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Take it out on me ◈ ft. Liya

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Carmen Callaghan
Expansionniste
Carmen Callaghan

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La discordance des temps modernes
Le braquage de Serpentine (Août 2024)
Le braquage de Serpentine : 2ème place
La bosse de l'écrivain
Les inarrêtables
Batman & Robin
Nano-quoi?
Un petit pas pour l'individu, un grand pas pour le coven

Trombinoscope : Take it out on me ◈ ft. Liya YiQVCzr0_o
Face claim : Taylor Lashae
Pronoms RP : she/her
Âge : 39 ans - À défier le temps.
Tuer le temps : Passe-temps officiel en tant que [ Responsable de salle au friday 13th ], certainement la seule fois où vous verrez Carmen et responsable dans la même phrase. Officieusement, elle répond au rôle d' [ émissaire et négociatrice ] pour le groupe dans les affaires moins légales.

Familier :
Take it out on me ◈ ft. Liya C6a6e5efcd9d4e659be0400abf0ba90e
Tempérament de l'animal aussi chaotique que celui de sa sorcière, [ chèvre alpine ] en acolyte indéfectible. Voyelles espagnoles, [ Cariño ] en prénom, qu'elle trouvait sonner bien lorsque sa mère les échappaient. Le plus souvent raccourcit en un Cari - plus court, et parce-qu'elle galérait à prononcer cariño plus jeune surtout.

Compte en banque : 1008
Arrivé.e le : 08/07/2024
Messages : 1044
   

TAKE IT OUT ON ME
05.08.2024






" Scream if you wanna, shout if you need,
smash if you have to, just let it go "
tw : tabagisme


05.08 - from " Celle Qui A Pas Le Sens Des Affaires "
J'ai besoin de casser des trucs. Cordialement.


Il y a le message qui surprend un peu -  réfléchit pourtant peu avant de répondre, car il y a la certitude qui prend. Celle que l'urgence n'est pas loin, taraude et rode - dans l'honnêteté simple de Liya, dans le besoin énoncé l'air de rien. Dénote - de la retenue habituelle de la tatoueuse, de ses besoins à elle - qu'elle a habituellement du mal à énoncer et reconnaître ; le monde qu'elle faisait toujours passer avant elle - au plus grand damne de Carmen. La façon d'être et de paraître de la plus jeune qu'elle avait appris à connaître et reconnaître, aux grès des instants volés au fils des années partagées. Elle sait aussi - que Liya ne lui enverrait pas ce genre de message si elle pouvait faire autrement, pas connue pour se reposer sur les autres. Alors elle devine - que dans les ombres s'étire l'éclipse, celle habituellement calfeutrée au tréfonds des entrailles, là où elle ne dérange pas - n’inquiète pas. Fureur chaotique - lorsqu'elle explose, chimère qui se souvient de chacune des fois où elle a vu la rage déformée les traits de celle se parant habituellement d'airs solaire. Celle-là même qu'elle cherche souvent à provoquer - déclencher, l'air amusée - détachée, lorsque derrière l’insouciance feinte de la chimère, il y a parfois l'appréhension qu'un jour Liya ne se retrouve de nouveau à la lisière du précipice, celui au bord duquel la tatoueuse valsait lorsqu'elle l'a connue. L'inquiétude qu'un jour, la colère trop contenue n'implose trop violemment - sans retour possible cette fois-ci, sans pardon possible non plus de la plus jeune à elle-même.

Alors il y a un " Je passe te chercher dans 15 minutes " rapidement pianoter, envoyer. Le canapé dont-elle s'extirpe - mission détourner Liya de sa nature de cocotte-minute. La veste glissé sur les épaules et le regard qui se perd sur les clés ; hésite un instant sur ce qui serait le plus adapté entre le deux ou le quatre roues... Quel dilemme, vraiment. Opte finalement pour le premier, besoin d'adrénaline qui ne fera probablement pas de mal à la tatoueuse. Casque attrapé à la volée - un signe pour Cari à la dérober, juste pour lui intimer de ne pas retourner le loft en son absence.

