Maeve Ó Fearghail ⨳ Find the sun on a cloudy day

perspicace dévouée méthodique  soucieuse casanière protectrice désordonnée réaliste travailleuse routinière solaire encourageante anxieuse souriante têtue bienveillante distraite empathique patiente tranchante débrouillarde opiniâtre manuelle observatrice susceptible attentionnée rancunière discrète sociable tolérante bornée créative



« you're too naive, you should've see this coming maeve. tu es trop naïve, tu aurais du le voir venir maeve.  »

le sourire collé aux lèvres, traits étirés en un air doux aux inclinations désolées, comme une excuse - pour cette naïveté qu'on lui attribue volontiers. celle qu'elle ne contredit jamais maeve, quand bien même elle n'est pas si vraie - quand bien même elle n'est pas aussi crédule que ce qu'on peut penser, que ce qu'elle peut laisser penser. mais ce n'est pas grave. elle l'avait vu venir - elle le voyait presque toujours venir maeve, perspicace et observatrice, mais elle n'en disait rien. c'était plus simple - de laisser croire qu'elle était un peu trop candide pour ce monde, pour ceux qui l'entoure - sa famille principalement, plutôt que de les laisser entrevoir ou comprendre, qu'elle comprenait un peu trop la réalité, les enjeux, de ce qui l'entourait. suscitait moins de tracas - faisait une personne en moins pour laquelle s'inquiéter.

ça lui permet de s'inquiéter pour ceux autour d'elle sans vraiment le laisser paraître. ça lui offre une excuse - pour proposer son aide dans les gestes les plus simples, pour rendre une visite surprise, pour poser des questions aux airs absurdes, pour avoir une attention désintéressée, pour toujours être dans les environs - car c'est juste l'adulte enfant un peu trop naïve, qu'on ne s'imagine pas être consciente de ce qui se joue autour d'elle, qui n'aime juste pas être seule.


des airs de famille - que derrière la douceur et l'air solaire, se révèle une jeune-femme qui ne sait se défaire d'une idée ni d'une pensée lorsqu'elle l'a en tête. malice - qui éclair les prunelles un instant, toujours ce même sourire coller aux lèvres sans chercher à nier - combien elle était bornée. plus encore lorsque cela touchait à une intuition - un pressentiment, elle était capable de tout plaquer pour vérifier ce dernier, qu'importe les arguments qu'on pouvait lui avancer ou ses obligations. avait simplement apprit à composer autrement avec le temps et les responsabilités d'adultes qui lui incombaient ; comme demander à son familier d'aller vérifier la chose ou défendre son opinion pour elle.

« you missed your chance. tu as laissé passer ta chance.  »

elle est capable maeve - débrouillarde, capable d'innovée, pourtant il y a les opportunités qu'elle laisse toujours filer entre ses doigts. pas intéressée - par le plus, par le mieux, elle se contente de peu - casanière, tendance à tout relâcher dés que les choses sont sécurisées - assurées. manque d'ambition - parfois agaçant, à lui paraître déjà incroyable, lorsque les choses sont au moins biens.


parfois contradictoire - dans sa façon de travailler méthodique, dans le quotidien du foyer assurer sans un oubli, dans les devoirs toujours rendu en avance. dénote - du lieu de vie chaotique, du genre bordélique à être la seule à retrouver ses affaires. étonnamment distraite - capable de perdre trois fois sur un chemin qu'elle connait pourtant par cœur à s'amuser à reconnaître une forme aux nuages, à arriver en retard car elle aura oublier l'heure du rendez-vous, à perdre le fil d'une discussion.

