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 [Terminé] I don't know why i won't admit that you're all i want Ft. Sílas

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Alaois Ó Fearghail
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Face claim : Robert Sheehan
Pronoms RP : (he/his)
Âge : 34 ans
Tuer le temps : Gérant du "Friday 13th" officiellement, dans les affaires louches officieusement. Non pas que ça le comble dans sa vie, au contraire, il déteste quand il voit la dépendance parler, mais au moins, l'argent est facile. Sale, c'est vrai, mais il peut subvenir à ses besoins et surtout ceux de sa famille depuis bien longtemps grâce à cette source de revenus.
Familier :  [Terminé] I don't know why i won't admit that you're all i want Ft. Sílas 3e8f481be91f09e8f11455db9fdf4789

Barthelemy Aristide Celestine Booth of Dunham Massey, Emperor of trash, raton-laveur excentrique qui n'a pas la langue dans sa poche et aime se mettre dans des situations périlleuses.


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14.02.24



TW : aucun pour le moment

Non mais quelle idée aussi, de vouloir faire plaisir et répondre à un défi. Si encore le thème de cette soirée avait été quelque chose de plus simple, du genre, jeux vidéos, trouver un déguisement potable aurait été plus facile, mais non, Alaois aime les défis et le voilà à passer des heures et des heures à éplucher internet et bien des livres pour trouver des informations sur le type de vêtements que portaient les femmes irlandaises à l'époque médiévale. Et puis, il avait dû trouver la perle rare, parce que franchement, avoir un beau costume, ce n'était pas simple... mais il avait fini par trouver une robe faite dans les matières de l'époque : du lin coloré en rouge pour la partie buste et jupe, des manches vertes venant s'accrocher au vêtement principal, le tout joliment brodé au niveau du bas de la jupe, de l'encolure et même des extrémités des manches... Il y avait même des poches, assez profondes pour accueillir clés et téléphone portable, c'était parfait ! L'aéromancien avait passé du temps avec la costumière, qui lui avait alors expliqué toutes les étapes pour enfiler le costume. Et vraiment, il comprenait pourquoi très rapidement, il y avait eu des personnes pour aider les femmes et leurs toilettes, quand l'experte lui avait dit que, "encore, là, c'est un costume assez simple.". Lui qui avait l'impression que déjà, c'était sacrément chargé...

Enfin le grand soir était arrivé, se préparant dans la salle de bain, Cat observe ses manches un peu dépité, alors qu'il semblait enfin comprendre que non, il ne pourrait pas les remonter. Lui qui avait horreur d'avoir les avant-bras couvert, c'était bien sa veine. Il finit tout de même par retrouver le sourire en voyant son familier qui semblait plus qu'heureux de le voir ainsi habillé.

" Tu es vraiment magnifique ! Si j'avais su que ça t'allais si bien, je t'aurais embêter bien avant pour qu'on se fasse des déguisements assortit ! "
" Oui mais ... Non, tu sais c'est juste pour ce soir, Bart... Comment tu fais pour marcher avec des robes qui arrivent au sol sérieusement, je vais vraiment tomber à force de marcher sur le tissu ... "
" Si tu fais des petits pas, ça sera plus facile ! Attends tu te maquilles pas ? "
" Non, quand même pas, j'avoue que je n'ai pas le matériel pour et que je suis déjà en retard, en plus je dis te déposer chez Ryung, mais ça va, franchement, tu as dit que j'étais magnifique, pas besoin de plus d'artifice ! "

Enfilant son collier, sa ceinture et son manteau, une cape en laine tenue par une jolie broche, le sorcier prend son raton-laveur sous le bras, ses clés, téléphone et carte de l'autre. Direction la porte voisine pour déposer l'animal se prenant pour Rebelle ce soir, un arc fermement tenu dans ses pattes. Bien entendu, Hwan réclame une photo avec Alaois, qui ne peut refuser, comment dire non à cette petite boule de poils ? Enfin en route pour rejoindre son rendez-vous du soir, Cat essaye de faire comme Bart lui a dit : des petits pas, mais franchement, ça l'agace un peu, il a tellement l'impression de faire du sur place... Heureusement, il finit par arriver au lieu de rendez-vous et Silas semble en retard, comme d'habitude.

C'était quelque chose qui était ancré chez le serveur, comme s'il mettait un point d'honneur à ne pas arriver pile à l'heure ou même un peu avant. Au début, le brun ne s'en rendait pas compte, mettant les minutes ratées de boulot sur le compte de la circulation ou autre chose du genre. Mais à force de le côtoyer, le bouclé avait bien compris que non, ce n'était pas qu'une histoire de circulation ... Combien de fois est-ce qu'il l'avait attendu, même quand les crêpes étaient de mise, même quand c'était Cat, qui se déplaçait chez le coréen, il n'était jamais prêt, à croire que le temps s'écoulait d'une manière différente autour de l'autre enfant des vents.

Quand enfin, le serveur daigne montrer le bout de son nez, Alaois sent un grand sourire orner ses lèvres alors qu'il lui fait signe. Cela faisait quelques jours qu'ils n'avaient pas pu se voir, leurs horaires au bar ne correspondaient pas forcément, ni même leur emploi du temps, alors forcément depuis un peu plus d'une semaine et demi, les deux hommes s'étaient assez peu croisés. Ce qui avait fait un petit vide dans la vie de la princesse irlandaise d'un soir, parce qu'après tout, le trajet, pour rentrer à la maison, était plus long et calme, parce que ne pas avoir les sarcasmes du sorciers et son familier, c'était triste et puis juste... Il appréciait Silas, malgré la fin de leur première soirée un peu étrange, les deux aéromanciens avaient continué de se voir, au bar, en dehors, jusqu'à passer un peu plus de temps ensemble, ce qui n'était pas du tout désagréable.

" J'ai cru que tu n'allais jamais arriver ! "

A la lumière du réverbère, Cat vient observer un peu le nouvel arrivant dans ses vêtements traditionnels et il ne peut que penser qu'ainsi, Silas a vraiment un petit quelque chose encore plus intéressant.

" Franchement, tu es vraiment beau comme ça.  "


Sílas Carter
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Tuer le temps : c’est presque une histoire de famille à ce rythme; résident en chirurgie thoracique et cardiovasculaire au CHU d’Edimbourg, il ne vit que pour l’euphorie du bloc, du bistouri et de flanquer une bonne raclée à son paternel
Familier : Icarus est un chat européen qui adore emmerder son monde et qui est plutôt doué à la tâche (comme son sorcier, tout à fait)
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14.02.24 & tenue



TW : aucun

Quoique ses traits conduisent inévitablement vers la terre du pays au matin calme, Sílas n’avait jamais poussé la porte conduisant à l’héritage de ses illustres ancêtres, dont le fil doré passe inéluctablement par la peau de sa mère, de laquelle il s’efforce, avec une malingre volonté, s’éloigner. Il aura donc fallu la perspective d’une soirée déguisée, relatant les origines des convives, pour qu’il se penche sur ce pan de vie jusqu’ici nié…

Nommé Hanbok (한복), du suffixe « Han » qui signifie grand et qui désigne par ailleurs la Corée, et de « Bok » (복) qui renvoie à l’idée de chance, de bénédiction et de fortune, le vêtement traditionnel coréen serait apparu dans la région de Buyeo aux alentours du 3ème siècle avant Jésus-Christ. À l’origine, la tenue aurait été fabriquée pour faciliter les mouvements lors de la chasse : il s’agissait donc, principalement, de coupes courtes pour ne pas entraver les bras et les jambes. Ce n’est qu’après la fin de la période des Trois Royaumes, que le vêtement se serait allongé. Les hommes, issus de nobles lignées, portaient alors une veste plus centrée avec une ceinture à la taille, ainsi qu’un pantalon davantage serré à la taille et aux chevilles. De couleurs neutres, essentiellement le beige du lin, ils se teintaient de vives nuances pour les cérémonies officielles ou religieuses, surtout chez les femmes.
      Avec l’avènement de la Dynastie de Joseon, qui voit notamment apparaître le Hangul, l’alphabet coréen, qui est une véritable révolution puisque permettant l’alphabétisation du peuple et surtout des femmes (une grande première, dirons-nous), c’est également l’arrivée du confucianisme : de nouvelles valeurs parcourent le pays. On constate, alors, que les codes vestimentaires se creusent considérablement, pour différencier nettement les classes sociales ; mais le Hanbok, reste, l’union entre toutes ces castes disparates, puisque permettant l’unification du peuple sous le même symbole, alors même que le pays est incessamment occupé, ployé et pillé par ses voisins.

Ce soir, dans son appartement, c’est son Chat qui tente de l’occuper, de le faire ployer et de le piller : d’abord en cachant ses clefs, puis en piquant une monstrueuse crise de jalousie, mêlant élan dramatique d’abandon et reproches teintés de mauvaise foi. Après d’âpres négociations pour partir de chez lui — en possession de ses clefs bien sûr, le coréen qui en porte la tenue s’empresse de rejoindre le lieu de rendez-vous, non sans avoir une bonne quinzaine de minutes de retard. Enfin, pour lui, ce n’est pas vraiment du retard. « J’ai cru que tu n'allais jamais arriver ! » Il est PRESQUE à l’heure et ainsi qu’on l’accueille ? Cela ne vaut vraiment pas la peine de faire autant d’efforts. Perdant bien promptement son sourire réjoui, qui s’était instinctivement dessiné sitôt qu’il avait aperçu la silhouette de celui qui lui manquait secrètement, il avance en traînant les pieds tel un enfant injustement grondé, poussant même ses lèvres en avant dans une moue boudeuse avant de répondre, de la même mauvaise foi que son Chat et en parvenant à la hauteur du bouclé : « Je suis en avance sur mon retard, tu pourrais me féliciter. » Se glissant sous la lumière du lampadaire, il pose les yeux sur la robe que porte son ami ; celui-ci se dévoile dans des tons rougeâtres et émeraudes, dont les manches sont entrelacées d’ornements dorés, ornements qui se répercute au bas de la dite robe et jusqu’à la ceinture qui marque sa taille. D’abord surpris, il penche légèrement son menton sur le côté en fronçant très brièvement ses sourcils, ne pouvant s’empêcher de demander, d’un ton amusé : « Tu cherches ton crapaud, princesse ? » Oui, il a vu qu’un dessin-animé et c’est celui de Bart : il va donc falloir faire avec les (piètres) références qu’il a. Secouant légèrement son menton en gardant le reliquat de son sourire suave, il ne peut s’empêcher de glisser un regard plus doucereux sur les traits du brun, qu’il caresse presque de ses iris pétillants… Même ainsi, il le trouve tout à fait charmant.

