment. Et le rouge explose sur ses joues, un mélange de honte et de surprise. Et tu ne peux t'empêcher de lui demander si tu lui as fait peur. Si elle ne te déteste pas, déjà. Son sourire te rassure un peu ainsi que son signe de tête faisant "non, non". Un soupire de soulagement t'échappe. Et les mots filent hors de la bouche de la fameuse Filomena, exposant la vérité et te faisant ouvrir de grands yeux. " Ooooooh, tu laisses échapper de ta voix chantante et suave. " Tu comprends enfin ses réactions. Elle n'est pas vraiment la gagnante. Elle n'est pas vraiment celle que tu devrais rencontrer. Elle engouffre sa main dans son sac, y tirant un papier coloré avec des grenouilles. Tes yeux étincellent de nouveau en voyant le joyeux batracien. " Oh mais oui, bien sûr ! Tu lui offres un beau sourire et vient t'emparer du carnet avec empressement et bonheur. Comment s'appelle-t-iel ? Aussitôt le prénom entendu, tu te détournes en chantonnant, allant attraper un stylo plume. Tu écris quelque chose comme :

"
Je suis très peinée que tu te sois blessé‧e. J'espère te voir à mon prochain concert et je te souhaite un agréable rétablissement. Ces quelques mots sont pour toi et uniquement pour toi pour t'y accompagner.

With all my love, always.
- SEAfina.
"  

Un soupçon de parfum, un baiser qui laisse une trace de lipstick sur le papier, et tu reviens vers ta nouvelle amie. La curiosité te dévore et tu ouvres le paquet en décrochant un clin d'oeil à Filomena. " Mais ce sont mes préférés, fais-tu joyeusement en voyant les chocolats. Tes bonheurs sont simples, ta joie tellement communicative que tu ne résistes pas à en manger un sous ses yeux. Tu en veux un ? Ils sont délicieux. " Et très franco-français, rarissime à trouver outre-Manche, tu te demandes comment iel a fait. " Tu lae remercieras, n'est-ce pas ? Ca faisait tellement longtemps que je n'ai pas pu en manger. " Tu lui offres un beau sourire à ces derniers mots et tu remets une mèche de tes cheveux derrière ton oreille et tu souffles, très près de son oreille : " Tu n'as aimé que le concert ? " Tu t'éloignes à peine, les yeux plongés dans ceux de Filomena, les lèvres à quelques centimètres des siennes.

" Viens, profites-en, tu fais dans un sourire, en l'entrainant dans le canapé avec toi. Vos jambes se frôlent et se touchent. Si il n'y avait que ça que tu avais envie de toucher. Il n'y a pas de mal à ne pas être une fan hardcore. J'aime tout le monde et tu sais, on peut quand même s'amuser ensemble. Les yeux sont plein de promesses chatoyantes, chantantes. Les yeux brillent comme mille joyaux. Normalement, certain‧e‧s fans ont le droit à un maquillage personnalisé. Un petit rire sucré, d'où le fait que je te propose. D'autres veulent juste parler et certain‧e‧s aiment les chansons personnalisés. Mais pour toi, un silence calculé, que dis-tu de juste commencer par apprendre à se connaître ? " De tes longs ongles, tu attires poses ta main sur ta joue, ne la lâchant pas des yeux. " Donc, dis-moi, jolie Filomena, qui es-tu ? Qu'aimes-tu ? " Peut-être déjà un peu toi alors que ta jambe frôle la sienne, que vos peaux se touchent, que les cœurs dansent. Et peut-être que tu aimerais aussi la faire chavirer.

Filomena Barclay-Nave
Expansionniste
Filomena Barclay-Nave

En ligne

La discordance des temps modernes
Batman & Robin
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 29f546919dcc18ae69993271c40faea6
Face claim : sadie sink
Pronoms RP : elle/she
Âge : 27 ans
Tuer le temps : SOUVERAINE IGNEE des Enfants des Volcans. Unanimité désunie, légitimité remise en question par une poignée. Prise au milieu de rapports d'influence quand tu essaies de mener ton office avec sincérité et dignité.
Familier : MILTON est un SURICATE. Présence constante, ou presque, à tes côtés - éternel compagnon de vie, partenaire qui ne t'abandonnera jamais.
Compte en banque : 884
Arrivé.e le : 25/08/2024
Messages : 720
   
