Identité - Astrae, corps céleste qui gravite encore sur cette planète, immortelle qui pourtant oscille entre deux mondes bien distincts : celui qu'elle voit et celui qu'elle ressent. Étoile perdue au milieu de ce cosmos, elle oublie parfois un peu trop de regarder autour d'elle, préfère tournoyer jusqu'à ne plus avoir pied et quand le souffle vient à manquer, l'étoile tire une révérence, avant que la scène ne soit plongée dans l'obscurité.
Et puis, au dernier plan, il y a cette petite lueur que la planète aimerait cacher aux yeux de tous, Irina, second prénom, prénom secret, qui ne se murmure qu'entre les membres de cette famille. Prénom venant rappeler ses origines et surtout sceller la fin d'un cycle de terreur. "Paix" comme celle que ses ancêtres cherchaient, en arrivant en Écosse, il y a bien longtemps maintenant. Et puisque les traumatismes de la guerre commençaient doucement à se soigner, il était normal, que l'enfant chéri soit le symbole de cette renaissance.
Finalement, Milošević, nom fièrement porté, bien que souvent écorché, par ses camarades de classe, par ses professeurs, mais pour rien au monde, elle l'échangerait, il est le symbole de son appartenance à ce pays que les siens ont dû quitter il y a bien longtemps maintenant, le symbole qui la relie à ceux qu'elle chérit plus que tout au monde.
Naissance - Planète faite d'eau, la constellation du poisson au-dessus du berceau et Neptune comme Gardien. La douce est née le trois mars 1999 dans l’Édimbourg sorcier. Une naissance tant attendue et célébrée par les deux côtés de la famille, "le meilleur accouchement qu'elle aurait pu avoir" déclara sa mère lorsqu'elle tenait enfin contre elle la petite merveille qu'elle attendait depuis si longtemps.
Nationalité & Origines - Fière écossaise, bien que son nom de famille dise le contraire. Mais sa famille est venue vivre ici bien avant sa naissance, pour fuir cette guerre qui faisait rage dans leur pays, la Serbie.
Magie & palier - Botanomancienne, comme l'était deux de ses grand-parents, comme l'est son père. Petite planète est fière de pouvoir les représenter, se plait même à penser que c'était sa destinée, non pas que la partie zoomancienne soit une honte, au contraire, mais redonner un peu de magie végétale dans la famille lui tient à cœur. Le palier 2 est atteint depuis longtemps déjà, pour son plus grand bonheur.
Familier - Plumage au mille et une couleur lorsque les rayons du soleil viennent se poser sur lui, c'est une Mésange de Sophie qui est venue se lover contre la jeune enfant à peine née. Petit animal teigneux, il répond au doux nom de Zorya, en référence aux déesses gardiennes dans la mythologie slave, bien que de caractère, il aurait pu s'appeler Svantovit.
Tuer le temps - Oracle des bosquets un rôle qui lui sied à merveille et qui rendent fier.es les parents de la petite étoile, nichée entre les racines les plus à la surface ou encore dans les branches des arbres les plus âgés, elle écoute les murmures de la nature, tente de déchiffrer ce qu'elle tente de lui dire, de lui apprendre. Bien que souvent, ce sont les murmures de la terre qu'Astrae entend, qu'elle contemple juste avant qu'un être vivant ne pointe le bout de son nez.
Philtre d'amour - Astrae ne cherche pas à penser à ce genre de choses, petite étoile a souvent eu le cœur qui palpite et des papillons dans le ventre, mais elle n'a jamais trouvé la bonne personne, ne s'est jamais préoccupée de cette dimension là des relations humaines. Elle préfère faire confiance au destin et comme l'a si bien dit la nature, le jour où elle rencontrera la bonne personne, tout s'enchaînera, sans s'en rendre compte. Alors, la demoiselle se laisse porter, laisse parfois son regard se poser sur les différentes personnes qu'elle croise, qu'elle côtoie.