« Franchement, tu es vraiment beau comme ça ! » Il pense la même chose le concernant, bien que lui n’aurait pas osé le dire ; il hausse de nouveau ses sourcils en baissant machinalement le menton sur sa propre tenue, composée d’un pantalon noir resserré à la taille et aux chevilles, que l’on nomme Baji, et d’un manteau tout aussi sombre nommé Durumagi, d’une longueur qui frôle le milieu de ses cuisses, d’une coupe évasive sur le bas, noir sur le buste mais aux manches blanches ; le dit manteau, dont la bordure est également orné de fils dorés soigneusement cousus, est recentré par une ceinture assortie. À noter que s’il avait fait les choses correctement, il porterait des Kkotsin mais, comme cela lui semblait bien trop inconfortable, il a opté pour des Vans ; coréen mais pas trop non plus, comme il est métis, c’est cohérent. « Merci… » Souffle-t-il en redressant son visage, soudainement — et peut-être pour la première fois depuis qu’ils passent autant de temps ensemble, visiblement intimidé. Il lui dirait bien comment la tenue s’appelle mais, là, tout de suite, il a oublié. « Euh…On y va ? » La question n’attend pas de réponse, puisqu’il attrape rapidement son bras pour l’entraîner dans la direction indiquée par le GPS de son téléphone portable. « C’est… Là-bas, je crois. » Son sens de l’orientation étant aussi développé que sa délicatesse, il contemple son écran de téléphone en fronçant durement ses sourcils, ne sachant pas tellement s’ils doivent aller à gauche ou à droite.  À moins que ce soit tout droit ? Heureusement, il a de la chance ; dans son dos, quelqu’un dépose une main sur son épaule, et il se crispe instinctivement avant de reconnaître le visage de l’un de ses amis, vêtu d’une tenue traditionnelle russe. « Toujours perdu, hein. » Toujours, non. À peu près tout le temps, oui. Les deux musiciens échangent un sourire complice avant que le nouveau venu tourne son regard en direction du bouclé, auquel il accorde un sourire jovial et quelques mots d’une même voix : « Heureusement que je suis là, parce que si tu comptes sur lui pour te guider… » s-u-p-e-r. Après ces retrouvailles (et présentations) ô combien réjouissantes, le trio se remet en route, rejoignant un appartement qui surplombe le port de Leith, et donc la mer. De toute évidence, et Cat peut rapidement s’en rendre compte, ce sont principalement des musiciens qui sont ici rassemblés, comme en témoigne le piano qui trône fièrement dans le salon, entouré par une bibliothèque fleurie en livres et partitions, ainsi que les nombreux cadres affichant des orchestres posant fièrement devant l’objectif. Ils sont nombreux, et quoique tous se connaissent pour la plupart, ils accueillent le nouveau venu chaleureusement ; peut-être un peu trop au goût de certains, d’ailleurs.
Alaois Ó Fearghail
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14.02.24



TW : aucun pour le moment

En avance sur son retard, voyez-vous ça. Alaois ne peut que lever les yeux au ciel, quand il entend ça. Dans d'autres contexte, ça aurait pu fortement l'agacer, pourtant, ce soir, ça le fait rire et c'est peut-être mieux ainsi, surtout quand il voit les mimiques boudeuses de son acolyte.

" Ne boude pas, voyons, je suis très heureux de te voir tout de même."

Et puis, le coin de ses lèvres s'étire dans un sourire plus mutin, quand on lui demande s'il cherche son crapaud. C'est vrai que Silas avait pu voir le fameux dessin animé de la princesse et la grenouille. Et il faut le dire, Cat trouve ça très drôle qu'il fasse le lien avec cette soirée, celle où le port de robe avait été abordé.

" Il semblerait qu'il soit devant moi... mais il a déjà reprit forme humaine ! "

Mais il ne s'arrête pas là, vient le complimenter de manière plus directe, c'était quelque chose qu'il aimait bien faire, surtout avec le coréen devant lui, parce que le gérant du Friday aimait déstabiliser celles et ceux qu'il trouvait à son goût et il faut le dire qu'il était tout fier de voir que son ami était presque intimidé, c'était sûrement la première fois qu'il le déstabilisait de la sorte... Et ce n'était pas pour lui déplaire, après tout, ça venait dire qu'il y avait peut-être un peu plus qu'un simple flirt entre eux, même si bien vite, il range cette idée tout au fond de son esprit. Heureusement, son crapaud favoris vient changer de sujet, dégaine son gps pour voir l'adresse et surtout, le chemin pour y aller. Mais il semblerait que le chemin sera plus compliqué que ça et la princesse d'un soir s'apprête à venir en aide à son cavalier après un petit rire, quand une troisième personne fait son apparition.

D'instinct, Cat vient observer le nouveau venu, de ses traits à sa tenue, tout passe sous ses yeux qui viennent l'aider à enregistrer chaque information qu'il peut posséder sur cette personne. La main sur l'épaule de Silas et le sourire complice lui indique une certaine proximité, de toute évidence, ils sont des amis plutôt proches, mais à quel point ? Dans tous les cas, les traits de celui qu'il devine d'origine russe au vu de sa tenue, ne l'alarme pas plus que ça, bien qu'il laisse un doute planer dans son esprit, celui qui leurs servira de guide n'a pas l'air d'être un mauvais bougre.

" Je n'y serais peut-être jamais arrivé ? Après ça va, il n'est pas de mauvaise compagnie alors..."

Qu'il vient répondre avec un sourire poli, avant que les présentations en bonne et due forme faite, le trio ne tarde pas à rejoindre le lieu de la soirée. Heureusement, entrer dans une pièce remplie d'inconnus, ou presque, ne fait pas peur à l'aéromancien, ayant toujours eu une certaine aisance sociale, il se sent très vite dans son élément, encore plus quand on lui réserve un accueil aussi chaleureux. Comme il s'en doutait, ici, les musiciens sont en majorité, au vu du piano dans la salle, des nombreux livres et partitions et surtout, les cadres photos montrant les orchestres qu'ils ont pu composer. Dans le fond, Cat est heureux de voir que malgré tout, son employé n'a pas totalement coupé avec ce monde qui le faisait rêver. Très vite, Cat se sent presque comme avec des amis de longue date, n'était pas trop perdu au niveau musique à laquelle il s'est intéressé fut un temps (et merci aussi à son oreille absolue grâce à son palier 1 ), il n'en reste pas moins curieux, quand une information inconnue lui parvient et n'hésite pas à demander à en apprendre plus, quand ça semble pertinent pour la suite de la conversation. Bien sûr, il ne quitte pas Silas pour autant, restant proche de lui le plus possible et laissant ses yeux le suivre quand son cavalier s'éloigne un peu trop, malgré les conversations intéressantes. Bien entendu, il préfère taire un peu la vérité, quand on lui demande s'il est un collègue de l'autre brun et dans un sens, le bouclé ne ment pas, il lui arrive aussi de travailler derrière le comptoir et ils ne sont pas forcément obligé de savoir qu'il s'agit en réalité de son patron. S'excusant momentanément, Alaois finit par rejoindre le sorcier près des boissons, bien heureux de le retrouver après de longues minutes passées sans lui.

" Tes amis sont sympa, certains un peu trop... tu sais..."

Pompeux était le mot, mais il espérait que son ami saurait comprendre le sous-entendu.

"Mais ils restent agréables tout de même. "


Sílas Carter
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TW : alcool, langage cru

« Ne boude pas, voyons, je suis très heureux de te voir tout de même. » La première partie de la phrase est ratée puisqu’il boude déjà, le milieu lui plait beaucoup mais la fin gravement moins : pourquoi tout de même ? Il n’est pas en retard il a dit, faut suivre un peu. « Moi aussi. » La formule ne lui a pas arraché la langue, mais presque ; c’est qu’il est davantage habitué à parler avec sarcasme qu’avec douceur et, même sa soeur, qui est sûrement la personne la plus importante dans sa vie, n’est guère épargnée par son mauvais caractère. « Il semblerait qu'il soit devant moi... mais il a déjà reprit forme humaine ! » « C’est moi le crapaud ? » Une nouvelle grimace enfantine se dessine sur son visage avant qu’il réalise, en creusant prestement dans les souvenirs de cette soirée pour le moins étrange, que le dit crapaud est en réalité issu d’une bien noble dynastie. Haussant finalement ses épaules avec approbation, il hoche son menton sur le même ton en laissant un franc sourire prendre place sur ses lèvres, soudainement réjoui de cette royale perspective : « Il est aussi prince donc ça me va, c’est tout à fait digne de ma personne. Du coup, tu m’appelles Majesté maintenant ? » Pas la peine de vérifier ses chevilles : tout va bien. « Allez viens, princesse. » La s-i-e-n-n-e.