I don't chase, I attract



tw: nourriture, attirance & flirt

La question de la chanteuse t'étonne, elle te désarçonne. En arrivant ici, tu n'as pas pensé à un alibi, tu ne t'es pas inventé une fausse vie à lui raconter. Alors la réponse te vient, un peu sans réfléchir : « Oui, puis tu réalises ce que tu viens de dire et tu rattrapes tes mots : enfin, non. Je veux dire, je n'en vis pas pour le moment mais j'aimerai. » C'est un mensonge qui n'en est pas vraiment un. Si tu n'avais pas été Oracle puis Souveraine ignée, tu aurais sûrement voulu travailler le verre, jouer avec sa transparence et ses chatoiements. Tu aurais sûrement voulu être une artisane d'art et passer tes journées à l'atelier. Et les lèvres s'étirent en sourire, la bouche se courbe avec tendresse. « C'est ma passion depuis toute petite. »

L'instant se suspend quand tu fouilles dans ton sac à la recherche du précieux colis et du carnet qu'on t'a confiés. Tu prends ton rôle très sérieux alors le soulagement allège le poids sur tes épaules quand les doigts de Marilou s'emparent du cadeau et du carnet. A son sourire enthousiaste, tu ne peux t'empêcher de sourire en retour, contaminée par son entrain. Sa joie la rend rayonnante, brillante - envoûtante. La pensée te vient que tu te laisserais bien envoûter. Et les yeux la suivent, admirent sa beauté pétillante, si charmante. En chemin, ils tombent sur ton reflet dans le grand miroir à maquiller et tu te fais un peu honte avec ta crinière rousse à peine arrangée et ton début de cernes, tu n'as pas vraiment pensé à soigner ton apparence pour le concert. Tu n'envisageais pas de l'envisager.

Ton regard se détourne de la glace et se pose sur les chocolats tendus, offerts. « Merci beaucoup. » Tu la remercies d'un sourire en portant un chocolat à tes lèvres, en laissant le sucre napper ta langue, enrober tes papilles. La tête se penche sur le côté quand le goût de framboise, son acidité vient pétiller dans ta bouche. Et tu souris. Ca ressemble un peu à la chanteuse, tu décides : sucrée dans ce qui semble être un excès, et soudain, ça pétille, ça surprend. On en reprendrait volontiers. Un sourire s'allonge sur tes lèvres, brille dans le creux de tes yeux à sa question. Et tu la respires, tu l'inspires. D'un pas, tu t'avances comme pour glisser un secret à son oreille, espérer lui rendre le frisson qu'elle t'a filé : « J'aime aussi cette entrevue avec toi. » Là-bas, elle est envoûtant mais elle reste une figure distante, inatteignable comme un rêve sublime, prêt à disparaître au réveil. Ici, tu découvres la personne ; ici, tu l'apprends elle.

Installée dans le canapé, la proximité de vos corps ne te dérange pas. Doucement, ta jambe vient s'appuyer un instant contre la sienne et tes yeux guettent sa réaction, scrutent les traits de son visage. Tu la laisses t'expliquer comment se passent d'ordinaire ces moments privilégiés qu'elle partage avec ses fans, tu l'observes s'animer et s'enchanter pour ces instants de partage. « Oui, on peut faire ça, tu acquiesces parce qu'elle te rend curieuse, fouineuse. Tu aimerais savoir ce qu'elle aime, ce qu'elle n'aime, ce qui la fait rire et pleurer, ce qui la transporte ou ce qui la rend en colère. Tu te demandes qui il y a derrière le masque, derrière SEAfina. Le compliment glissé en toute aisance par la chanteuse te fait rougir, tes doigts glissent dans les mèches rousses qui se meuvent doucement sous ton geste : je suis une inconnue qui est venue à ton concert par hasard. Je suis d'Italie. Tu en as l'accent chantant dans chaque intonation, pulsion de tes phrases. Tu as vu mon Instagram donc tu sais déjà que j'aime la verrerie, la comfort food et les stylos plume. J'aime le karaoké mais il n'y a pas beaucoup de gens qui aiment assister à mes performances musicales. » Un rire au souvenir de tes piètres talents de chanteuse.