« wait, no - wait ! attends, non - attend !  »

papillon sociable - si elle peut être discrète, pas dès plus bruyante ni de ceux qu'on remarque au premier coup d’œil, elle à l'élan facile vers les autres maeve. le compliment aux bords des lèvres - le service en seconde nature, le rire communicatif, la curiosité qui peut lui suffire à lancer une conversation. une préférence cependant marquée - pour les instants paisibles partagés, plus que les soirées encensées.


pourrait se parer d'air de conflits perpétuels - l'équilibre précaire qu'elle maintient entre la raison et ses sentiments, lorsqu'il est question de décisions. empathique - elle ne peut exclure les sentiments de l'équation, les tenants et aboutissants des conséquences d'un choix qu'elle exacerbe - se joue, toujours. il y a pourtant les faits - le factuel, qui aiguille toujours ses réactions, terre à terre - plus qu'elle ne le laisse paraître. s'avère parfois surprenamment tranchante - dans les mots et dans les choix, lorsque la raison prime sur l'empathie ou lorsque la bonne chose à faire - selon elle, a des airs d'évidences. et il y a les moments où l'ensemble s'emmêle et s'entremêle, lorsque la raison ne parvient à prendre le pas sur l'irrationnelle, lorsque les sentiments dominent - la logique. lorsqu'elle est inquiète ou anxieuse, que le doute s’immisce, même si elle sait - ce sera le cœur qui l'emportera, toujours, juste au cas où.

  « You don't have to be a prodigy to be unique
You don't have to know what to say or what to think
You don't have to be anybody you can never be
That's alright, let it out, talk to me

We can talk here on the floor
On the phone, if you prefer
I'll be here » talk to me (cavetown)






Une môme de plus au sein de la fratrie Ó Fearghail - encore une qui ne trouverait grâce aux yeux de leur mère que quelques mois, avant que les traits poupins ne soient plus aussi charmants et ne rime plus qu'avec obligations et attention - ce qu'elle n'avait jamais été en mesure d'assumer ni d'apporter, leur matriarche.

En dépit de tout - de l'absence et de la décadence qu'engendrait les conduites de leur mère au sein du foyer, la rancune et la rancœur ne sont parvenu à se frayer un chemin au sein du palpitant de l'enfant. Plutôt l'inverse - à tenter de tempérer et d'apaiser, à coups de mots ou de rire, la colère que la matriarche pouvait exacerber au sein de leur fratrie. Peut-être car ils n'avaient qu'elle - car à ses yeux, il n'y avait qu'elle, famille en sacro-sainte figure à laquelle elle s'est toujours raccrochée l'empathe. Peut-être car son père n'a jamais été qu'un mirage - naufrage. Mystère inconnu même de sa mère - pas de nom, de coven ni de souvenirs à lui partager de son paternel, gosse dont la conception avait des airs d'erreurs. Compliqué à intégrer - dans la tête d'une enfant, que cet équation inconnu autour de sa naissance ne la rendait pas moins aimé ni aimable.

Môme aux airs d'idéales - aux yeux d'une mère absente, trop dans la tourmente de l'argent manquant ; dilapidé dans ses consommations. A pas faire de bruit - à rien demander, à apprendre à se reposer sur ses aînés - plutôt que sur sa mère. Débrouillarde - en crédo, comme ses adelphes, chacun à sa façon. Charge - pas toujours évidente, pas toujours conciliante ; mais elle est trop importante pour s'éloigner - pour l'abandonner, leur mère. Même si elle n'a jamais su consoler sa fille lorsqu'un cauchemar la réveillait, même si elle oubliait parfois le livre dont-elle avait besoin pour l'école. Consciente - de l'incompétence parentale de leur matriarche, l'a apprit jeune, elle reste cette figure adorée aux yeux de Maeve - celle pour qui elle est toujours si inquiète. Inquiète du prochain homme qu'elle ramènera - dans leur foyer, inquiète - de la retrouver une fois de plus entrain de pleurer, inquiète - de la trouver alors que son corps tremble du manque, inquiète - qu'un jour son sommeil se pare d'airs éternels.

Alors elle a fait le choix de rester - pour se rassurer et s'assurer, qu'elle avait au moins l'air d'aller bien leur mère. Dernière de la fratrie - à encore habiter au domicile familial, toujours à trouver le réconfort des murs de sa chambre d'enfant. Pourtant bien adulte maintenant - à faire tourner la maison, celle que leur génitrice n'a jamais pu assumer. Celle dont sa mère lui reproche de ne pas suffisamment se soucier - lorsqu'elle est parfois trop fatiguée pour faire la lessive Maeve, lorsqu'elle oublie de sortir les poubelles ou lorsqu'elle ose parfois sortir sans avoir préparer un repas pour sa mère.