En revanche, après le compliment qui lui fait oublier le nom de sa tenue — ça va lui revenir, ils entament une petite marche vers le lieu du rendez-vous, qu’ils ne sont pas sûrs d’atteindre puisque le guide n’en est pas vraiment un, et que même avec un GPS entre les mains, il est réussit l’exploit de se perdre. Ils ne doivent leur survie qu’à l’un des amis du musicien qui, l’ayant reconnu de loin, s’est avancé pour glisser une main amicale sur son épaule, non sans noter avec acharnement son caractère sans cesse égaré. « Je n'y serais peut-être jamais arrivé ? Après ça va, il n'est pas de mauvaise compagnie alors... » Si la réponse trace un étirement doucereux sur les lèvres du pianiste, son comparse, toujours la main posée sur son épaule, plisse légèrement ses paupières d’un air suspicieux, regardant son ami puis le bouclé à plusieurs reprises, comme s’il soupçonnait silencieusement quelque chose entre les deux. « Il peut être gentil, oui. Quand il veut. » « On dirait que tu parles d’un chien. » note-t-il en fronçant légèrement ses sourcils, obligeant le violoniste à secouer vivement son menton de gauche à droite, donnant l’impression de vouloir rétablir une vérité plus acceptable mais…  « Un chien ça s’éduque, toi… » Faisant claquer sa langue contre son palais avec une petite étincelle de nervosité, Sílas cligne plusieurs fois des cils en se demandant, pourquoi, il a tenu à venir. Surtout en compagnie de Cat — il sent qu’il va amèrement le regretter puisqu’il commence déjà à se dire que ce n’était pas une bonne idée.

Heureusement, les trois ne tardent pas à rejoindre les autres et les conversations se concentrent principalement sur le nouveau venu, auquel ils s’intéressent sincèrement, n’ayant de cesse de lui poser des questions pour apprendre à le connaître. Mais s’ils démontrent un véritable intérêt pour sa personne, la question de la musique n’est jamais bien loin, et ils ne peuvent retenir leur étonnement lorsqu’ils apprennent que Cat ne pratique aucun instrument ; sans nul doute, se demandent-ils silencieusement comment le bouclé a pu nouer une telle amitié avec Sílas, lui qui ne vivait jamais que pour et par sa musique. « Toi aussi tu dois l’accompagner pour pas qu’il se perde ? » Finissent-ils par lui demander avec un brin de sourire amusé, avant de lui faire le récit de vieux souvenirs qu’ils jugent, à en voir leurs expressions, encore fort amusant : du temps où ils pratiquaient tous ensemble, il était courant que leur pianiste se perde ou soit en retard, de ce fait, il n’était point rare que l’un d’eux se charge de le conduire à bon port, en le pressant pour être à l’heure. Ne semblant pas particulièrement gêné de ce qu’on raconte à son propos, puisque ce n’est guère un secret, le coréen boit quelques gorgées de son verre tout en les écoutant attentivement, finissant par dire, tout aussi amusé qu’eux : « C’est normal : on escorte toujours ce qui est précieux. » Comme ils haussent leurs sourcils en levant les yeux au ciel, mais riant tout de même de bon coeur, il avale sa dernière gorgée avant de préciser, sans aucun état âme : « N’empêche que, moi tout seul, j’ai plus de distinctions que vous tous réunis. » Aïe. Heureusement, ils le connaissent trop bien pour s’en offusquer, alors certains se contentent de grimacer en le regardant, tandis que d’autres marmonnent qu’ils vont ‘’bientôt en avoir aussi’’. « Dans vos rêves, oui. » Un sourire hautain aux lèvres, il se retourne vers Cat en montrant son verre vide, lui signifiant alors, d’une voix bien plus douce : « Je reviens. » L’abandonnant avec ses amis, qui doivent l’assaillir de questions pour lui demander ‘’comment il fait pour le supporter’’, il rejoint le bar en se frayant un chemin à travers la petite foule rassemblée dans l’appartement.

S’il a dit qu’il revenait, il n’a pas précisé quand ; principalement parce qu’on vient sans cesse lui parler, et parfois des visages qu’il ne reconnaît pas mais qui, eux, le connaissent fort bien. Faisant mine d’être parfaitement à l’aise, il enchaîne quelques verres au gré des discussions et des retrouvailles, réelles ou feintes, jusqu’à ce que la princesse le rejoigne enfin, si bien qu’il l’accueille avec un sourire plus doux qu’il ne le voudrait. « Tes amis sont sympa, certains un peu trop... tu sais.... » Buvant une gorgée de son énième verre, il le regarde par-dessus sa boisson, les sourcils froncés mais un fin rictus joueur en signe de première réponse. « Des artistes, quoi. » C’est un bon résumé : et il ne peut pas vraiment leur en vouloir puisque, probablement qu’à l’époque, il était pire. « Mais ils restent agréables tout de même.. » Hochant son menton de haut en bas, il émet finalement un petit rire en tendant un verre propre à Cat, lui disant alors : « Je crois que t’as besoin d’un petit remontant. Qu’est-ce que tu veux ? » Lorsqu’il obtient la réponse, il parcourt le comptoir du regard et, trouvant la bouteille réclamée, tend son bras pour s’en saisir, étant obligé de se décaler de quelques degrés pour l’atteindre ; revenant auprès de Cat, il s’apprête à remplir son verre lorsque qu’une silhouette se dessine à côté de lui, faisant entendre sa voix grave. « Ma soeur n’aime pas comment tu es habillé, elle trouve que ce n’est pas très viril. » La garce. Ça, c’est ce qu’il aurait dit s’il n’avait pas été en présence potentielle d’un ami de ses amis. Ayant tout de même la décence de retenir sa délicatesse innée, auquel Cat est sûrement trop habitué désormais, Sílas se retourne plutôt vers son nouvel interlocuteur, illustre inconnu s’étant rapproché de lui au point que leurs coudes se frôlent et qui le toise avec un air farouchement charmeur, pour lui répondre, un peu sèchement pour sa part : « Elle est où, ta soeur ? » Le jeune homme, verre en main, pointe de l’index une jeune femme un peu plus loin qui, vêtue d’une bien drôle de façon, porte un chignon aussi haut et rond qu’une soucoupe volante sur le crâne. Trop facile. Il s’attarde quelques secondes sur sa cible pour la dénigrer visuellement, sans se rendre compte que le frère, toujours posté sur sa gauche, le dévisage avec envie puisque, à côté de la dite garce, se trouve un autre homme qui fait la même chose. C’est fou un tel succès… Il va falloir qu’il porte cette tenue plus souvent. « Et lui, c’est qui ? Son mec ? » « Elle aimerait bien, mais… » « Mais elle n’est pas assez plate pour lui, oui, j’ai deviné. » Ça aussi, il aurait peut-être du le garder pour lui ; que c’est dur d’être politiquement correct. « Je crois qu’il aime bien ma tenue, lui. » Détournant finalement le regard avec indifférence, il en revient à Cat, avec qui il partage un regard avant de reposer la bouteille ayant rempli son verre, sans s’attarder outre mesure sur l’incident, jusqu’à ce que la voix de l’inconnu l’interpelle de nouveau. « Il n’est pas le seul. » Les syllabes entendues l’obligent à immobiliser ses mains tandis qu’il se retourne vers l’homme qui n’a pas bougé d’un millimètre et qui, face à son air sincèrement déconcerté, croit bon de rajouter : « J’aime beaucoup ta tenue, moi. Mais je crois qu’elle serait encore mieux aux pieds de mon lit… » C’est plus direct qu’une voie rapide sur l’autoroute, ça. En d’autres circonstances, probablement qu’il n’aurait pas hésité un seul instant à rejoindre ce petit jeu de séduction mais, ce soir, c’est une hilarité confuse qui vient défaire ses lèvres, préférant finalement secouer son menton de gauche à droite en disant, à son tour : « Tu diras à ta soeur qu’elle investisse dans une brosse, peut-être, et je dis bien peut-être, qu’elle arrivera à se faire soulever comme ça. » Peste dans l’âme, il penche légèrement son menton sur le coté d’un air tout à fait malicieux, pensant ainsi le congédier mais… « Et pour moi, tu n’as pas un message ? » Si, mais il risque de ne pas plaire : ton parfum est infect. Là encore, après un dilemme intérieur pour garder le silence (il va finir par faire un ulcère), le coréen se contente de secouer une nouvelle fois son menton de manière négative, en appuyant l’une de ses mains sur le comptoir à côté de lui. « Moi, j’en ai un pour toi. » Sa main libre venant se poser sur sa propre hanche, Sílas fronce légèrement les sourcils en voyant que son interlocuteur se rapproche de quelques pas, suffisamment pour que leurs torses soient collés et qu’il puisse lui murmurer quelques longues phrases à l’oreille ; si, de prime, son expression laisse clairement entendre qu’il n’est guère ravi de cette proximité, ses sourcils finissent par se hausser sous le surprenant discours lascif qu’on lui soumet… « C’est… » Prometteur, audacieux, entreprenant et un peu gênant, mais, surtout, cela conduit à une question existentielle : il fait du cirque ? Raclant discrètement sa gorge, il se recule machinalement d’un pas pour se rapprocher de Cat, en joignant ses deux mains qui s’accolent l’une contre l’autre, pour tenter de trouver une porte de sortie à cette entrevue. « Tu es seul ? » Oui. Mais non. Mais pas vraiment. Ou pas totalement. Ça dépend du point de vue. Et le point de vue dépend du moment où on pose la question. Le flou non pas artistique mais émotionnel comprime ses pensées durant quelques secondes, le temps qu’il puisse formuler une réponse pour résumer cette étrange situation, ce qui semble rendre l’homme impatient puisque, sans attendre davantage, il se saisit de la main du musicien en brandissant un stylo sorti d’on-ne-sait-où, afin de commencer à inscrire son numéro de téléphone dans la paume de celui-ci. Si jamais il veut se mettre aux arts du cirque, sûrement.
Alaois Ó Fearghail
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Tuer le temps : Gérant du "Friday 13th" officiellement, dans les affaires louches officieusement. Non pas que ça le comble dans sa vie, au contraire, il déteste quand il voit la dépendance parler, mais au moins, l'argent est facile. Sale, c'est vrai, mais il peut subvenir à ses besoins et surtout ceux de sa famille depuis bien longtemps grâce à cette source de revenus.
Familier :  [Terminé] I don't know why i won't admit that you're all i want Ft. Sílas 3e8f481be91f09e8f11455db9fdf4789

Barthelemy Aristide Celestine Booth of Dunham Massey, Emperor of trash, raton-laveur excentrique qui n'a pas la langue dans sa poche et aime se mettre dans des situations périlleuses.