Vitesse grisante - tours montant, elle ne met pas longtemps à gagner le domicile de la brune. Casque déposé sur une des poignées, cigarette attrapé d'une main, téléphone de l'autre alors qu'elle tire sa première bouffée. Un " Je suis là " simplement envoyé, 15 minutes plus tard - rare fois où Carmen n'était exceptionnellement pas en retard. Minutes qui défilent à peine - qu'elle voit la tête brune franchir la porte de son immeuble. Adosser au siège de sa bécane - il y a les onyx qui détaillent la silhouette de celle qui avait des airs de miroirs déformés - celle en qui elle avait parfois eu l'impression d'un peu se reconnaître, des années en arrière. Il y a les cernes - habituelles, qu'elle relève, qui semblent pourtant plus creusés. L'inquiétude agacée - qu'elle croit voir vaciller au creux de ses iris, sans en être certaine. Elle est certaine en revanche - à la vue de l'expression figée de Liya, qu'elle avait effectivement besoin de casser des trucs. « Attrape ça.» Adressée à la principale intéressée, alors qu'elle lui lance un casque pour moto sans prévention aucune, aux premiers pas qu'elle esquisse en sa direction. Irresponsable - mais pas totalement non plus quand même, en dépit de la conduite aux airs délit, la sécurité de ceux qu'elle pouvait conduire qui n'était jamais sujet à discussion - à une exception près. « Cordialement Qu'elle ajoute - rajoute, le coin des lèvres étiré dans cette habituelle moue amusée qui ne quitte que rarement ses traits. Provoque - un peu, en rebondissant sur le semblant de politesse de la tatoueuse à la fin de son message ;  s'amuse - surtout, car la politesse elle n'en avait pas grand chose à faire et Liya avait dû le comprendre aux fils des ans.

Fumée grisâtre expirée - papier immaculé se consumant encore un peu, elle laisse un temps au silence - si la tatoueuse souhaite y glisser ses mots, ou non. Attend de voir - avant de renchérir, sans pour autant chercher à s'enquérir du pourquoi, elle avait besoin de casser des trucs. Car elle sait que Liya ne parle pas ou peu d'elle, part du principe que forcer l'échange ne fera que la braquer ; alors elle lui laisse le choix - et n'imposera le sien que si elle estime qu'il y a matière à s'inquiéter. « Sur une échelle de 1 à 10,  à combien t'as besoin d'oublier des trucs, en plus d'en casser ? » Nonchalance en parure des traits, si la question ne fait peut-être pas grand sens, qu'elle reste suffisamment évasive pour que Liya ne se sente pas forcer aux détails et puisse se contenter d'un chiffre pour toute estimation de son état, le sens est présent pour Carmen - qui jaugera sa conduite selon la réponse.


Crédits : miss casually reading & b
Kwan Liya
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Kwan Liya

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Jeu de piste 2024
La discordance des temps modernes
Le braquage de Serpentine (Août 2024)
Pas besoin de crème solaire
Bronzer à l'ombre
Véritable vampire
La bosse de l'écrivain
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Nano-quoi?
Un petit pas pour l'individu, un grand pas pour le coven

Trombinoscope : Take it out on me ◈ ft. Liya Bea393fea7e18c65de688d1285e33de5339ef3a8
Face claim : Andy Blossom
Pronoms RP : she/her
Âge : 27 ans
Tuer le temps : Tatoueuse permanente au Bad Decisions, qui est pourtant, la meilleure décision qu'elle ait prise dans sa vie. Elle préfère dessiner et encrer de l’ornemental et tout ce qui peut être fait en dot.
Familier :
Take it out on me ◈ ft. Liya 8aa4d1f754fbe545d4190f962cb36cf9

Tiangou, fier canidé un peu grognon quand la pluie se fait sentir sur son pelage. À l'image de sa sorcière, il aime observer, avant de parler, d'interagir avec d'autres sorciers ou même leurs familier. Il aime son confort et sa tranquillité.

Compte en banque : 126
Arrivé.e le : 19/11/2023
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TAKE IT OUT ON ME
05.08.2024






" Scream if you wanna, shout if you need,
smash if you have to, just let it go "
tw : tabagisme, décès, prison, anxiété, humour noir.