Un arrêt, puis tu décides d'entrer dans son jeu, de glisser dans le flirt qu'elle te propose. Lentement, tranquillement, le haut de ton corps se penche un peu plus vers elle. Tu restes à distance respectueuse, tu n'envahis pas son espace mais ta posture invite à la confidence quand tu demandes : « Et toi, qu'aimes-tu, charmante sirène ? Ton sourire est doux, il invite mais ne force pas. Est-ce que tu veux bien me confier un de tes précieux secrets ? » Le sous-entendu flotte entre vous : c'est elle que tu veux connaître. Tu aimes sa musique mais tu n'as pas envie d'être un‧e fan, tu n'as pas envie de rejoindre la foule éblouie par SEAfina. Toi, c'est Marilou qui t'enchante, que tu trouves charmante.
Marilou de Mercœur
Candide
Marilou de Mercœur

En ligne

La discordance des temps modernes
La bosse de l'écrivain
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 2c6afa43c74590ba81e590697757844f
Face claim : Dove Cameron
Pronoms RP : ELLE ; pronoms féminins
Âge : 24 ANS ; même pas un quart de siècle.
Tuer le temps : CHANTEUSE, POPSTAR, INFLUENCEUSE ; l'amour de la scène dans les veines, une voix enchanteresse, un sourire innocent et parfois un peu canaille.
Familier : AUCUN ; longtemps, son absence te pinçait le coeur. Longtemps, tu n'as pas compris pourquoi tu n'étais pas aussi spéciale que tes demi adelphes. Mais maintenant, tu en as pris ton parti.
Compte en banque : 270
Arrivé.e le : 11/09/2024
Messages : 58
   
I don't chase, I attract


tw: flirty ; tension sexuelle et amoureuse ; cho


Tes yeux la dévorent, ne cessent de la suivre. De détailler chaque petits gestes, chaque petites expressions. De la constellation de ses tâches de rousseur à la couleur rosée de ses lèvres, il y a quelque chose qui t'attire. Il y a quelque chose qui t'hypnotise. Tu n'es pas souvent désarçonnée, pas tellement victime du charme des autres mais elle, elle est belle. Elle, elle te laisse ce goût d'un feu brûlant, d'un feu fuyant sur l'épiderme. Et entre attractive et addictive, il n'y a qu'un peu. Il n'y a que Filomena.

Le sourire s'étire quand elle trébuche sur les mots, les rattrapant au vol pour se corriger. Et tu bois le son de sa voix, tu bois les mots qu'elle tisse entre vous. Le sens tu le saisis bien mais la manière dont ses lèvres bouchent, parlent passion, ça te donne envie d'une autre passion. D'une autre chanson. Ta main vient paresser avec douceur sur la sienne, une caresse aussi volatile que le battement d'aile d'un oiseau. " La passion, ça rend les gens beaux. " Le sous-entendu glisse déjà hors de tes lèvres : " Ca te rend belle. "

Elle fouille dans son sac, y tire des merveilles dont tu t'empares avec plaisir. Dont tu viens cueillir une douceur et dont le sucre explose sur ta langue avec délice. Entre tes cils maquillés, tu vois bien sa gêne, son regard sur son apparence. Et tu la sens un peu plus alerte, un peu dérobée de se trouver négligée. Tu penches la tête, les yeux suivant la courbe de son cou. Elle a même quelques grains de beauté là, elle a même quelques endroits à baiser, à adorer. Pourtant ce n'est qu'un instant de trouble dans les yeux de la rousse, ce n'est qu'un égarement alors que de ses lèvres (as-tu déjà envisagé d'écrire des chansons sur la courbe d'une bouche ?) viennent cueillir la friandise. Tu observes sa réaction, le balancement de tête, le sourire qui s'y tisse, s'y glisse. Et quand elle s'approche, quand elle ose tout, il y a un frisson qui t'échappe et une envie de la retenir, de lui demander : à quel point elle aime le rendez-vous ? A quel point elle t'aime ?