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14.02.24



TW : aucun pour le moment

Alaois hoche doucement la tête quand le nouvel arrivant lui demande si c'est lui le crapaud, il s'empêche de rire en voyant sa moue enfantine, il ne se rappelle pas que la grenouille est prince, de base ? Ah si, enfin Silas semble retrouver un peu ses souvenirs et cette fois-ci, il se peut s'empêcher de rire, en l'entendant demander s'il allait l'appeler Majesté désormais.

" Pas encore, mais je peux déjà dire mon prince si tu le souhaites. "

Un grand sourire idiot aux lèves quand il entend le petit surnom qu'on lui donne, Cat suit son guide (pas si guide que ça,) même si bien vite, quelqu'un vient à leurs secours et il faut avouer que le bouclé ne sait pas trop quoi penser de cette interaction avec le russe, partager entre l'envie de le piquer à vif pour les débilités qu'il dit sur son ami et l'envie de rire, selon les moments, est-ce qu'ils étaient tous comme ça ?

" Oh, ce n'est pas un chien... Plutôt un chat, plus gracieux et indépendant."

Regard vers le troisième homme, il espère que cette fois-ci, il ne viendrait pas à la charge, c'est qu'il commençait à avoir un peu froid à être dehors dans cette tenue. Heureusement, tout semble se passer pour le mieux et bientôt, les voilà arrivé au lieu de rendez-vous et Cat est tout de suite bien accueillit, ce qui fait assez plaisir à l'aéromancien qui n'a aucunement l'impression d'être mit de côté, au contraire, il est peut-être un peu trop sollicité ? Alors, il écoute, Alaois, répond aux questions, amène quelques anecdotes sur la table également, rien de trop embarrassant, de trop personnel, mais juste ce qu'il faut pour que la conversation soit fluide, qu'on ait l'impression que ça va dans les deux sens. Et quand les histoires sur les perditions de son cavalier se font, Cat laisse son rire se faire entendre.

" Disons que ça dépend pour quoi, mais ça arrive."

Et puis, une petite démonstration de l'égo un peu sur-dimensionné du musicien est plus que divertissant. Portant son verre d'alcool à ses lèvres, Alaois observe, comme le sorcier se place au-dessus d'eux, venant leur rappeler qu'il leur était supérieur malgré tout. Et il n'oserait l'avouer mais .. ça lui plaisait, de voir quelqu'un aussi fier de ce qu'il avait pu accomplir. Petite scène terminée, l'artiste s'éclipse pour remplir son verre et à peine disparait-il que les questions fusent, comment est-ce que l'aéromancien faisait pour supporter cette énergumène ? Bien sûr, tout est dit sur le ton de la plaisanterie alors Cat n'attaque pas, se contente de faire le mystérieux en haussant les épaules, répondant qu'il avait peut-être un don pour le rendre plus doux qu'un agneau, sans jamais dévoiler que les crêpes au miel était l'une des clés. Les conversations reprennent, les minutes filent, mais Silas n'est toujours pas de retour, c'est bien pour ça que l'aéromancien part à sa recherche, se doutant bien que quelqu'un a dû le retenir pour parler d'on ne sait quoi.

Il le retrouve près du bar et ne peut s'empêcher de sourire doucement quand il croise son regard. Cat vient prendre place à côté de lui, hochant la tête quand le terme "artiste" est prononcé, c'était totalement ça c'était parfait pour résumer la conversation. Et puis, quand on lui propose un remontant, il ne peut qu'accepter parce que c'est vrai qu'il en avait bien besoin. Alaois laisse son prince charmant aller chercher l'alcool sélectionné et puis soudain, la situation semble déraper.

Bien entendu, le bouclé entend tout, de là où il est, la dame avait donc un problème de virilité donc ? Petit regard vers la Femme Chiante Non Identifiée dont le costume est ridicule, sérieusement, on peine à deviner à quelle origines elle fait référence. Mais Cat ne dit rien, quelque chose de si simple, Silas peut gérer et de toute évidence, son adversaire ne lui arrive pas à la cheville. L'aéromancien vient d'ailleurs sourire, quand son crapaud rétorque que l'homme à côté de la FCNI semble lui, apprécier. C'est vrai qu'en y regardant de plus près ... Mais de toute évidence, le pauvre bougre manque de confiance en lui pour tenter une approche et puis avec l'autre qui ne semble pas vouloir le lâcher... Si Cat pensait qu'après tout ceci, l'intrus comprendrait qu'il n'avait plus rien à faire ici, qu'il pourrait rejoindre sa sœur et son ami, une phrase le fait tiquer, " il n'est pas le seul." quelques petits mots seulement pour agacer au plus haut point, mais c'est la suite qui finit totalement de briser le peu de patience qu'il possédait encore.

Mais le coréen est un grand garçon, certes, le retard et lui semblent liés à vie, son sens de l'orientation est pourri, mais il est adulte et ne semble pas du tout intéressé par ce qu'on lui raconte, alors il saura dire les choses, demander à ce qu'on le laisse tranquille. Et l'autre couillon comprendra bien qu'il faut lâcher l'affaire, il a un cerveau après tout ... Et puis, ce n'était pas comme si lui et l'autre sorcier était quelque chose de romantique, il n'est rien, ni personne, pour intervenir, faire celui qui est possessif, alors qu'il n'a qu'une seule envie, c'est de faire voler ce sale type au travers de la pièce.

Silas se défend, contourne le sujet, attaque l'autre personne de la fratrie, mais l'autre insiste, encore, ne semble pas vouloir comprendre quand quelqu'un essaye de le repousser, est-ce qu'un verre balancé à son visage l'aiderait à retrouver un peu de clarté d'esprit ? Quoique, vu la drague lourde qui se joue, la princesse commence de plus en plus à doute d'une possible activité cérébrale dans la tête du forceur.

Du coin de l'œil, le sorcier voit qu'un cap a été franchit, que maintenant, les attaques ne sont plus verbales, mais physique. Tournant franchement la tête cette fois-ci, il constate avec horreur que l'énergumène avait osé poser sa main sur la hanche du coréen, était venu le coller à lui, alors qu'il lui murmurait des saletés à son oreille. Cette fois-ci, il voit rouge, tente de se contenir, Cat ne pouvait pas agir comme si Silas et lui était quelque chose, parce qu'ils ne le sont pas. Pourtant, la colère commence à lui brûler les entrailles, pas contre le pauvre aéromancien, qui peine à se défaire d'un gars visiblement plus con que ses pieds. Derrière barrière franchie, quand l'idiot du village vient attraper la main de son ami, pour venir, semblerait-il, noter son numéro à même sa peau, avec un crayon. Qui se baladait avec un crayon en soirée, sérieusement ?

La mine n'atteindra même pas la peau de Silas, le crayon était violemment arraché des doigts du type, venant s'écraser avec violence au sol, grâce à un coup de magie. Et puis, le bouclé fait son apparition, attrape la taille de son ami pour le ramener vers lui, fermement, avant de l'enlacer de manière possessive. Son menton, lui, vient se poser sur l'épaule du pauvre serveur alors que Cat vient plonger son regard dans celui de l'homme qu'il a maintenant en face de lui. Et tous ceux pouvant le voir verrait à quel point, la colère gronde dans ses yeux clairs.

" Oh non, quel maladroit tu fais... J'espère que tu retrouveras ton stylo rapidement."

Peine perdu, la télékinésie l'a déjà envoyé sous un meuble, peut-être qu'ainsi, il n'y aurait pas d'autres victimes. Et puis, tant qu'on y est... Le verre rempli d'alcool reçoit un coup invisible, venant renverser un peu de son contenu sur la manche de son propriétaire.

" Décidément, ce n'est pas ton soir, tu te sens bien au moins ? "

Il le voit bien, que celui qu'il attaque ouvertement commence à lui aussi, sentir la colère l'envahir, est-ce qu'il serait près à faire une scène au milieu de tous ces gens ? Hors de question, il faut lui couper l'herbe sous le pied, le prendre au dépourvu et c'est bien ce que l'aéromancien compte faire.

" Généralement, quand quelqu'un peine à te répondre, ce n'est pas parce qu'il est sous ton charme, puisque, de toute évidence, tu n'en as aucun. "

Yeux qui le détaillent de la tête aux pieds, non sans faire une petite grimace de dégout.

" De plus, quand on veut sentir bon, on prend une douche, on ne se vide pas une bouteille de parfum bon marché sur tout le corps. "

Petit froncement de nez alors qu'il retourne ancrer dans celui de l'homme, son sourire moqueur du début ayant maintenant totalement disparut. Dans son esprit, il imagine déjà mille et une façon de faire disparaitre ce sale type, parce qu'il n'était pas une bonne personne, au vu de sa façon de faire pour tenter de conquérir de manière aussi vulgaire et avec autant d'insistance quelqu'un. Peut-être que ses pensées se font ressentir, parce qu'il voit bien l'homme reculer d'un pas.

" Tu es qui, toi ?"
" Son type d'homme."

" Alors dégage" était la suite de sa phrase, ce que tout son langage corporel venait lui hurler, tant par son sourire carnassier, que par l'aura menaçante qui l'enveloppait. Aucun mot n'avait été crié, au contraire, la colère que ressentait Cat était froide, tout avait donc été prononcé comme s'il y avait une discussion normale entre les trois hommes.

" Je crois que ta sœur en manque de virilité t'attend, tu ferais mieux d'aller voir ce qu'elle te veux.  "

Et enfin, le cafard s'en va, non sans marmonner quelques mots incompréhensibles. Alaois vient le suivre du regard, jusqu'à ce qu'il soit certain qu'il soit arrivé avec l'autre garce et lorsqu'il arrive à la hauteur des deux autres invités, le tapis vient malencontreusement se prendre dans ses pieds et le maladroit se retrouve alors étalé sur le sol, ayant déchiré la tenue de sa pauvre sœur en voulant se rattraper dans sa chute, cette dernière commençant à piquer une crise.