Elle fait les cent pas dans son appartement, à l'impression d'être un lion en cage. Si la soirée chez Cecil lui a fait énormément de bien pour enfin déverser certaines émotions comme la peur, la tristesse une autre avait fini par surgir, alors qu'elle était rentrée chez elle : la colère. Elle était là, grandissant de plus en plus à chaque seconde qui passait. Liya essaye pourtant de la contenir, de faire quelque chose pour s'occuper l'esprit, les mains, mais tout finit par voler, du stylo à la poêle dans l'évier. Et il n'y avait qu'un seul remède, elle le savait bien. Si la boite de Pandore débordait, il suffisait de la décharger un peu, lui enlever quelques morceaux de cette haine viscérale, de ses soucis. Seulement, elle n'est plus cette enfant perdue, elle était adulte maintenant, tout aussi perdue, mais c'était une autre histoire. Et pour des raisons de légalité, elle n'allait peut-être pas tenter le diable. " Il y a assez de l'autre idiot déjà derrière les barreaux."

Alors, qui de mieux que Carmen pour trouver une solution. Femme aux allures de grande sœur, elle aurait forcément de bon conseil pour aider la tatoueuse à se défaire de quelques tensions. La preuve, à peine son message envoyé qu'elle reçoit une réponse. Plus que quinze minutes à tenir et bientôt, il y aurait quelqu'un pour l'aider avec tout ça, Tiangou aurait pu, mais le pauvre méritait un peu de répit, bien qu'il ne soit pas très heureux de savoir que sa sorcière allait traîner avec la serveuse. Elle était un chaos en elle-même, avait le chic pour faire ressortir le pire de sa sorcière... mais peut-être que c'était ce qu'il fallait actuellement ? Alors, après lui avoir fait jurer de ne rien faire d'illégal, il la laisse partir, repartant dans son panier pour une sieste bien méritée.

Arrivée en bas de son immeuble, Liya repère bien vite sa grande sœur de cœur, s'avançant vers elle, attrapant le casque qui lui est lancé au vol. Quelque seconde à fixer ce nouvel objet entre ses mains, la rêveuse se laisse un moment distraire, se rappelle cet après-midi à manger une glace avec Ichabod, après une petite balade en moto, à force de chercher l'endroit de son enfance. Elle secoue un peu la tête, pestant silencieusement parce que pour l'instant, les balades sur le monstre mécanique avec l'aéromancien, c'était mort. Comme les parents Karlsson, tiens.

Son regard se repose ensuite sur Carmen, la jauge un peu alors qu'elle lui demande une échelle, très certainement pour évaluer son état. Parce que l'autre sorcière savait, connaissait cette partie là de Liya, peut-être parce qu'elle-même avait cette rage qui lui rongeait les entrailles. "trente." Elle aurait pu dire quinze, pour minimiser au maximum, vingt pour rester correcte, pourtant, 30 est le numéro gagnant. Parce que des trucs à oublier, elle en avait des milliers à commencer par la venue de son paternel chez elle, visite qui avait été le point de bascule entre le soleil et la lune, pour créer cette obscurité cachée dans les méandres de l'esprit l'oniromancienne. Au moins, comme ça, Carmen savait à quoi s'attendre. "Tiangou n'était pas joyeux, quand je lui ai dit que je t'avais envoyé un message. Il te dit bonjour tout de même." Parce que malgré tout, il restait poli et même s'il ne voulait pas l'avouer, il était plutôt soulagé de savoir que sa sorcière avait quelqu'un sur qui compter, histoire que son appartement ne finisse pas en pièce.

Crédits : miss casually reading & b
Carmen Callaghan
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Tuer le temps : Passe-temps officiel en tant que [ Responsable de salle au friday 13th ], certainement la seule fois où vous verrez Carmen et responsable dans la même phrase. Officieusement, elle répond au rôle d' [ émissaire et négociatrice ] pour le groupe dans les affaires moins légales.

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Tempérament de l'animal aussi chaotique que celui de sa sorcière, [ chèvre alpine ] en acolyte indéfectible. Voyelles espagnoles, [ Cariño ] en prénom, qu'elle trouvait sonner bien lorsque sa mère les échappaient. Le plus souvent raccourcit en un Cari - plus court, et parce-qu'elle galérait à prononcer cariño plus jeune surtout.