L'enfer c'est les autres - Petite planète qui n'aime pas ceux qui n'ont aucune magie, pas qu'elle les déteste non plus, quoique, pour certains... Mais c'est qu'elle en a peur, de ces personnes si différentes, de ces personnes qui n'écoutent plus la nature, pire encore, préfère la détruire. Astrae entend cette douleur que ressent la terre et elle ne peut rester de marbre face à cette souffrance. Oh, elle pourrait peut-être tenter de les instruire, de leur expliquer ce qu'ils font, avec leur mode de consommation, mais l'histoire de ses ancêtres restent bien ancrée dans son esprit, si bien qu'elle se revendique Isolationniste.
Caractère
Et aujourd'hui, comment te sens-tu ?
Aujourd'hui, j'ai l'impression que le soleil brille dans mon corps, c'est chaud et doux, j'aime bien quand je me sens comme ça, j'ai l'impression que rien ne peut m'arrêter, j'ai l'impression que je pourrais soulever des montagnes et soigner notre Mère à tous, mais je sais que je ne peux pas, ne t'en fais pas, je ne retenterais pas. J'ai compris que c'était peine perdue, mais je ne désespère pas, un jour, peut-être que nous pourrions trouver une solution.
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Parfois, j'ai vraiment l'impression que tu oublies ta tête sur ton oreiller, c'est incroyable...
C'est un peu vrai, elle n'est jamais réellement sur mes épaules, je préfère la laisser regarder où elle veut aller. Tu sais, ce n'est pas si simple pour elle, parfois elle rêve un peu trop, se laisse un peu trop happer par la beauté de ce monde. Et puis, elle analyse tous les murmures qu'elle peut entendre, c'est déstabilisant parfois. En vrai, je ne l'oublie pas réellement dans mon lit, mais plutôt entre les racines du vieux Basil, tu sais, l'arbre où la foudre est tombée il y a des années, il m'as dit que ça y est, son heure était venue, il arrivait à la fin, les insectes ont fini de grappiller les parties encore vivantes de son tronc, alors je la laisse là-bas, pour écouter ses derniers secrets.
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Tu as l'air fâchée, pourquoi est-tu si silencieuse ? Ça ne te ressemble pas...
Je n'aime pas quand on parle des humains en vrai, je déteste ça, je les déteste, pourtant, certains sorciers les apprécient, je ne comprends pas pourquoi, ils sont si égoïstes, comment est-ce qu'on peut les aimer ? Je me suis fâchée avec mon ami.e, qui n'a pas voulu comprendre que moi aussi j'avais le droit de penser ce que je voulais d'eux.
Est-ce que tu as aussi accepté qu'iel soit en opposition avec toi ? Petite Astrae, je comprends que ton cœur soit peiné, mais tu ne peux pas imposer ta vision des choses, si tu ne veux pas qu'on t'en impose une autre.
Il n'empêche que les humains sont hideux, méchants et par-dessus le marché, ils sentent aussi fort que du fumier.
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Ils se sont moqués, n'est-ce pas ?
...
Pourquoi est-ce que tu ne réponds pas, Zorya ? Tu sais, je sais lire sur les lèvres, je voyais bien qu'ils se moquaient, mais je m'en fiche bien, les fleurs chantaient, je me devais de danser. Tu sais, les moqueries glissent sur moi comme si j'étais un nénuphar, ils peuvent bien dire ce qu'ils veulent, ça m'est égal.
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Ô petite Astrae, fait attention à ne pas attraper le tournis à force de danser, regarde comme tes jolis pieds sont tout boueux.
Mais ce n'est pas grave, je peux les laver dans le cours d'eau après.
N'as-tu pas peur de tomber malade par ce froid ?
Bien sûr que non et si ça m'arrive, la nature saura me soigner.
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Tu sais, tu devrais tenter de t'ouvrir aux autres, Astrae, ça me peine de te voir si seule parfois, est-ce que tu n'en souffres pas ?
Hm, si, parfois, mais tant que tu es avec moi, je ne serais jamais seule. Être avec toi et lui, ça me suffit amplement, tout comme rester auprès de notre Mère.
N'as-tu jamais eu l'envie d'avoir d'autres amis que nous ?
Si bien entendu.