Dans un rire, Cat se détend enfin, ou presque, venant desserrer quelque peu sa prise sur les hanches de son ami, avant de venir saisir la bouteille qu'il tenait dans une de ses mains, non sans venir frôler sa peau. Alcool enfin en main, le bouclé se décolle du coréen, pour venir enfin, servir son verre d'alcool bien mérité après tout ceci. Et quand il vient appuyer le bas de son dos contre le comptoir derrière eux, le sorcier n'hésite pas à encore une fois à accrocher les hanches de son prince pour le ramener près de lui, regardant non sans un sourire satisfait, le chaos causé par un déguisement déchiré un peu plus loin.


Sílas Carter
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Tuer le temps : c’est presque une histoire de famille à ce rythme; résident en chirurgie thoracique et cardiovasculaire au CHU d’Edimbourg, il ne vit que pour l’euphorie du bloc, du bistouri et de flanquer une bonne raclée à son paternel
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14.02.24 & tenue



TW : alcool

Si la main du musicien, devenue captive entre celles du lourdeau, se crispe légèrement en voyant la mine du stylo arriver au-dessus de sa peau blême, il n’a pas réellement le temps de réagir de manière plus conséquente car, les sourcils légèrement froncés, il s’apprête à formuler un voeu de refus lorsque l’outil à écrire disparaît d’un coup d’un seul, comme emporté par une curieuse rafale l’ayant expulsé de l’autre côté de la pièce. Les sourcils plus durement plissés au-dessus de ses yeux mordorés, qui exprime toute l’incompréhension de son esprit puisque, même s’il admet l’idée comme bienheureuse il n’en est point à l’origine, il suit brièvement la trajectoire du crayon en espaçant ses lèvres de quelques degrés sous la surprise, bien que l’étonnement lié ne l’empêche aucunement de retirer sa main à la vitesse de l’éclair, afin de la mettre à l’abri près de sa jumelle. Raclant discrètement sa gorge après ce moment de flottement douteux, il repose un regard tout à fait indifférent sur son vis-à-vis, quoique sérieusement agacé par son insistance, mais n’a guère le temps de le formuler ainsi : obligé de faire quelques pas en arrière, il sent des bras possessifs qui l’entourent et ne peut que tourner son menton sur le côté pour voir par-dessus son épaule devenu perchoir pour la mâchoire du bouclé, dont il reconnaît aussitôt le parfum qui vient chatouiller ses narines ; cette odeur-là, en revanche, il ne peut plus s’en passer.

« Oh non, quel maladroit tu fais... J'espère que tu retrouveras ton stylo rapidement. » « Pas trop vite non plus, hein. Rien ne presse. » Précise-t-il d’une voix faussement enjouée en ne sachant pas tellement qui regarder, ni qui le surprend le plus ; l’attitude de Cat pourrait aisément passer pour un sauvetage amical mais Sílas sent, dans sa voix et dans ses gestes, une colère froide qui n’est point feinte, calquée sur une jalousie aussi visible que le nez au milieu de la figure. « Décidément, ce n'est pas ton soir, tu te sens bien au moins ? » La nervosité silencieuse crispe le front de l’inconnu, qui se barre d’une veine colérique tandis qu’il ne quitte pas des yeux son adversaire. « Peut-être qu’on peut… » « Généralement, quand quelqu'un peine à te répondre, ce n'est pas parce qu'il est sous ton charme, puisque, de toute évidence, tu n'en as aucun. » …Se calmer. Boh. C’est un peu tard pour essayer d’apaiser les choses, visiblement. « De plus, quand on veut sentir bon, on prend une douche, on ne se vide pas une bouteille de parfum bon marché sur tout le corps. » « Ah d’accord donc moi j’ai pas le droit de le dire qu’il sent mauvais mais toi, oui ? » Puisque c’est la seule chose qui le préoccupe sur l’instant (oui, il a le sens des priorités), il tend légèrement sa nuque sur le côté pour poser un regard attentif sur Cat, l’une de ses mains s’étant instinctivement déposée sur la sienne en entrelaçant vaguement leurs doigts. « J’essayais d’être poli. C’est vraiment pas juste. » N’ayant que faire de la colère de l’étranger, qui a d’ailleurs reculé d’un pas sous le regard noir lancé par le bouclé, il fronce de nouveau ses sourcils en regrettant de ne pas avoir répondu sincèrement tout à l’heure ; on lui a volé sa réplique.

« Tu es qui, toi ? » Il est culotté, celui-là. On pourrait lui poser la même question. « Son type d'homme. » « Tout à fait… Attends, quoi ? » Qu’est-ce qu’il vient de dire ? Qui lui a dit ? Pas lui. Il sait qu’il ne lui a pas dit alors comment il sait ? Et maintenant qu’il sait, et qu’il sait qu’il sait, qu’est-ce qu’il dit ? Tout ce brouillon de pensées pour dire : « J’ai besoin d’une bouteille. » Le stade « verre » étant dépassé, il prend une fine inspiration nasale tout en baissant son regard sur la bouteille qu’il tient de sa main libre, la considérant avec envie. « Je crois que ta sœur en manque de virilité t'attend, tu ferais mieux d'aller voir ce qu'elle te veux. » « Et tu lui dis pour la brosse, hein ! C’est important ! » Si l’inconnu, ayant enfin compris qu’il était hautement indésirable, s’éloigne, le bouclé ne le lâche pas des yeux durant tout son périple, si bien que le coréen fait claquer ses doigts devant son regard en disant, d’une voix qui se veut apaisante : « Il est parti, hein… » Un cri attirant son attention sur le côté, il tourne machinalement son menton en direction du lourdeau qui, en plus de s’être fait envoyer paître, se retrouve au sol dans une malheureuse chute ayant entraîné le déchirement du costume de sa soeur. Si la garce à la soucoupe volante, autrement dit FCNI, s’insurge en poussant des beuglements hargneux contre lui, ameutant le reste de l’assemblée en leur direction, c’est le rire de Cat qui l’oblige à revenir en sa direction, tandis qu’il plisse légèrement ses paupières, à la fois soupçonneux et amusé. « C’est toi ? » Demande-t-il discrètement en plantant ses dents dans le coeur de sa lèvre inférieure pour réprimer un sourire, en le laissant s’enquérir de la bouteille qu’il tient désormais entre ses mains, quand bien même prévoyait-il de la boire. Qu’est-ce qui vient de se passer, au juste ?

Glissant une main sur sa nuque en pivotant sur lui-même pour se tourner vers le comptoir, il n’a même pas le temps de choisir une quelconque liqueur que, déjà, il est ramené auprès du bouclé dont la poigne est toujours aussi possessive ; de profil face à son torse, il le regarde un instant avant de permettre à un sourire suave de prendre place sur ses lèvres car l’étreinte, inattendue, recèle quelque chose de confortable, comme une évidence. Si son patron se délecte de la scène chaotique qu’il a lui-même causée, certains convives s’affairant autour du costume décousu pour tenter de le rafistoler à la hâte, Sílas, lui, apporte sa main jusqu’à celle de Cat, qui soutient un verre qu’il lui dérobe aisément, afin de l’apporter à ses lèvres et en boire une gorgée. Lui rendant le verre aussi vite qu’il lui a volé, il passe la pointe de sa langue sur ses lèvres tout en l’observant quelques secondes. Dans un monde parfait, il aurait gardé sa bouche muette et aurait laissé l'incident passer sous silence pour rendre la chose plus facile pour tous mais, comme il a autant de délicatesse qu’un troupeau d’éléphants, et qu’il ne réfléchit que rarement avant de parler, il ne peut s’empêcher de glisser cette même main jusqu’au menton de Cat, orientant délicatement son visage en sa direction afin qu’il se détache de la garce, pour incliner son propre menton avec cet air délicieusement insolent, qui se compose d’un sourire espiègle et d’un regard pétillant, quoique brillant d’une certaine admiration caressante envers le brun : « Tu es jaloux. » Ce n’est pas une question, mais une affirmation. Il le sait, pas la peine de nier.
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TW : aucun pour le moment

Ce qu'il y avait de bien avec l'autre aéromancien, c'est que bien souvent, il suivait Alaois dans ses bêtises. Que ce soit pour quelques piques envoyées, quelques taquineries, qu'elles soient pour l'un d'entre eux ou même pour une tierce personne, comme ici. Et les interventions de Silas viennent apporter un petit côté comique, permettant d'ailleurs au bouclé de ne pas trop s'enfoncer dans sa colère. Il ne peut d'ailleurs s'empêcher de ricaner un peu en entendant son crapaud faire le choqué, parce qu'il essayait d'être poli et ne comprenait pas pourquoi son patron, lui, pouvait se permettre certaines choses.

" C'est parce que je suis le con qui vient faire foirer son plan, je peux tout me permettre."

L'idiot en face d'eux finit par réagir, trouve quelques mots pathétiques pour demander au nouveau venu qui il était. Il était sérieux ? Cat hausse un sourcil, assez dubitatif, alors qu'il répond du tac au tac, se délectant de l'expression qui traverse son visage, est-ce de la haine ? De la jalousie ? Il se dégonfle ? Ça l'arrangerait, parce que le brun n'est pas certain de pouvoir continuer longtemps en étant aussi gentil dans sa conversation. Heureusement, le fait que le coréen vient confirmer qu'il est son type d'homme, avec tant d'aplomb, très vite rattrapé par une question qu'il semble se poser à lui-même, maintient la stabilité du plus âgé, il parvient tout de même à envoyer une dernière attaque, alors que l'ennemi s'en va, non sans râler. Et en plus, il se permettait ce genre de comportement ? Malgré la voix plus douce qui l'appelle, Cat poursuit du regard celui qui part, venant user d'un dernier tours de passe-passe pour que la honte habite le maladroit, qui finit par se retrouver par terre.

" Pourquoi ça serait moi ?"