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TAKE IT OUT ON ME
05.08.2024






" Scream if you wanna, shout if you need,
smash if you have to, just let it go "
tw : tabagisme, conduite délictueuse (moto)

Il y a les sourcils plissés, au "trente " qui résonne - un " pourquoi ? " au creux des pensées qui n'atteint pourtant pas les lèvres. Car c'est pas son problème - qu'elle se défendra la chimère, qu'elle ne se sent pas concerné. La vérité qui réside plutôt dans la considération - l'affection, suffisante qu'elle a pour Liya et le respect des limites qu'elle peut poser ; même sans un mot. La connaissance - des failles et des superbes de la plus jeune, de cette colère vrillante - latente qui l'habite - sous ses airs solaires. Celle qu'elle sait qu'elle retournera contre elle-même l'artiste, à coup de regrets et de culpabilité - si elle lui échappe trop tôt, si elle lui échappe pas comme il faut, pas comme elle veut, si elle appuie trop tôt là où il ne faut pas Carmen. « J'vais oublier que tu sais pas compter pour cette fois.»  Expiré le gris aux lippes, le sarcasme roulant et la nonchalance évidente. Dans l'amusement désinvolte entre les mots idiots - il y a l'ouverture à la verve acerbe, à la répartie cinglante de Liya. Une première ouverture pour souffler un peu, l'acidité qui doit lui ronger les pensées - celle que la plus âgée peut prendre, accepter, sans ciller.

Aux salutations transmises, y a un rire qui lui échappe - franc, bref. « SALUT TIANGOU, J'SUIS RAVIE DE TE VOIR AUSSI. RONGE PAS TROP TON FREIN, JE TE LA RAMÈNERAI ENTIÈRE.» Gueuler - sans grande considération du voisinage, juste de la possibilité d'être entendue du familier de la brune. Elle sait - qu'il ne la porte pas dans son cœur, qu'il n'approuve pas - ce qui les lie, Liya et elle, ce qu'elle réveille chez sa sorcière, qu'elle n'est pas une bonne personne. Mais qui lui importe si peu, quand tout ce qui lui importe, c'est Liya. Liya et son trente. Liya et son besoin de casser des trucs et d'en oublier d'autres. Liya qu'elle n'aime pas voir comme ça - en dépit de toujours la provoquer, de chercher à faire ressortir le pire d'elle. Pour lui montrer qu'elle n'est pas si terrible, l'espoir qu'à expirer sa haine - elle finisse par s'aimer un peu plus. L'attention détournée - mais au fond, la volonté de la protéger, de la préserver comme on voudrait protéger une sœur. Et parfois, la meilleure des façons de protéger n'est pas de préserver l'idylle que tout est - et sera, parfait ; mais de montrer que les fêlures ne sont pas hideuses, que l'imperfection n'est pas rime de condamnation. Ce qu'elle voudrait que Liya apprenne - comprenne.

L'échine décollée de la bécane - le mégot écrasé et jeté dans le cendrier. Le regard posé aux creux des yeux de l'artiste, une main échoué sur l'assise de l'engin. « Si j’accélère, tu te penches en avant. Si je freine, en arrière.» Indiqué - plus certaine d'avoir jamais eu Liya en passagère. En voiture - indéniablement, le souvenir de karaoké à en perdre la voix, mais sans doute pas en moto - acceptait rarement d'avoir qui que ce soit avec elle, seuls moment qui n'appartiennent normalement qu'à elle.  « Virage à droite, sur la droite, à gauche, sur la gauche.» L'évidence débitée dans du simple et efficace, inconsciemment - l'affection qui ressort dans l'attention. Dans le temps pris - pour prévenir plutôt que guérir, celui qu'elle prend habituellement jamais car ça l'emmerde - et peut-être que ça emmerdera Liya. Mais ça leur évitera de se ramassent pour une histoire de mauvais penchants. « Tu peux te tenir aux poignées sur les côtés du siège, ou à moi.» Laïus terminée à enfourcher l'engin, le casque enfilé et les mains sur les poignées.