Alors, pourquoi est-ce que tu ne le fais pas ?
Parce que j'ai peur, Zorya... J'ai peur qu'on remarque que mes oreilles ne marchent pas comme il le faut, qu'on me regarde encore plus bizarrement. Je peux gérer le fait qu'on me trouve étrange, marginale, qu'on me pense naïve ou dans un autre monde, mais je n'accepterais pas qu'on me regarde avec de la peine, tu sais, j'ai bien vu que c'était ça que papa et maman ressentaient et je n'ai pas envie que quelqu'un d'autre ressente ça... alors je préfère faire comme si de rien n'était et si pour protéger ce secret, je dois rester dans mon coin, alors je le ferais...
Je pense que beaucoup ne seraient pas comme tu le décris, ou du moins, je pense qu'ils seront tous assez bienveillants pour ne pas te faire sentir ainsi.
Tu le penses vraiment ? Alors... je devrais peut-être essayer ?***
Émotion exacerbée,
vécue puissance mille, qui ravage parfois son esprit - Souvent comparée à
une petite souris, aucun bruit ne se fait entendre,
tout dans la retenue - Toujours la main tendue vers l’autre, aimer et aider son prochain,
même si le coup de poignard arrive de temps en temps - Romantique à ses heures perdues, rêve de l’Amour avec un grand A,
bien qu’elle ait toujours peur de ce que cela signifie - Une fois qu’une idée est en tête, rien n’y fait, elle va jusqu’au bout,
jusqu’à se prendre le mur qu’elle a décidé d’ignorer depuis le début - Contexte social qui la met mal à l’aise, a tendance à s'effacer dans un groupe,
peur de déranger, de gêner - Tout garder et toujours sourire, un masque depuis l’accident, pour ne pas les inquiéter plus,
mais à force de tout retenir, on suffoque - Autoritaire, quand il s'agit de travail,
c'est une bosseuse, un peu trop passionnée parfois - Courageuse certes, mais frileuse quand la situation devient périlleuse
et c'est parfois là, que sa curiosité la mène. - Susceptibilité,
facilité à bouder, quand celle-ci est touchée en plein cœur.Histoire
Amas de poussières venant de l'explosion de deux étoiles, qui ne cesse de s'agglutiner alors que les mois passent. Point de gravité trouvé dans les roches de plus en plus grosses qui se forment et quand enfin, tout est prêt, la planète se forme, se transforme jusqu'à arriver dans ce cosmos. Petite sphère choyée, aimée des millier d'étoiles tout autour d'elle, elle n'est peut-être pas le soleil de son système et pourtant, tous les regards sont tournés vers elle. Astrae n'est pas le genre d'enfant très farouche, bien au contraire, préfère faire de beaux sourires à toutes les personnes venant se pencher au-dessus de son berceau, faire quelques gazouillis avec son familier, quand sa grand-mère vient lui chanter les veilles comptines de son pays.
Petite planète grandit bien vite, la voilà qui explore maintenant le monde, elle ne marche pas encore, préfère ramper sur le sol pour atteindre les différents objets convoités. Petite Astrae à une sacrée curiosité, parfois un peu trop, combien de fois a-t-elle faillit se prendre quelque chose de lourd sur la tête ? Ou bien tomber dans les escaliers à peine le dos des parents tournés. Et quand elle commence à se tenir sur ses deux pieds, c'est pire encore. Combien de fois les cœurs des pauvres adultes se sont arrêtés de battre, alors qu'ils la voyaient en haut d'une échelle, ou bien que le bruit d'un plongeons se faisait entendre ? Beaucoup trop de fois en réalité, trop pour être compté.
6 ans déjà que la jolie planète grandit, l'heure d'aller à l'académie a sonné et c'est non sans quelques larmes que parents et enfants se séparent. L'internat, ça fait peur, mais c'est nécessaire, si la petite fée tente de faire la grande, elle ne peut s'empêcher de paniquer, en voyant tous les enfants autour d'elle, elle qui était habituée au calme de sa maison, la voilà projetée dans un tout autre univers. Ici, le soleil n'est plus Baba, mais d'autres personnes qui se veulent gentilles, mais qui font bien peur. Heureusement, dans cette mer d'autres univers, un attire son attention. " Toi et moi, on est amis maintenant." qu'elle déclare au petit sorcier à qui elle vient de prendre la main et jamais, Astrae ne le lâchera, il deviendra ainsi son soleil, son meilleur ami.