Qu'il vient répondre, en offrant un grand sourire empli de fierté à Silas, avant de venir se servir un verre bien mérité. Cat en bois une gorgée avant de continuer d'observer le chaos un peu plus loin, non sans ramener dans un geste possessif son cavalier près de lui, il était hors de question qu'il reparte loin de lui, surtout si c'est pour se retrouver encore une fois emmerdé par quelques personnes sans gêne. Bien que ses yeux soient fixés sur l'armée de petites mains qui tente d'aider la pauvre soucoupe volante, le bouclé ne peut s'empêcher de jeter quelque regard à son employé, surtout quand il vient lui voler son verre. Il finit d'ailleurs par totalement tourner son regard vers lui, alors que ce dernier vient glisser sa main sur son visage pour lui faire détourner la tête de la scène médiocre un peu plus loin.

" Possessif serait plus juste."

Est-ce que ce n'était pas pire, au final ? Penser que quelqu'un lui appartient est peut-être plus toxique encore que de piquer une crise parce que l'être aimé passe du temps avant quelqu'un d'autre... Pourtant, Cat préfère ce mot "possessif" à la jalousie. Parce qu'il n'est pas du genre à envier une relation que deux personnes pourraient avoir ou même le fait que quelqu'un possède quelque chose qu'il n'aurait pas, quoique, pour certaines choses... Oui, possessif c'était mieux, parce que, ce qui est à lui est à lui, qu'il ne laissera rien ni personne lui prendre ce(ux)qu'il aime. Pour autant, il n'est pas non plus dans le contrôle total de la personne, au contraire, il préfère une personne qui sait réfléchir par elle-même, a une certaine indépendance, mais juste que dans ses relations, il a ce besoin de montrer qu'on ne touche pas à certaines personnes.

" Mais ça ne semble pas trop te déranger."

Cat continue ainsi, non sans afficher son petit sourire charmeur. Après tout, Silas était encore là, près de lui, n'avait pas tenté de fuir son étreinte une fois le danger écarté. Pire même, il le regardait avec ce fichu sourire espiègle et ses yeux pétillants et qu'est-ce qu'Alaois le trouvait beau ainsi.


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TW : alcool, mention de drogues

« C’est parce que je suis le con qui vient faire foirer son plan, je peux tout me permettre. » Il ne sait pas qui dicte les règles mais il va falloir qu’ils aient une sacrée discussion ; si les cons peuvent tout se permettre, pourquoi personne ne l’a jamais prévenu ?

Heureusement, les phrases malicieuses glissées dans la conversation semble permettre au bouclé de ne pas s’enfoncer dans la colère sourde qui orne ses traits, et qui apparaît comme inexplicable pour celui qui en est l’objet ; le questionnement volubile tournoie dans son esprit avec affolement, si bien qu’il ne suit leur conversation que d’une oreille un peu distraite, ne pouvant s’empêcher de se demander pourquoi il réagit ainsi, et surtout, avec autant de virulence. Car Cat s’acharne contre le lourdeau, même lorsque celui-ci comprend enfin qu’il est temps de s’éloigner, tombant à la renverse en produisant un affreux désastre à la robe de sa soeur. « Pourquoi ça serait moi ? » La feinte de l’innocence ne parvient pas à convaincre l’accusateur qui, inclinant son menton sur le côté, espace ses lèvres de quelques degrés en secouant mollement son visage sur la négative, sans le quitter des yeux un seul instant. « Le stylo non plus, ce n’est pas toi j’imagine ? » La dérision arme sa voix tandis qu’il détourne enfin le regard pour le porter sur le prétendu maladroit et sur sa soeur, dont on tente vainement de rattacher les lambeaux de costume.

Réitérée, l’étreinte possessive finit d’achever la conclusion limpide qui s’impose dans l’esprit du musicien : la jalousie, bien réelle, n’est désormais plus un moyen de l’extirper d’une mauvaise passe. Sans esquisser le moindre geste pour se défaire de cette poigne conservatrice qui enlace ses hanches, Sílas s’empresse néanmoins de lui dérober son verre pour en boire quelques gorgées, avant de l’obliger à tourner son menton en sa direction pour annoncer, sans détour, sa synthèse, qui n’apparaît guère comme une question mais plutôt comme une affirmation pleine et appuyée. « Possessif serait plus juste. » La nuance lui échappe quelque peu, alors il fronce légèrement ses sourcils en plissant ses paupières, avant de se défaire de ce masque perplexe ; dans les faits, cela ne change pas grand-chose à ce que cela soulève comme autres questions, pourquoi étant en première ligne. « Mais ça ne semble pas trop te déranger. » Tandis que ses yeux effilés glissent sur la toile de son si beau visage, redessinant ses traits, son sourire s’accentue avec malice lorsqu’il déclare, d’une voix trompeuse : « Je n’ai pas encore statué sur la question. J’y réfléchis. » Le mensonge est contredit par le fait qu’il soit presque collé à son corps, et que ses yeux semblent viscéralement accrochés à ceux du bouclé.

Mais puisque tous les convives sont à présent rassemblés, et que le costume de la garce a été rafistolé, une musique assourdissante se fait entendre ; quoique presque tous musiciens, leur choix est largement discutable et il fronce aussitôt ses sourcils en baissant légèrement le menton puisque, définitivement, la pop, ce n’est pas son domaine de prédilection. Que c’est infecte, pour lui. « Viens. » S’éloignant de quelques degrés, il attrape délicatement sa main dans la sienne pour ne pas le perdre lorsqu’ils traversent la foule qui se met à danser, dans le but de rejoindre la terrasse qui donne vue sur le port ; en passant dans le long couloir qui mène à l’extérieur, il aperçoit, à travers l’embrasure d’une porte mal fermée, l’instrument qui a dicté sa vie durant bien des années. Interrompant ses pas, il s’interroge quelques secondes, hésitant intérieurement à franchir symboliquement le seuil de ce salon, avant de finalement pousser le panneau de bois pour le rejoindre, sans avoir quitté la main d’Alaois. Les retrouvailles accélèrent les battements de son coeur durant quelques secondes, et il ne peut s’empêcher de détailler le monstre imposant de touches noires et blanches, comme s’il s’agissait d’une bête sauvage qu’il fallait, de nouveau, apprivoiser. « Tu en as déjà joué ? » Demande-t-il sans le regarder, tant il est captivé par l’instrument ô combien élégant qui trône au centre de la pièce. Comme la réponse est négative, il tourne son menton en sa direction et, en accompagnant ses gestes d’un sourire doucereux, il glisse sa main libre dans le dos du bouclé afin de le rapprocher du banc qui accompagne l’instrument, sur lequel il l’invite à s’asseoir. Lorsque c’est chose faite, le coréen se place derrière lui et glissant ses mains sur les siennes, chacun de ses doigts surpassant les siens, il lui murmure, avec un brin d’amusement dans la voix : « Détends tes mains, il ne mord pas… »


Là encore, après quelques secondes d’hésitation, les mains jointes s’avancent au-dessus du clavier, valsant délicatement au-dessus des touches effleurées, qui font résonner le début d’une douce mélodie ; le piano, caressé par leurs doigts jumelés, chante un air à la fois mélancolique et romantique, durant un peu plus d’une minute, durant laquelle il a l’impression que le reste du monde disparaît. Et c'est peut-être le cas, pour lui, mais s'il retrouve cette incroyable sensation de liberté qui glisse dans ses veines, bien plus grandiose que toutes les drogues qu'il a pu rencontrer, cette liberté a désormais un goût amer : celui de l'échec. Il aurait pu. Il aurait dû. Il en a des prix, chez lui, des distinctions, des articles qui font l'éloge de son talent, mais que reste-t-il, aujourd'hui ?

Retirant ses mains en se redressant rapidement, il fait taire l’émotion qui vient étreindre son coeur tandis qu’il laisse échapper un léger sourire, en murmurant peut-être un peu plus lui-même : « Je ne l’ai jamais finie. » Pourquoi c’est cette composition inachevée qui s’est imposée dans son esprit ? Il l’ignore, mais ne prend pas vraiment le temps d’y réfléchir, puisqu’il baisse rapidement le menton vers son comparse pour lui dire, d’un ton plus réjoui : « Tu en as joué, maintenant. »
Alaois Ó Fearghail
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Tuer le temps : Gérant du "Friday 13th" officiellement, dans les affaires louches officieusement. Non pas que ça le comble dans sa vie, au contraire, il déteste quand il voit la dépendance parler, mais au moins, l'argent est facile. Sale, c'est vrai, mais il peut subvenir à ses besoins et surtout ceux de sa famille depuis bien longtemps grâce à cette source de revenus.
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Barthelemy Aristide Celestine Booth of Dunham Massey, Emperor of trash, raton-laveur excentrique qui n'a pas la langue dans sa poche et aime se mettre dans des situations périlleuses.


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Une fois de plus, l'aéromancien ne répond pas vraiment pour cette histoire de style, se contente de continuer de sourire avec son petit air malicieux, haussant doucement les épaules alors qu'il se sert un peu de boisson, venant bien vite enlacer les hanches que désormais il ne veut plus lâcher, ramenant vers lui, presque contre lui, le sorcier qu'il avait revendiqué comme sien. Offrant un sourire plus doux lorsque ce dernier vient l'obliger à le regard avant d'annoncer ce qu'il pense être une vérité. Mais Alaois vient bien vite rectifier le terme, il était possessif, un point c'était tout et il ne peut s'empêcher de rire un petit peu alors qu'il entend que son collègue n'a pas encore trouve de réponse à cette situation.

" Tu as tout ton temps, ne t'en fais pas."

Seulement, tant qu'il n'aurait pas statué, Alaois le garderait près de lui, éloignant toutes personnes pensant avoir sa chance avec le coréen. Pendant quelques secondes, Cat se perd dans le regard de son cavalier, qu'est-ce qu'il aimait les deux billes sombres où la malice régnait en maître, bien que parfois, il pouvait y voir bien d'autres émotions, facettes qui ne faisant que renforcer son envie de le connaitre encore et toujours plus. Mais bien vite, la musique le rappelle à l'ordre, est-ce que des musiciens aussi doués que les personnes ici présentes écoutait vraiment ce genre de choses ? Si fortes en plus ? Ses sourcils se froncent, c'est que ses oreilles le font souffrir avec le son aussi haut. Mais Silas prend les choses en mains et tout en serrant doucement celle qui tient la sienne, Cat se laisse guider il ne savait où, mais tant qu'il était avec l'autre sorcier, il s'en fichait un peu.