Et Maman te l'a dit mille fois ; tu n'en as pas besoin pour exister. Mais t'es pas d'accord. Il y a le besoin de briller, il y a ce terrible besoin d'être aimée. Tu peux pas vivre sans lumières sur toi, tu peux pas vivre sans être au centre de l'attention. Et surtout, surtout, si personne ne te regarde, si elle ne te regarde pas, t'as l'impression que tu vas crever. T'as toujours été ce mélange d'amour toxique avec la fame, la scène. T'as toujours été que sublimée sous les yeux de centaines de gens. T'as toujours été belle que sous leurs yeux.

Mais elle joue en appuyant sa jambe sur la tienne, elle te laisse entrevoir une réalité excitante, plus étincelante qu'un millier d'étoiles : tu n'es pas seule et vous êtes deux pour jouer, vous faire vaciller. Peut-même un peu vous noyer dans un flirt loin d'être innocent. Et la main se pose en douceur sur son genoux, initiant un contact lent, qu'elle a le luxe de rejeter. Même si il y a au fond de tes yeux la croyance persistante que rien ne peut te résister. Que Filomena est tout autant sous le charme que toi. Les mots se poursuivent hors de ta bouche, décrivent ce que tu fais habituellement. Mais Filomena n'est pas habituelle. Filomena n'a rien d'une fan banale. Filomena te fait un peu chanceler, lentement vaciller. Et tu n'as jamais été aussi heureuse de chavirer. Tu n'as jamais été aussi proche de te noyer.

Le rouge lui monte aux joues et ça va tellement bien avec ses cheveux, ses yeux. " L'Italie, tu répètes dans un sourire ravissant, les yeux brillent. Et il y a un rire sur le karaoké : oh quelle est ta chanson préférée ? Maon parent‧e, Mapa, disait qu'on peut juger une personne à sa chanson intérieure. " A la mention de Mapa, il y a le coeur qui trébuche un peu, se contracte un peu trop fort. Il y a pourtant cette bouffée d'amour, cette croyance que Thalassadora chante pour celleux dans ses bras. Que vous avez toustes une musique dans le coeur. " Je suis sûre que j'aimerai t'entendre, une invitation en filigrane, une promesse de se revoir. Tu as déjà un joli rire. " Tu commentes sans la moindre malice, juste avec cet oeil clair fasciné, bouffé par la figure de la sorcière.

Son corps revient vers le tien, se penchant. Il y a un rire chantant à ses mots, il y a un plaisir d'être draguée, déjà séduite. Pas totalement conquise mais t'as envie de t'y attarder, de jouer. " Un seul secret, tu es raisonnable. Toi, gourmande, impatiente, éprise du moindre excès, tu expires, soupires ton souffle non loin de ses lèvres. Très bien, la main remonte doucement sur sa cuisse, flirtant avec la décence. Les yeux s'embrassent, le jeu est total. Peut-être bien qu'il sera fatal. Je suis le produit de l'amour, entames-tu dans une douce charade, en faisant pianoter ses doigts sur le tissu. Je suis l'union de ce qui existe et n'existe pas. La tête se penche, les yeux ont pris des étoiles en plus. Je suis un peu magique à ma façon. Mais ne dis rien, expires-tu à son oreille, en t'approchant d'elle, en soupirant à l'orée de son tympan. Ne leur dis jamais. Que tu es vraiment magique, qu'il y a des étoiles et des coquillages en toi. Que Mapa et Maman t'ont transmis ce qu'il y a de plus beau. Appelles moi Marilou. " Tu lui accordes dans un sourire complice, dans une invitation à pénétrer ton monde, à entrer dans la danse. A une promesse de la charmer, de ne jamais laisser échapper au chant des sirènes, à ton chant.

Les yeux rivés dans les siens, tu ne les décroches que pour regarder le chemin de grains de beauté qui remonte dans son cou : " Tu sais qu'on t'a fait un cadeau, tu repousses avec douceur ses cheveux derrière son épaule. Il y a un tracé pour t'embrasser d'ici, la clavicule est pointée du doigt et il flotte jusque dans les hauteur de son cou et dans le pli de sa bouche. A là. " C'est le chemin des amours, c'est la carte d'un corps et les clés pour le faire trembler, s'abandonner. " Dis-moi, tu as d'autres secrets ? Je suis curieuse, laisses-tu évader dans l'alcove de la loge, de toi. " De qui elle est, de ce qui dort dans son coeur.

