Le Deal du moment :
Sortie PlayStation 5 Pro : où ...
Voir le deal


holiday is a state of mind w/Jingyi

Dubh Ó Fearghail
Isolationniste
Dubh Ó Fearghail

En ligne

Trombinoscope : holiday is a state of mind w/Jingyi 19d7f1648d4d62518140fe4111f7fdc4f0c90fe2
Face claim : Taz Skylar
Pronoms RP : Il
Âge : 28 ans
Tuer le temps : Acteur qui attend son heure - ça sonne mieux que raté.
Arnaqueur/magicien chez les humains, qui use un peu trop de ses talents pour se faire de l'argent.
Community manager chez Assunção, option créateur de contenu qui aime trop porter de belles fringues.

Familier : Aoife, husky sibérien la plus drama-queen qui soit, et qui possède son propre compte TikTok -qui a plus d'abos que celui de Dubh, oups.
Compte en banque : 52
Arrivé.e le : 18/06/2024
Messages : 97
Champion.ne : holiday is a state of mind w/Jingyi M99MSHi holiday is a state of mind w/Jingyi OcdIEGk

   

holiday is a state of mind
16 août 2024



ft.    @Xie Jingyi   


"Sous les sunlights des tropiques,
l'amour se raconte en musique."

tw : mention d'alcool
Soundtrack : Jonas Brothers

Soirée à marquer d’une pierre blanche. La coloc était libre, juste Dubh et qui il voulait pour passer un moment de qualité et il fallait bien l’avouer, la chose était rare. Penny qui sociabilisait, Hasan chez l’amoureux et Andrée partie dans sa famille pour la semaine, autant dire, pure liberté. L’occasion rêvée pour organiser la teuf de l’année, mais non. Non non, Dubh avait eu d’autres projets. Sûr que le carnet d’adresse était rempli de gens à voir, mais il y avait bien quelqu’un qui comptait et à qui il avait promis de passer un moment lé-gen-daire. Revenant donc de la cuisine avec deux verres bien remplis, option petit parasol mignon, Dubh planta le cocktail dans les mains de son invitée avec le sourire qui allait avec le genre de festivité. Ce soir, c’était leur soirée à Jingyi et lui. Rien qu’à eux deux, leurs familiers, et aussi un peu leurs followers.  « Ta boisson préférée, douce beauté. »

C’était que Dubh avait toujours apprécié la présence de la jeune femme. Enfant, sans se l’expliquer, il était allé la trouver pour combler un bout de sa solitude. Les gestes avaient comblé la barrière de la langue, et son coeur était tombé en amour de cette personnalité si douce que c’aurait été un crime de l’ignorer. Entre temps, l’éloignement avait fait qu’il ne s’était plus tellement parlé, mais les hasards de la vie lui avait fait recroiser sa route, et le manque avait disparu sitôt réalisé. Jingyi était quelqu’un qu’on gagnait à connaître. Adorable, tendre, si dévouée à sa cause… Dubh avait l’impression que leurs âmes étaient faites pour se croiser.  « OK, pas de vacances pour les braves, mais pas une raison pour pas se faire kiffer ! » Télécommande à la main, l’aéromancien activa le projecteur du salon qui projeta sur le fond qu’il avait acheté récemment un décor de palmiers ultra kitsch. Trop pratique pour son nouveau travail, même si Davi n’aurait jamais validé la ringardise de l’image choisie ce soir. Mais là, il était en pleine ode à l’amitié. L’envie pure de légéreté.  « J’ai choisi Hawaï, mais tu m’dis ce que tu veux. Google est notre ami, baby ! » Tout en joie, Dubh se dandina sur la voix oubliée d’un Jonas Brother en tournoyant sur lui-même avant de s’assoir sur le canapé.

Avec leurs vies bien occupées, Jingyi et lui n’avaient pas toujours tellement le temps de se voir. Le prix à payer de la popularité, côté Dubh du moins, alors que son téléphone vibra comme pour prouver qu’on le réclamait ailleurs. Mais non non messieurs dames, pas ce soir.  « A la santé des honnêtes travailleurs ! » brailla-t-il en faisant tinter son verre contre celui de son amie, dégustant une lampée de sa trouvaille du soir, une tequila associée à des fruits de la passion, pointe de sel.  « Faut trop que je te raconte mon nouveau travail. Non vraiment, c’est une dinguerie. Mais je sais que je parle trop, alors dis-moi toi ! » Croisant les jambes, l’air empreint de curiosité, sa bouche vint à nouveau frôler la paille plantée dans son propre verre.  « J’veux tout savoir. Ta vie, ton oeuvre, tes amours. » Il aurait bien tenté un clin d’oeil, mais soudain Aoife débarqua comme la princesse qu’elle était, trottinant dans la pièce sachant bien la tournure que prendrait la soirée. Avant même qu’elle n’ouvre la truffe, Dubh la coupa. « Ttttt, ton heure viendra toi. Laisse parler les grandes personnes. » Boudeuse, la husky lâcha un hurlement contrit avant d’aller dans son panier - aka un immense coussin plus moelleux que le propre oreiller de Dubh. Mode drama queen activé. Soirée classique chez Dubh, compagnie et associé.e.s.