A la confirmation de l'artiste qu'elle est bien installée - que tout est bon pour elle, il y a le moteur démarré. Les tours qui grimpent - vite, la vitesse - qui monte encore plus vite. Les inclinaisons audacieuses dans les virages - les dépassements impétueux, des autres et des limitations aussi (oups). Des airs du chaos qui lui colle à la peau dans la conduite - pourtant si maitrisé, si calculé, derrière ses airs délits. Parce-qu'elle se permettrait pas de vraiment la mettre en danger, Liya. Mais il y a le trente - dans les choses à faire oublier.

Moteur coupé - casque retiré, mots libérés. « C'est tenir ta machine ou les poings crispés à chaque fois que tu te retiens d'en coller une aux cons qui te donne autant de force ?» L'interrogation à l'air presque sérieux, une forme d'outrage mimée qui se colle aux traits. « J'ai cru que t'allais me fêler une côte.» Elle exagère - grossit le trait, l'ombre d'un rire dans les mots, mais elle était à peu près certaine de garder un souvenir au creux de la chair, des doigts crispés de l'artiste. Et dans le silence - il y a le regard accompagné d'un geste du menton qui désigne le bâtiment derrière, la rage room - parce-que quoi de plus littéral, pour casser des trucs ?

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Kwan Liya
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Tiangou, fier canidé un peu grognon quand la pluie se fait sentir sur son pelage. À l'image de sa sorcière, il aime observer, avant de parler, d'interagir avec d'autres sorciers ou même leurs familier. Il aime son confort et sa tranquillité.

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Le sarcasme de la sœur de cœur arrache un souffle amusé à Liya, qui secoue légèrement la tête, préférant ne pas répondre qu'en réalité, elle aurait préféré dire 40 voir 50. Mais elle ne savait pas compter, Carmen l'avait dit, alors elle préfère se concentrer sur autre chose, annonce que son familier passe le bonjour, tout de même, à celle qu'il ne pouvait pas se voir en peinture à cause de sa capacité à semer le chaos autour d'elle. Et surtout, à réveiller celui qui sommeil chez la tatoueuse. Petit sourire amusé quand l'autre sorcière hurle, pour répondre aux salutations de Tiangou, elle allait en entendre parler ce soir, enfin, entendre râler serait plus adapté dans les faits.

Liya hoche ensuite la tête, aux informations que lui donne l'autre oniromancienne, sur la marche à suivre quand on était passager en moto, elle n'ose pas dire, qu'elle connaissait un peu, savait comment faire, parce qu'elle avait déjà fait quelques tours plus jeune et que son dernier en date était avec Ichabod. Elle n'a pas la force, Liya, laisse juste tout couler sur elle, alors qu'elle retient toutes les mauvaises pensées au fond d'elle. Casque sur la tête, bras autour de la taille de Carmen, les voilà qui filent à toute vitesse. Et il fallait l'avouer, elle préférait la conduite de l'aéromancien ... Celle de Carmen était à son image, chaotique, vive, dangereuse, si bien que la tatoueuse se crispe plusieurs fois, contre l'autre femme, fermant les yeux quand elle craint pour sa vie, alors que c'était totalement idiot de faire ça, si choc il y a, fermer les yeux n'allait pas réduire la douleur.

La brune ne peut s'empêcher de soupirer un peu de soulagement quand elle repose le pied-à-terre, enlevant son casque pour mieux se recoiffer ensuite, alors qu'elle laisse un petit ricanement se faire entendre. " Tenir la machine, c'est un bon entraînement pour en mettre une aux cons... Mais désolé pour tes côtes, j'ai tendance à oublier que tu n'es pas faite d'armure." Si la pique existe, parce qu'elle a tendance à être piquante dans ses moments-là, les excuses, elles, sont sincères. Elle ferait plus attention au retour, c'était une promesse.

Posant ses yeux sur le bâtiment que lui désigne la conductrice, Liya sent un large sourire se dessiner sur ses lèvres. La sorcière avait eu une très bonne idée et avait vraiment bien compris son besoin de casser des trucs, c'est bien pour ça qu'elle l'avait appelé elle et personne d'autre. Parce qu'il y avait cette rage en elles, qui faisaient écho l'une à l'autre, parfois. "Tu as eu une idée lumineuse, Carmen, comme bien souvent. "


Crédits : miss casually reading & b
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