Et au milieu de leur trajet, Silas s'arrête, sans que le plus âgé ne comprenne pourquoi. Pourtant, il ne dit rien, se contente de serrer un peu plus sa main parce qu'il sent bien que quelque chose semble se jouer dans l'esprit de son crapaud charmant. Finalement, les deux hommes entre dans une pièce, où un deuxième piano trône fièrement dans la pièce et soudain, Cat comprend, se souvient que pendant longtemps Silas et le monstre fait d'ivoire et de notes foncées ne faisaient presque un, c'est sans doute ce qui l'a fait hésiter à entrer ici.

" Non, jamais."

Le bouclé se laisse guider vers le banc, détaillant un peu cette nouvelle facette plus vulnérable peut-être, que le sorcier lui offrait. Alaois sait bien, que c'est un privilège qui vient de lui être accordé, alors il se laisse faire, ne peut s'empêcher de frissonner, quand les mains du coréen glisse sur les siennes, même si un sourire étire rapidement ses lèvres quand il entend les murmures de son ami.

" Tu es sûr ? Il essaye de m'intimider, j'en suis certain, regarde cette rangée de dents. À moins que ce ne soit de toi dont je devrais me méfier, peut-être ?"

Petit ricanement malicieux avant que le temps ne se suspende, que la magie opère. Pendant quelques instants, Cat lâche totalement prise, alors que le musicien vient guider ses doigts sur les touches, créant ainsi une douce mélodie, mélancolie qui ne laisse pas, bien évidemment, Alaois indifférent. Et dans cette petite bulle hors du temps, il se laisse aller, ferme les yeux pour mieux écouter, ressentir, ce que la musique voulait lui faire entendre. Ça ne dure en réalité qu'une minute, peut-être un peu plus, mais pour l'enfant des vents, c'est comme s'il avait voyagé dans un autre monde, celui un peu plus doux qui semblait se cacher tout au fond de son cavalier. Et quand la mélodie se termine, avant un gout d'inachevé, le bouclé vient saisir une des mains qui s'enfuit, pour tirer près de lui celui qui semblait en proie à une certaine émotion, même s'il tentait de s'en cacher.

" Tu devrais peut-être tenter de la terminer un jour, c'est vraiment très joli. "

Une fois que l'autre sorcier est assit près de lui, Alaois  laisse ses doigts appuyer sur quelques touches devant lui, c'était joli, le piano, s'ils avaient été un peu plus riche quand il était jeune, il aurait certainement demandé à en faire, au moins pour commencer à apprendre à réellement jouer de la musique.

"Mais merci de m'avoir montré la sensation que ça fait ! Je vais pouvoir le crier sur tous les toits et on me diras que j'ai pris la grosse tête. "

Comme s'il avait besoin de ça pour l'avoir... Mais Cat ne voulait pas laisser Silas dans un sentiment assez étrange et surement inconfortable qu'il devait ressentir après avoir retouché au domaine qu'il avait quitté depuis quelques temps maintenant.

" En tout cas, je préfère largement une mélodie inachevée que la musique qui passe actuellement dans le salon..."

Sílas Carter
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Âge : vingt-neuf ans (29.08)
Tuer le temps : c’est presque une histoire de famille à ce rythme; résident en chirurgie thoracique et cardiovasculaire au CHU d’Edimbourg, il ne vit que pour l’euphorie du bloc, du bistouri et de flanquer une bonne raclée à son paternel
Familier : Icarus est un chat européen qui adore emmerder son monde et qui est plutôt doué à la tâche (comme son sorcier, tout à fait)
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14.02.24 & tenue



TW : alcool, mention de drogues

Si les soupçons ne sont point réfutés, le sourire que porte l’accusé confirme les doutes du coréen : il sait, sans l’avouer à son tour, que son patron est entièrement responsable des derniers évènements. Pourtant, quoique la nature tout à fait excessive de cette réaction pourrait soulever quelques interrogations bien légitimes, il ne s’en offusque guère,  se demandant plutôt ce qui l’a motivé à agir ainsi : la véritable question n’est donc pas de savoir s’il est jaloux, mais plutôt de comprendre pourquoi. « Tu as tout ton temps, ne t'en fais pas. » Il ne s’en fait pas, mais la question reste, quelque part dans son esprit, suspendu à fil qu’il n’ose agiter pour l’instant. Peut-être parce que ce n’est ni le lieu ni le moment, ou parce que la dite réponse, qu’il pourrait aisément deviner, est recouverte par le voile opaque du déni, bien trop confortable pour qu’il veuille le retirer.

Heureusement pour lui et ses pensées ô combien bruyantes, une musique tout aussi assourdissante se met à résonner dans la vaste pièce, propageant une onde festive qui invite les convives à danser ; lui, fronce durement ses sourcils en baissant légèrement le menton, sans toutefois s’éloigner de celui qui le garde jalousement dans son étreinte. Comme le bouclé semble partager sa dépréciation auditive, il se détache délicatement de son étau pour prendre sa main dans la sienne, avec l’idée de rejoindre la terrasse pour fuir ce vacarme ; sur le chemin, ses yeux croisent l’ombre délicate d’un piano imposant et, sans trop savoir comment, il se retrouve à observer la bête de plus près. « Non, jamais. » La réponse fait naître un petit sourire aux lèvres du coréen qui, sous l’étincelle d’une idée, prend soin d’installer son comparse sur le petit banc noir faisant face au clavier, se penchant ensuite au-dessus de lui, ses bras passant au-dessus de ses épaules pour surpasser ses mains, afin de les guider. « Tu es sûr ? Il essaye de m'intimider, j'en suis certain, regarde cette rangée de dents. À moins que ce ne soit de toi dont je devrais me méfier, peut-être ? » Le menton presque posé sur l’épaule du plus âgé, le coréen presse ses lèvres dans un sourire amusé avant de claquer plusieurs fois des dents, pour imiter la menace d’une morsure, avant que leurs mains, confondues, partent à l’assaut du clavier qui se met à chanter, envahissant la pièce d’une douce mélodie, quoique souffrant d’être inachevée.

« Tu devrais peut-être tenter de la terminer un jour, c'est vraiment très joli. » Rattrapé par la main de son patron, Sílas prend place à côté de lui en retenant, quelques secondes, sa main dans la sienne, peut-être rassuré par ce simple contact entre leurs deux corps. « Un jour, peut-être. » Libérant sa main, les siennes retombent de chaque côté de son corps, appuyé sur la bordure du banc, tandis qu’il l’observe apprivoiser quelques touches bicolores, ne pouvant s’empêcher de sourire avec douceur en le regardant faire. « Mais merci de m'avoir montré la sensation que ça fait ! Je vais pouvoir le crier sur tous les toits et on me diras que j'ai pris la grosse tête. »  Quoique de grandioses émotions soulèvent encore son palpitant, la malice, en son esprit ne s’éloigne jamais bien loin ; rehaussant un de ses sourcils, il teinte son sourire d’accents espiègles avant de rétorquer, presque aussitôt : « Parce que c’est pas déjà le cas ? » Relevant ses mains, qui viennent mollement exécuter quelques débuts de symphonies éphémères, il ne peut s’empêcher d’émettre un léger rire que son patron évoque la musique qui bourdonne dans le salon, et qu’ils peuvent encore entendre, même éloignés de celui-ci. « Tu passes des trucs comme ça au bar, aussi, non ? » Après quelques secondes de partage avec le piano, le coréen retire finalement ses mains en se retournant vers le brun, approchant l’une de ses mains pour replacer, délicatement, une boucle sombre derrière son oreille, en lui demandant : « Tu veux qu’on aille dehors ? »
Alaois Ó Fearghail
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En entendant le claquement de mâchoire assez proche de lui, Alaois vient rire doucement, remontant un peu son épaule avant de tenter de la détendre de nouveau, tout comme ses mains, après tout, c'est ce que le professionnel lui avait dit, alors le bouclé allait écouter les consignes, pour une fois. Lâcher prise, n'est jamais vraiment facile, encore moins quand on s'appelle Alaois et qu'on mène une double vie sous le pseudonyme de Cat. Pourtant, ce soir, il y arrive, moins d'une minute, peut-être, mais c'était déjà ça de pris. L'aéromancien ne sait pas réellement si c'est le contexte de la soirée, le fait qu'il sente le parfum de Silas ou même sa présence l'envelopper, il ne sait pas trop, mais n'a pas envie de se torturer l'esprit encore une fois, préfère laisser les choses se faire et surcout la jolie mélodie s'ancrer dans sa tête.

" J'espère que je pourrais l'entendre, si ce jour vient. "

Observant le sorcier près de lui, Alaois finit par vite revenir sur le monstre musical devant eux, laisse ses doigts parcourir ses touches, en totale découverte des notes qu'il n'a jamais réellement pu approcher, il vient pourtant poser ses mains sur son visage, comme pour vérifier si oui ou non, sa tête était plus grosse qu'une pastèque.

" Je n'en ai pas l'impression pourtant."

Ses yeux se reposent ensuite sur le visage du coréen, alors qu'il se laisse aller à quelques airs de musiques. Et même s'il ne peut s'empêcher de sourire un peu bêtement en détaillant ses traits, Cat finit par froncer les sourcils à l'évocation du type de musique qui passe au bar, certains soirs.

" Oui, mais que parce que c'est le thème du quizz... "

Il fait la moue, Alaois, parce qu'il n'aime vraiment pas ce genre de musique, préfère le rock qui passe 99% du temps, mais il se plie aux exigences du public de temps en temps, parce que ça faisait plaisir et continuait de ramener du monde, après tout. Un frisson vient parcourir sa colonne vertébrale, alors qu'une de ses boucles est replacée avec délicatesse derrière son oreille. Cat sait qu'il est définitivement foutu, quand il sent son palpitant s'accélérer doucement et cette douce chaleur l'envelopper, mais encore une fois, il préfère faire celui qui ne comprend pas, qui ignore ses propres sentiments qui ne cessent de grandir à mesure qu'il passe du temps avec le serveur.