A défaut de rendre aveugle - trop clairvoyante de la situation derrière ses airs naïfs, des problématiques dans lesquelles est empêtré celle dont-ils partageaient le sang, espoir illusoires d'une métamorphose quelconque abandonné sur le pallier de l'enfance ; l'amour permet de pardonner et de tolérer, à celle qui sera toujours un pilier de sa vie, à Maeve.



Si l'idée était de reproduire le mythe sept nains, Maeve aurait été la dernière de la fratrie ; mais la matriarche semblait apparemment préférer les octogones (sans règles).
Avant dernière môme de la fratrie, c'est auprès de ses adelphes qu'elle a grandit - s'est construite, l'enfant de la nature. Solidarité éprouvée en réponse à une mère désemparée - face à la responsabilité sous-estimé qu'engendrait l'éducation de ses enfants. Ce n'est pas parfait - pas toujours idéale ni irréprochable, mais c'est à eux - ces liens, cette unité, c'est avec cette certitude qu'elle a grandit Maeve ; qu'ils seront toujours là, pas toujours ensemble mais toujours à répondre présent lorsqu'il y a besoin, chacun à sa façon.

Unité dans leurs différences qui a tenue la môme - l'identité assemblé sous le regard des aînés, parfois trouvé plus péniblement dans l'absence de certain.e.s. Cassidan en référence pour lui prouver qu'ils pouvaient réussir - qu'une vie rangé et paisible était possible, pour eux aussi. Bobd dont la douceur l'a étreinte - dont-elle a apprit la discrétion et l'importance - des attentions aux airs de riens, pouvant être tout. Alaois aux airs de figure modèle, celui dont-elle a apprit l'importance de se débrouiller à force de le regarder, l'importance de la famille - volonté de garder l'ensemble soudé, hérité de l'effort toujours porté à les protéger. Dubh qui avait toujours eu le mot pour la faire rire - celui dont l'éclat solaire l'a entrainé à osé, s'aventurer en dehors de sa routine délimité par ses peurs. Ennis dont-elle avait souvent admirer l'ambition - scènes parfois ridicules partagé, avec leur tempérament borné, celui aussi, qui tente de lui faire entendre raison - invitation à s'émanciper à son tour, qu'elle n'a pas encore l'air prête à saisir. Runa avec qui elle finissait souvent dans des scènes chaotiques - entre la maladresse de l'une et le côté tête en l'air de l'autre, celle aussi avec qui les rires ont été partagés - à en perdre le souffle, seule figure repère quand elle était perdue dans sa féminité, aussi. Aydan en compagnon d'aventure dans leurs histoires d'enfants, le monde découvert à ses côtés - celui aussi, qui a éveillé son souci de l'autre, sur qui elle essai de toujours garder un œil, car pour une fois c'est elle est l'aînée.

Repères - ça l'effraie qu'ils puissent être un jour séparé, que le temps puisse les diviser. Peur panique - que quelque chose arrive à l'un d'entre eux, l'attention qu'elle a toujours pour chacun - et le temps après lequel elle court, pour continuer de les voir maintenant qu'ils ont tous leurs vies. Car ils sont son monde à elle - et que lorsque son sixième sens s'en mêle, elle peut tout plaquer, pour eux. Môme et adolescente qui rentrait au domicile en courant - lorsque l'instinct soufflait que quelque chose n'allait pas, ces " et si " qui l'ont retournés tant de fois, un peu trop consciente des problématiques de chacun derrière ses airs solaires. Se joue de l'innocence qu'on lui attribue - pour qu'ils n'aient pas un membre de la fratrie en plus à se soucier. Morceau d'identité dont chacun de ses adelphes avait été le forgeron, à leur façon.



Des airs d'énigmes - dans l'ascendance de la brune à sa naissance, des airs d'enquête que les oracles ont dû mené. L'enchantée qui n'a pas été aisément apprivoisée - ni acceptée, môme un peu perdue - à n'avoir ni parents ni adelphes doté du même héritage sorcier. La confusion - et les difficultés (en partie engendré par le côté bornée de Maeve, en lien avec son entrée à l'académie) qui lui ont valu - ou l'on poussé, à rapidement passé du temps auprès de ses pairs. Apprendre - auprès d'eux, à se découvrir aussi - en dehors du domicile familial, en dehors de son statut de fille de et sœur de.