Filomena Barclay-Nave
Expansionniste
Filomena Barclay-Nave

En ligne

La discordance des temps modernes
Batman & Robin
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 29f546919dcc18ae69993271c40faea6
Face claim : sadie sink
Pronoms RP : elle/she
Âge : 27 ans
Tuer le temps : SOUVERAINE IGNEE des Enfants des Volcans. Unanimité désunie, légitimité remise en question par une poignée. Prise au milieu de rapports d'influence quand tu essaies de mener ton office avec sincérité et dignité.
Familier : MILTON est un SURICATE. Présence constante, ou presque, à tes côtés - éternel compagnon de vie, partenaire qui ne t'abandonnera jamais.
Compte en banque : 884
Arrivé.e le : 25/08/2024
Messages : 720
   
I don't chase, I attract



tw: nourriture, attirance/tension (amoureuse, sexuelle) & flirt prononcé

Tu n'es pas sûre au début. Peut-être que c'est ton imagination qui te joue des tours. Ce début d'envie qui te perd, te fait croire des choses - c'est déjà arrivé et tu n'as pas aimé la gêne qui a mordu ton épiderme à ces occasions. Ou est-elle également attirée par un "vous" potentiel ? Tu essaies de te souvenir si elle a semé des indices sur ses préférences au fil de ses chansons, entre les lignes de ses paroles. Mais tu connais son art depuis trop peu de temps pour réellement trouver une réponse à ta question.

Tu n'as que ses mots. Ca te rend belle.
Tu n'as que ses gestes. Quand elle s'approche, souffle à ton oreille.

Tu tentes un peu ta chance, tu lances les dés, lorsque ta cuisse touche la sienne. Juste un instant, pas vraiment longtemps. Tu veux juste lire sur son beau visage ce qu'elle en pense, lire sur ses traits délicats si c'est une possibilité ou si tu t'es fourvoyée.

Et ça n'a pas l'air de l'ennuyer.
Est-ce qu'elle aussi, elle vous envisage ?

« Firenze, tu précises avec une lueur de bonheur, un sourire épris. Ta Florence, tu la porteras toujours au creux du cœur, dans les accents de ta voix, dans les étoiles au fond de tes yeux. C'est ta ville - sûrement plus que ne l'est Edimbourg, même si tes responsabilités et ta vie sont ici désormais. Tu as déjà visité ? » Sur le bout de la langue, il y a déjà cent anecdotes, des recommandations par dizaines, des souvenirs par paquets.

A sa question, tu chantonnes l'air de ta musique préférée - mais ton chantonnement est plus de l'ordre du marmonnement et tu n'es pas sûre que Marilou en reconnaisse l'air. Alors tu sors ton portable humain, tu lances Spotify avant de réaliser qu'ici, les ondes ne passent pas (sauf entre elle et toi). « Ca ne capte pas, le commentaire souligne l'évidence, un peu de déception dans la voix. Mais l'invitation de la chanteuse te fait rire plus franchement : tu ne pourras pas dire que tu n'as pas été prévenue. » Invitation acceptée avec plaisir, alors que tu tends ton téléphone en une proposition silencieuse d'échanger vos numéros.

Puis tu l'invites à la confidence.
Elle te dit raisonnable et ton rire s'envole à nouveau, éphémère mais pas amer. Si elle savait. Tu es tout sauf raisonnable quand tu as envie de découvrir toute entière qui elle est, ce qui la compose au-delà des étoiles et des paillettes. Tu n'es pas raisonnable quand l'envie te bouffe de lui demander un baiser. Sa main se pose sur ta cuisse, imprime son empreinte chaude à travers le tissu de ton pantalon - et déjà ton corps se penche un peu plus vers elle. Non, vraiment, il n'y a rien de raisonnable en toi. « Tu es magique, Marilou. » Tu confirmes dans un souffle. Tu te l'imagines, la dessines humaine. Et pourtant, là, dans l'intimité de la cabine, tu la vois, cette magie dont elle te parle. Ce charme qui t'enveloppe dans vos confidences susurrées, l'envoûtement qui se cache au fond de ses yeux que tu ne sais pas lâcher. « C'est impossible à manquer. » A tes yeux, c'est impossible de ne pas voir quel point Marilou est belle. De la tête aux pieds. Jusque dans la plus petite expression de ce charmant visage.

