Joseph Bellingham ⨳ Life is too short not to smile

Souriant. Toujours. Son expression par défaut, exprime toutes les émotions + De loin on lui trouve un air hautain, sérieux et (faussement) poli + De près, narquois et moqueur + En réalité souvent confus par les interactions avec autrui, bien qu’il se pense bel et bien supérieur + Intelligent, sans doute génie. Au moins rusé. + Enfant roi, qui a grandi avec les compliments de ses parents même lorsqu’il est évident qu’il aurait dû être sermonné, jamais n’a connu la frustration. Aujourd’hui incapable de se positionner face à autrui, ne comprend rien aux relations + Atteint d’un trouble obsessionnel compulsif + Sadique qui apprécie taquiner les plus timides et réservés + Déborde d’énergie, haït l’ennui + Capable de gamineries + Il aime s’amuser et souhaite profiter de la vie + Ne montrera jamais sa tristesse, les moments où il ne sourit pas + Têtu + Indépendant extravertie, parle volontiers néanmoins apprécie sa solitude + Sarcastique + Protecteur envers ceux qu’il aime + Travailleur qui oubli de dormir + Parfois anxieux ; les piles de copies à corriger sont sa plus grande source de stress, notamment en période d'examens

Joseph ? Un inconnu, même de son entourage, davantage intéressé par jouer les plaisantins que présenter sa vie ennuyante. Il n’a pas d’anecdote réellement tragique à raconter. Ou assez intéressante pour ne pas endormir son auditoire. Du moins, de son point de vue. Gosse de riche né dans une famille aimante. Trop. Non pas qu’il aurait souhaité subir des atrocités, néanmoins reconnait volontiers que son éducation d’enfant roi, sans jamais recevoir de commentaire négatif même lorsque la situation le demandait, ne l’a jamais aidé à devenir un adulte parfaitement intégré dans la société. Sans parler de sa propre valeur.
Exhibant arrogance et confiance, son intelligence bien réelle, il est pourtant incapable de juger d’un œil critique son travail – et les échecs le plongent dans une profonde angoisse, le force à tout remettre en question, puis tenter de se dépasser un peu plus, toujours, pour combler ces lacunes découvertes. Ses parents lui ont menti toute son enfance, dans tous les domaines. Pour eux il n’a jamais échoué. N’a aucun défaut. Le meilleur, excelle forcément à tout ce qu’il entreprend ; mais il ne sait jamais quand la réalité va l’attraper par la nuque pour lui mettre le nez devant les faits.

Il ne sait pas ce qu’autrui pense réellement de lui, incapable d’accepter les compliments. En réalité, Joseph accueille plus aisément les honnêtes critiques.
Une de ses compagnes éphémères, quand il s’est essayé à la vie de couple pendant quelques semaines, avant de s’en lasser, lui a dit qu’il est incapable d’aimer. Qu’il ne rendra jamais heureux quelqu’un. Est-ce vrai ? Il l’ignore. Mais il a été préférable de souffrir de ses mots plutôt que voir une énième personne prétendre l’aimer tel qu’il est. Joseph est las d’’être le prodige au beau sourire, que l’on expose lors des repas de famille. Il aurait préféré que ses parents lui disent quand il les déçoit (et ce n’est pas faute d’essayer de les provoquer), plutôt que lui rabâcher de belles paroles pour cacher leur agacement. Il sait qu’ils auraient préféré qu’il épouse la fille d’un de leurs amis, pour reste qu’entre riches. Un sort auquel il tente d’échapper, rêve d’être libre comme le vent, allégé de ces pressions silencieuses.

Joseph aurait pu se diriger vers un poste du coven, comme ses parents l’ont espéré, eux qui l’ont élevé en imaginant qu’il surplomberait et motiverait les foules, exposerait ses idées, façonné pour être l’un des génies de ce siècle. Joseph préfère en rire : il se considère volontiers génie et supérieur à la plupart des gens, pas au point d’avoir sa place parmi les plus grands. Il a choisi sa propre voie, celle de la littérature. Passionné de poèmes, auxquels il applique une approche plutôt scientifique, il est davantage attiré par la vie bohème que les obligations qui viennent avec un poste à responsabilités. La paperasse est source d’angoisse, jamais gérée comme il le souhaite. Il souffre déjà d’être forcé de lire les devoirs de ses élèves et constater qu’elles ne correspondent pas à ses attentes. Joseph est assez peu satisfait par le travail et préférerait se consacrer pleinement à la création, loin de toute cette sociabilisation forcée ; mais faut bien se nourrir. Et il a tendance à vider son réfrigérateur et les placards rapidement.

Yeux hétérochromes, pas assez visible pour que cela se remarque au premier regard, des paillettes d’ambre saupoudrés sur son bleu azur, à l’œil gauche + Légères taches de rousseur grâce à son héritage + Habillé élégamment, vêtements toujours impeccables + Toujours bien manucuré, mais les mains abimés par les produits ménagers + Autant phobique de la saleté, des bactéries, que des insectes, bien qu’il puisse tolérer les petites bêtes si elle ne vienne pas sur lui + Grand mangeur, estomac sans fond + Dessinateur et peintre à ses heures perdues, aime observer les oiseaux - ses animaux préférés -, et la nature + Mais il déteste en même temps la nature parce que les plantent tâchent les vêtements, provoquent ses allergies et les insectes veulent sa peau. + Il écoute de toutes les musiques + Signe souvent ses SMS avec le redoutable " : ) "