Investie - une fois l'enchantée acceptée et non plus vu comme une chose à combattre et refouler, coven c'est paré d'airs de second foyer. Lui a permis de se comprendre - différemment, de mettre le doigt sur l'harmonie empathique qui avait des airs d'envahissant, par le chaos émotionnel au sein duquel elle évoluait.

Pleine de bonne volonté - à la limite pourtant tracé au souci porté à sa famille, sans surprise. Désireuse d'apprendre - de trouver sa place, jusqu'à ce que l'anxiété - le pressentiment que quelque chose allait arriver à sa mère ou à ses adelphes, ne l'étreigne. Ce qui l'avait poussé à déserté son rite de passage en tant que zoomancienne par deux fois - à s'être échappée en plein milieu de la nuit, prétextant avoir été effrayé, lorsqu'elle avait juste craint pour sa famille. Troisième fois - et réassurance de ses aînés qui avaient été nécessaire pour qu'elle accepte, finalement, d'exister en dehors de sa famille. Pas les mots qui s'étaient tenus ce jour-là, mais c'est ce qu'elle en avait apprit Maeve.

Adolescente effervescente - il y avait la curiosité et le désir de comprendre, d'apprendre, qui la poussait souvent à s'entrainer et à apprendre des plus âgés. Le désir de partager - qui l'invite toujours à prendre le temps aujourd'hui encore passer à la flore éternelle ou près des habitations, de toujours prendre part aux célébrations du coven aussi. Le temps souvent passé lors des étés aussi, plus jeune - à occuper des petits boulots selon les besoins lorsqu'elle avait du temps libre, souci de découverte - mais aussi un intérêt à ramener deux trois sous au domicile, pour aider à sa façon.

Similarité retrouvé auprès de l'adulte - dont le coven revêt toujours une importance particuliére, à y œuvrer quotidiennement aujourd'hui. Trop désintéressée pour aspirer à quelconque position au sein des siens - elle a cependant conserver ce désir de partager et a apprit à apprécier, la sérénité éprouvé au sein du territoire des enfants du verger.


L'Académie - où l'institution qui avait eu des airs d'enfer pour la môme les premiers temps. Séparation familial qu'elle a eu du mal à accepter - supporter, trop étouffée par l'inquiétude enivrante qu'un drame puisse survenir au domicile. Problème à solutionner - pour façon de considérer l'académie à l'amorce de sa scolarité. Solution qu'elle pensait toute trouvé - si elle n'avait pas été dotée de magie, puisque l'académie était là pour leur apprendre à apprivoiser et maîtriser cette dernière. Tellement persuadée - que ses pouvoirs étaient le problème, ce qui l'empêchait d'être auprès de sa mère et de son cadet la première année, que sa magie en pâtis. Blocage partiel de l'enchantée que la môme avait réussit à produire inconsciamment - pas non plus capable de complétement bloquer ses pouvoirs, elle avait eu l'espoir que ça suffise, que ça lui permette de rentrer chez elle.

Finalité toute autre - écopa seulement de cours particuliers, d'une attention accentuée, à son retard magique. Auprès de l'académie - de son coven aussi, à tenter de l'aider, de solutionner le problème ; qu'elle n'avait pas reconnu auprès de l'équipe éducative de l'institution. On pensait simplement qu'elle était de ceux qui étaient en retard sur leur magie, c'était des choses qui arrivaient après tout.

L'enfer - qui au fil des années et des rencontres, lui parut plus agréable, plus supportable. La présence de ses frères et sœur - qui lui ont permis d'accepter, peu à peu, la distance avec leur foyer. Phoebe - colocataire à la rencontre source d'éclair, que le temps fit meilleure amie, en pilier des aventures d'enfants - puis adolescentes.

Pas particulièrement brillante - sans pour autant être foncièrement en difficulté, elle était moyenne Maeve, se débrouillait pour obtenir des résultats satisfaisants. Si elle n'avait pas de facilité particulière - elle avait à cœur de bien faire, redoublait de minutie dans ses devoirs et le temps consacré à étudier. Et parfois - elle oubliait, flânait simplement dans les couloirs, profitait d'une soirée pyjama improvisée - le souvenir de l'adrénaline partagé avec Phoebe au détour de frasques adolescentes, comme une enfant de son âge.