Ton regard la quitte un instant pour suivre la main qu'elle tend vers toi, ses doigts qui dégagent tes cheveux pour dévoiler les tâches de rousseur perdues dans ton cou. Elle te parle de chemins de baiser, de tracés sur lesquels chuter et tu as ta réponse. Le sourire se fait un peu taquin, un peu mutin quand tu demandes : « Tu as envie de m'embrasser ? » L'éclat dans tes yeux trahit que ta réponse ne serait sans doute pas non. Toute ta posture avoue, crie que tu veux lui céder, te laisser chuter pour ses baisers.

« Un secret pour un secret ? Tu proposes, amusée par le jeu, excitée par cette chasse aux trésors. Puis l'audace menace, terrasse dans le sourire qui ne te quitte pas : Mon secret suivant ... c'est que j'ai très envie de t'embrasser. » Doucement ta main se lève jusqu'à son visage, se stoppe juste avant d'atteindre sa peau : « Je peux toucher ta joue ? » demandes-tu.
Marilou de Mercœur
Candide
Marilou de Mercœur

En ligne

La discordance des temps modernes
La bosse de l'écrivain
Nano-quoi?

Trombinoscope : [Terminé] I don't chase, I attract ; marimena#1 2c6afa43c74590ba81e590697757844f
Face claim : Dove Cameron
Pronoms RP : ELLE ; pronoms féminins
Âge : 24 ANS ; même pas un quart de siècle.
Tuer le temps : CHANTEUSE, POPSTAR, INFLUENCEUSE ; l'amour de la scène dans les veines, une voix enchanteresse, un sourire innocent et parfois un peu canaille.
Familier : AUCUN ; longtemps, son absence te pinçait le coeur. Longtemps, tu n'as pas compris pourquoi tu n'étais pas aussi spéciale que tes demi adelphes. Mais maintenant, tu en as pris ton parti.
Compte en banque : 270
Arrivé.e le : 11/09/2024
Messages : 58
   
I don't chase, I attract


tw: flirty ; tension sexuelle et amoureuse ; cho


Un frémissement se répand et laisse une trainée d'espoir sur le fil de ses doigts, sur le chemin brûlant de sa main. Il y a une tension que t'aimes par dessus tout, il y a une tentation sur le bord de ses lèvres, qui crèvent le plafond de tes rêves. Même son accent est doux à ton oreille. Même sa voix a des saveurs de soleil italien, de chaleur qui embrasse la peau, de baisers soupoudrés de bulles pétillantes de spritz. Et tu aimes ce que tu y lis. Tu aimes les chants dans le fond de son regard. " Juste en coup de vent, lors d'un concert, tu chuchotes, charries au creux de l'oreille de la rousse. Tu peux me faire découvrir ? " Tu glisses innocemment, les yeux se relevant dans les siens. Rien ne semble impossible. Tout est ouvert, tout est à votre portée. Un jet privée pour Florence, c'est quoi ? 2h de vos vies ? 2h passées en l'air, 2h de baisers, de tendresse, de caresses. Deux heures volées, dérobées au monde entier. Deux heures qui n'appartiennent qu'à vous. Les yeux se closent sur les fantasmes, emportés dans une poignée de secondes, léchés par une mer imaginaire déjà si loin de la terre. Mais la réalité n'est-elle pas plus belle ? Oh si et elle porte le nom de Filomena.

Il y a un rire à la chanson qu'elle tente de fredonner. C'est léger, cristallin, presque enfantin. Il y a tant de douceur, de chaleur dans la beauté du rire. Elle sort son portable et ouvre l'application de musique mais rien ne capte et il n'y a que le silence. " Oh, si tu savais, j'aime les gens qui chantent de tout leurs cœurs. Et c'est tout ce qui compte : laisser la musique nous emporter. " La laisser vous habiter et exploser ce que vous avez, au fond du coeur, au fond de l'âme. Sans la moindre larme, sans le moindre drames. C'est comme ça que doit être un chant : un sentiment, une histoire, un besoin. " Peut-être que je ne t'en aimerais qu'encore plus. " La voix est douce, quoiqu'elle chahute avec la séduction, l'envie d'être sa tentation. Tes doigts naviguent sur son téléphone, laissant ton numéro alors que tu appuies sur le logo pour faire vibrer ton portable plus loin.