Les années passent, doucement, surement, le corps céleste n'a de cesse d'avancer dans le cosmos de sa scolarité, elle est brillante, la petite étoile, parmi les meilleurs de sa classe, bien qu'on lui reproche son manque de participation et sa tête dans les nuages. Mais que pouvait-elle y faire ? Son esprit était toujours attiré ailleurs, dans des idées plus farfelus les unes que les autres, rêvant de paix, d'amour, de nouvelles créations qui pourraient venir décorer ses poignets. Il n'y a qu'une seule année, où ses notes ont drastiquement baissées, celle de ses 16 ans, quand le soleil de sa famille s'est éteint, après presque 90 ans d'existence. La perte de sa grand-mère fut un sacré choc pour la petite demoiselle, qui mit de long mois avant de sortir la tête de l'eau, aidée par les personnes qu'elle chérissait le plus au monde. Encore maintenant, Astrae a toujours des pensées et des petites attentions pour celle qui a rejoint le ciel, venant parfois décorer sa tombe de ses plantes favorites ou même de ses pâtisseries préférées.
La fin de l'académie approche, petite planète ne sait pas vraiment quoi faire, entité spirituelle, elle se tourne vers son coven et surtout celle qu'elle considère comme une tante. Idée soufflée de peut-être prendre un rôle chez les enfants des vergers et après quelques rencontres pour avoir un aperçu des différents métiers de son coven, c'est finalement sur celui d'oracle que son choix s'arrête. Ainsi prise sous l'aile de saon mentor.e, petite planète commence son apprentissage à 20 ans à peine. Au bout d'un an, elle aurait pu prendre la place de saon professeur, qui commençait doucement à ne plus se sentir apte à endosser son rôle, cependant, un évènement tragique frappa la pauvre petite planète, la plongeant de nouveau dans une tourmente épuisante.
Elle avait entendu parler de ce projet côté humain, quelque chose qui nuirait à la nature, encore une fois, elle ne pouvait pas laisser ça passe, bien sûr que non, même si la Terre était protégée côté sorcier, il fallait le faire aussi côté humain, qu'importe son dégout pour cette espèce de nuisible. Alors, accompagnée de quelques collègues, elle passa les portes menant à l'autre monde, pour tenter de faire bouger les choses, élever les consciences, elle était confiante, la demoiselle, après tout, celleux qui l'accompagnait connaissait bien ce monde si incertain, elle n'avait donc rien à craindre.
Pourtant, la dérive dans ce cosmos est incertaine et la petite planète implose, alors que l'épée de Damoclès s'abat sur elle. C'est un fracas assourdissant qui lui perce les tympans alors que les pans de mur à peine achevés viennent l'engloutir tel un trou noir. Si des milliers d'étoiles apparaissent devant ses yeux au moment du choc, c'est bientôt le vide qui se fait, tandis qu'elle s'endort.
Parce qu'après tout, les descendant.es de celleux qui ont jadis tenté de décimer les communautés sorcières, sont toujours présent.es, plus fourbes encore que les précédents. Et quand celleux qu'iels ne peuvent pas supporter osent mettre en pied dans leur monde, il est normal de vouloir s'en débarrasser.