Elle finit par s'y faire - à l'Académie, s'y épanouir plus qu'elle ne l'aurait espérer, accepter l'enchantée - jusqu'à demander à l’adolescence de l'aide, pour compenser le retard accumulé les premières années. Y a découvert - une autre façon d'exister.



Maeve c'est celle qui s'est longuement cherché - dans le chaos émotionnel au sein duquel elle a grandit, à ne réaliser que tardivement - que tout ça, toutes ces émotions, ne lui appartenaient pas et ne la définissaient pas. Empathe a qui il a fallut un temps - pour se trouver et retrouver. S'affirmer - elle.

Tolérance et résilience en valeurs prônés dans l'identité - tourné vers les autres sans grande surprise, c'est ainsi qu'elle a décidé d'orienter sa vie la brune. Toujours à chercher ce point d'équilibre dans sa vie, entre sa famille, ses amis, son emploi et elle-même ; cette quête auquel tout adulte se confronte, tente de trouver une réponse - toujours, avec plus ou moins de succès.

Solaire - en adjectif clé, en façon d'exister - en dehors de sa fratrie à laquelle elle s'est longtemps résumé, en dehors de ses amis auprès desquels elle est souvent fourré, en dehors du métier se parant d'airs de vocation. Le sens donné au quotidien se résumant finalement à profiter - exister librement, en dehors des obligations - devoirs, qu'elle ne conçoit pas pour autant délaisser. La recherche simple d'un équilibre - une fois de plus, entre devoir et vouloir, entre exister et décider - de comment exister.

chronologie:

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elle est végétarienne a une obsession avec la cannelle - d'où vient le nom de son familier parie avec elle-même chaque semaine sur l'adelphe qui déclenchera son sixième sens - a transformé en économie les pièces amassées de cette façon vélo en moyen de transport préféré maeve passion cuisine - une légère préférence pour la pâtisserie, cuisine généralement plus pour les autres que pour elle-même est très proche de sa famille et la fera toujours passer avant tout a (trop) souvent des poils d'animaux sur ses affaires

du genre à se lever à l'aube plutôt qu'à veiller jusqu'au crépuscule a souvent les cheveux tressés a tendance à ramener le moindre animal qui croise son chemin chez elle depuis qu'elle est petite - au damne de sa famille parfois préfère le thé au café sa couleur préférée est le orange arrive soit très en avance soit en retard a enchainé les petits boulots pour son coven à l'adolescence se balade toujours avec son polaroid, au cas où les murs de sa chambre sont saturés de photos

adore passé du temps avec ses neveux - c'est aussi très important pour elle malgré son célibat endurcit, maeve rêve d'être mère et de fonder son propre foyer faisait partie de l'équipe de chearleader pour l'équipe de foot féminine à l'académie - ou plutôt : était la chearleader numéro un autoproclamé de sa meilleure amie little feminist, est pour l'égalité des droits indifféremment du genre et de l'orientation sexuelle ou romantique de chacun parfois à courir après son familier pour récupérer ses propres affaires, ou celles d'inconnu que cinna s'est amusé à dérobé de nature tactile, essaye cependant de faire attention par l'aspect intrusif de sa lecture de pensée par contact - dont la maîtrise lui échappe parfois


broderie, crochet et couture apprivoisé plus jeune afin de se réapproprier les vêtements des aînés qui lui revenait. devenu loisirs apprécié - la plupart des vêtements qu'elle porte aujourd'hui sont réalisés par ses mains ou sont des fripes reprises. elle essaye de tenir un compte instagram où elle partage ce qu'elle fait - lorsqu'elle y pense, et vend ses créations qu'elle ne porte pas.

recours régulièrement à l'échange de caractéristiques animales dans sa vie quotidienne. les caractéristiques du chat sont les attributs animaux qu'elle emprunte le plus souvent - ouïe sur-développée pour s'assurer que tout va bien quand un mot est plus haut que l'autre dans son entourage, ou encore l'agilité pour éviter de se prendre les pieds dans les affaires qui traînes.