Tu aimes tellement son rire. L'entendre une seconde fois n'ajoute qu'une fois supplémentaire sur la beauté du son, de sa voix. De ce qu'elle laisse traîner et espérer. Ta main s'invite, elle aussi, caressant en douceur, en lenteur sa peau, pianotant sur le fil de sa peau. Il y a un sourire qui s'agrandit à ses mots, tes yeux restent rivés aux siens. Tu aimes l'image que tu y vois. Tu aimes la chaleur dans lequel elle t'enveloppe. Tu penches la tête doucement, charmée et charmante, plus appâtée que jamais. " Je sais, ce n'est pas un mensonge. Tu l'as toujours su. Tu as été baptisée, bercée dans les eaux de Thalassadora. Tu sais que la magie va plus loin que quelques sorts, que juste Mapa et tes adelphes. Tout est plus complexe et plus unique. Tu ne l'as pas manqué mais est-ce que ça veut dire, il y a un soupire, un souffle sur les lèvres de la pyromancienne, que tu es sous le charme ? " Parce que tu ne veux pas de demi-mesure. Parce que tu ne veux pas qu'elle reste un peu à la surface ; tu veux la tirer au plus profond de la mer. Tu veux qu'elle soit hypnotisée, qu'elle sente qu'elle n'a plus pied. Tu veux la subjuguer : être la seule et l'unique dans ses yeux.

Être la dernière à effleurer cette cuisse, à respirer son odeur.
Être la reine à ta reine.
Les yeux luisent d'envie, de conquête à ses mots. Cette fois, c'est toi qui en ris, c'est toi qui lui souris : " Bien sûr, un souffle et ta tête se penche pour venir caresser d'un baiser léger l'aube de son cou. Tu cueilles en douceur, en langueur les frissons, la déraison. Les yeux étincèlent de ses lueurs joueuses, électriques. Les yeux brillent de mille feux. Et tu reviens doucement, sagement dans le canapé ne la lâchant pas des yeux : rien qu'un ? Je suis gourmande, tu sais. " Il y a un sourire qui pourrait avaler, bouffer ce monde. Il y a la myriade de promesses dans tes yeux. Et tu fais le chemin pour laisser ses doigts se poser sur ta joue alors que ta main remonte, insolente. Il court le désir. Il se précipite le plaisir. Il flamboie dans une irrésistible envie de tout lui ravir, de tout avoir. Et tu crèves la distance. Pas aussi prudente, ni soucieuse que Filomena. Tu l'assassines dans un baiser sur sa mâchoire, dans la main qui danse de sa cuisse à son ventre. Dans le fait de venir lentement, impatiemment, l'embrasser, la désirer. T'y brûler dans un souffle, dans une pression de vos bouches. Dans cette danse sans début, ni fin que font tes lèvres aux siennes. Un soupire, une requête : " Ouvres ta bouche, mon joli soleil. " Et tu viens tout réclamer, tout savourer dans la course de vos langues, dans l'impatience, dans ce baiser qui n'en finit plus. Dans la fièvre qu'elle laisse.

" SEAfina ? Les deux coups sur la porte de la loge te font la lâcher, la laisser t'échapper alors que tu soupires de frustration. Marilou ? Il faut qu'on y aille. Tu fermes les yeux et tu soupires à la belle, à ta tentation : quel dommage. Pas de karaoké, ni de voyage en Italie pour nous, ce soir. Tu poses un baiser sur sa joue. J'arrive, indiques-tu à l'assistante. Mais on se reverra, n'est-ce pas ? " Tu te redresses, remets ta tenue, relissant une mèche rebelle. Un coup de lipstick et un regard vers elle : " J'ai envie de te revoir. Ecris-moi ou appelles-moi, je te retrouverai mon joli soleil. " Tu fais dans un dernier clin d'oeil alors que tu rouvres la loge, que tu t'échappes déjà pour chanter.

Et en une fraction de seconde, la sirène disparaît. Est-ce que ce n'est qu'un doux rêve emporté par la houle ? Est-ce que ce n'est qu'un mirage ? Pas pour toi. Et tu veux qu'il te brûle toute entière ce soleil.


Contenu sponsorisé

En ligne