Il fallut presque un mois, pour que la petite fée retrouve la lumière, ose ouvrir ses prunelles sur le plafond de l'hôpital de la ville sorcière. On avait réussi à la dégager des gravats, à la ramener en sécurité et la voilà maintenant, vivante, se redressant non sans mal dans ce lit médicalisé. Encore groggy de son long sommeil, Astrae ne comprend pas encore que quelque chose cloche, se laisse aller à l'émotion alors que les bras de ses parents viennent l'entourer : l'enfant était vivante, l'enfant était là, c'était le plus important, après tout. Mais bien vite, on se rend compte, que ce n'est pas comme avant, on se rend bien compte qu'il manque quelque chose, batterie d'examen faite, une nouvelle vient de nouveau perturber le système de la petite planète : est-ce que c'était dû au bruit brutal qu'avait produit l'explosion ? Ou bien est-ce que le vortex avait porté atteinte à son encéphale ? Peut-être les deux, au final, mais une chose était certaine : Petite planète était plongée dans le silence total et les chances de retrouver un jour son acuité auditive étaient minces, même avec les meilleurs médecins de cet établissement. Au début, elle ne voulait rien dire aux autres, seuls ses parents et le corps médical, étaient autorisés à détenir cette information. Parce qu'Astrae refusait la vérité, refusait de revoir encore une fois cette peine dans les yeux des autres et fait surprenant, elle pouvait toujours entendre la voix de son familier. Alors, après avoir réfléchi avec le volatile, une décision fut prise : il deviendrait ses oreilles, avec un peu d'entrainement, tout serait parfait, c'était un peu comme une chorégraphie, au final et s'il y avait des ratés, la jeune femme pourrait accuser son côté rêveur. Mais son secret fut assez rapidement dévoilé, malgré les promesses faites, son meilleur ami fut le premier à le savoir, alors qu'il venait lui rendre visite, si la fée en voulu d'abord à ses parents, elle finit par comprendre que c'était nécessaire d'avoir un allié dans cette phase compliquée et qui de mieux que son ami de toujours ?
Et puis, il y eu saon mentor.e, qui, malgré la nouvelle, fit comme si de n'était, voulait que son apprentie se sente à l'aise pour lui parler de cet évènement qui lui changeait drastiquement la vie. Parce qu'iel connaissait bien la petite, comprenait qu'elle avait presque honte de cet handicap, qu'elle ne se sentait plus assez légitime pour prendre un rôle aussi important au sein de son coven. Oui, iel connaissait Astrae comme s'iel l'avait faite et à force de patience, au détour d'une retraite spirituelle qu'enfin, la planète se confia, dévoilant alors l'horrible vérité, racontant les bribes de souvenirs qu'elle avait de ce fameux jour, des conséquences que tout ceci avait eu, sur elle, sa confiance. Elle parla aussi de sa culpabilité d'avoir menti pendant ces longs mois. Mais au lieu de se fâcher, l'oracle plus âgé lui confia qu'iel savait déjà tout, qu'iel attendait juste qu'elle soit prête pour lui en parler et qu'au contraire, elle avait tout à fait sa place en tant qu'oracle.
Parce qu'après tout, Astrae ne semblait pas le remarquer, mais tout comme elle entendait son familier, elle entendait aussi la nature, lea mentor.e avait bien vu les signes, au contraire, iel pensait même que toute cette épreuve n'était pas là par hasard, que c'était peut-être quelque chose de nécessaire pour que la planète puisse entrer en communion avec cette mère nourricière et les êtres vivants qui la peuplaient. Ainsi, à l'aube de ses 23 ans, Astrae pris la place de la personne qui l'avait formée, non sans crainte de ne pas être à la hauteur, non sans angoisse de voir sa différence être un frein qui pourrait lui couter sa place bien que, plus les mois passent, plus la jolie planète gagne en confiance, pour le plus grand bonheur de ses proches qui continuent de l'accompagner chaque jour.
- Chronologie:
1993 : Arrivée des familles Milošević & Čavić à Édimbourg (sorcier) après avoir fuit la guerre.
1999 : (3 mars ) Naissance d'Astrae
2005 : Entrée à l'académie
2015 : Perte de de sa grand-mère, ses notes baissent, on s'inquiète.
2018 : Obtention du diplôme, Astrae ne sait pas trop quoi faire, se renseigne auprès de son coven
2020 : Commence son apprentissage pour devenir Oracle
2021 : Accident côté humain, période de convalescence et de réadaptation
2022 : Termine son apprentissage et devient Oracle des Bosquets, prenant la place de saon mentor.e