" Avec plaisir, sauf si tu veux rester encore un peu avec notre bête pas si sauvage."

Qu'il vient dire dans un petit sourire, tout en désignant d'un mouvement de tête, le fier piano dans cette pièce.


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« J’espère que je pourrais l'entendre, si ce jour vient. » Il a presque envie de répondre que lui aussi, puisqu’en cet instant, il n’est pas vraiment certain que cette composition soit achevée un jour. Il se cajole dans l’idée qu’il n’a plus apposé une seule note sur une partition depuis un temps considérable, et qu’il ne saurait certainement plus comment faire mais, puisque son corps a renouer avec instinct avec l’instrument, de la même façon que s’il s’agissait d’un réflexe tout à fait naturel, comment en serait-il autrement avec son écriture ?

Ses mains, inexorablement attirées par les touches bicolores, pianotent quelques instants, sans véritable projet en tête, juste pour le simple plaisir d’entendre à nouveau ces sonorités qui peuvent être si douces, et si accablantes à la fois. Même lorsqu’il s’épanche en raillerie auprès de son ami, il ne peut s’empêcher de faire valser la pulpe de ses doigts contre le clavier, sans perdre le radieux sourire qui orne ses lippes. « Je n'en ai pas l'impression pourtant. » Poussant ses lèvres en avant dans une petite moue faussement hésitante, qui accompagne ces quelques mots : « Je ne sais pas comment tu fais pour passer encore les portes… » La taquinerie trace un sillage amusé sur ses lèvres, tandis que ses mains entreprennent une mélodie un peu plus longue, qui n’interrompt en rien leur discussion. « Oui, mais que parce que c'est le thème du quizz... » À son tour de faire la moue, dans une expression presque enfantine qui ne peut qu’attendrir le pianiste, qui ne le quitte pas des yeux. Le fameux quizz… Il déteste ces soirées, principalement parce que la musique est tout aussi insupportable que les clients qui hurlent les réponses. Il ne suggère pas l’idée de faire un quizz musical en silence mais, presque. « Tes clients deviennent fous avec ça. » Fous pour ne pas dire cons, mais comme de son point de vue ils le sont tout le temps, cela ne change pas grand-chose.

Cessant de faire chanter le piano qui retrouve son digne silence, il se retourne davantage vers son patron, avançant l’une de ses mains pour replacer l’une de ses boucles derrière son oreille, sans véritablement se rendre compte qu’il le caresse encore du regard. Mais, songeant qu’ils se sont suffisamment attardés face au monstre de musique, il lui propose de poursuivre leur chemin pour rejoindre l’extérieur, en quête d’un peu d’air frais. « Avec plaisir, sauf si tu veux rester encore un peu avec notre bête pas si sauvage. » Considérant la dite bête d’un regard, tout en joignant ses deux mains dans le vide laissé entre ses cuisses, il hoche rapidement son menton de gauche à droite, concluant :  « Je vais le laisser tranquille pour ce soir. » Ou qu’il le laisse tranquille : il ne faut pas précipiter les retrouvailles.

Lui adressant un énième sourire, Silas finit par se lever du banc dans un mouvement souple, envoyant un dernier regard envers le piano avant de sortir de la pièce, aussi discrètement et furtivement qu’il y est entré, il s’assure que sa princesse d’un soir est toujours derrière lui lorsqu’il rejoint l’extérieur. La terrasse, d’une forme ovale et donnant vue sur le port, est bordée par une balustrade en pierres blanches, d’une table agrémentée de chaises assorties, ainsi que d’un fauteuil suspendu, que l’on trouve généralement dans les jardins. Après avoir observé la mer qui, à cette heure de la nuit ressemble davantage à une étendue d’encre noire sublimée par les rayons de la lune, c’est sur le fauteuil suspendu qu’il prend place, laissant ses pieds effleurer le sol dans de petits balancements. « Ça va m’endormir, ce truc… »
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" C'est parce que je marche en crabe, comme les femmes avec des robes immenses dans le temps"

Il ne se vexe pas, Cat, enfin, il ne se vexe plus depuis longtemps et encore moins avec le musicien près de lui. Sauf quand il vient parler de la musique semblable à celle qu'ils entendent au loin, mais là, ça touche le bar, SON bar, son deuxième bébé, le premier étant Bart, alors ce n'était pas la même chose. Alors, oui, il fait la moue, boude presque celui qui vient dire que les clients deviennent fous, avec ce genre de musique.

" Ils ont juste... beaucoup de passion ?"

Alaois se déride un peu tout de même, ne pouvant pas contredire que parfois, c'était vraiment des sauvages pendant ces soirées-là, pire que ses frères et sœurs lorsqu'ils étaient plus jeunes, quoique... c'était déjà toujours un peu le cas, d'une certaine manière. Finalement, le prince charmant lui propose de sortir dehors et à vrai dire, Cat aime bien cette idée, c'est que la musique du salon arrivent encore trop à ses oreilles et sans les mélodies créées par le coréen, il n'était pas sûr que pouvoir continuer comme ça. Alors, il accepte avec plaisir, demandant tout de même, d'une certaine manière si son cavalier ne voulait pas rester encore un peu avec le piano, mais il décide qu'il allait le laisser tranquille pour ce soir. Encore une fois, le sourire du plus jeune en arrache un nouveau sourire au bouclé qui se lève pour le rejoindre, le suivant tranquillement jusqu'à la terrasse. Le calme fait tellement de bien à ses pauvres oreilles et l'aéromancien part s'appuyer sur la balustrade pour observer la mer d'encre qui s'étend devant lui, Alaois vient reporter son regard sur Silas quand celui-ci reprend la parole. Et c'est un nouveau sourire qui étire ses lèvres alors qu'il se rapproche de l'autre sorcier, venant doucement pousser le fauteuil suspendu, le baissant ainsi un peu plus.

" Ce serait dommage que tu t'endormes si tôt, la soirée ne fait que commencer."

Quoique, connaissant les tendances insomniaques de son serveur, ce n'était peut-être pas une si mauvaise idée. Mais s'il s'endormait ici, il risquait d'attraper froid.

" Après, tu as peut-être trouvé la solution à tes problèmes pour t'endormir. On peut toujours essayer d'embarquer celui-là, mais je ne suis pas sûr que ce serait très discret. "

Parce que franchement, deux personnes déguisées en train de transporter un fauteuil suspendu en pleine nuit... Ce n'est pas du tout suspect...

" Après, si tu veux, je pourrais tenter de te porter jusqu'à chez toi si tu t'endors, mais ça sera périlleux vu ma tenue et j'ai un peu peur qu'Icarus me réduise en chair à pâté si je te ramène avec une bosse..."

Ce n'est pas que lui et le chat ne se supportaient pas, mais.... il y avait un truc, une certaine animosité du félin envers lui qui le poussait à rester un peu sur ses gardes, après tout, il faut toujours se méfier d'un félin.


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« Ils ont juste... beaucoup de passion ? » L’excuse édulcorée l’oblige à relever un sourcil avec perplexité, avant qu’il ne cède face à l’amusement que cette réaction lui procure ; Sílas compresse alors ses lèvres dans un sourire mutin, en hochant très brièvement son menton de haut en bas, n’apparaissant pas comme véritablement convaincu mais n’insistant pas davantage non plus, sachant fort bien à quel point l’établissement est important pour son propriétaire. Mais sa formation somme toute classique, baignée d’un certain snobisme affirmé, l’empêche de pleinement allouer un quelconque intérêt à ces soirées grossièrement festives : il n’a que trop côtoyer les plus grands palaces de ce monde, été applaudi sur les plus prestigieuses scènes des capitales, pour leur reconnaître une quelconque valeur.

Délaissant finalement le piano, non sans lui adresser un dernier regard qui s’étale sur quelques trop longues secondes, Sílas prend le chemin menant à la terrasse en sentant que son coeur subit quelques soubresauts, ayant même du mal à réaliser ce qu’il vient de se passer. Tenu loin de l’instrument, il avait fini par penser qu’il ne saurait même plus en jouer mais… Visiblement, cela lui est autant naturel que respirer.

Une fois à l’extérieur, il glisse machinalement l’une de ses mains dans ses cheveux pour les repousser en arrière, profitant simplement de l’air frais qui vient s’engouffrer entre ses mèches, venant effleurer sa peau tiède pour apaiser le feu de ses pensées bousculées. Mais si la vue est certes imprenable, c’est finalement sur le grand fauteuil suspendu qu’il jette son dévolu, s’y laissant tomber en soupirant. Un pied flottant dans le vide et l’autre effleurant le sol, il se laisse délicatement bercer par les ondulations du fauteuil, en fermant les yeux quelques secondes… C’est décidé : il veut le même dans son salon. « Ce serait dommage que tu t'endormes si tôt, la soirée ne fait que commencer. » Ouvrant un oeil pour l’observer, il pousse ses lèvres en avant dans une petite moue enfantine, ses deux mains mollement posées sur son torse. « Tu veux aller danser, peut-être ? » Ses lèvres closent se pincent d’un sourire joueur, sans qu’il n’esquisse le moindre mouvement puisque, Cat a la bonté d’âme de pousser délicatement le fauteuil pour le bercer. « Après, tu as peut-être trouvé la solution à tes problèmes pour t'endormir. On peut toujours essayer d'embarquer celui-là, mais je ne suis pas sûr que ce serait très discret. » Et pourquoi pas ? Semblant hésitant durant quelques secondes, il se perche finalement sur ses coudes pour observer la structure du fauteuil qui, il faut bien le reconnaître, irait parfaitement dans la décoration de son appartement. « On peut attendre qu’ils soient tous bourrés : ils ne verront rien. » Ne vous inquiétez pas, il plaisante. Ou pas.

« Après, si tu veux, je pourrais tenter de te porter jusqu'à chez toi si tu t'endors, mais ça sera périlleux vu ma tenue et j'ai un peu peur qu'Icarus me réduise en chair à pâté si je te ramène avec une bosse... » Posant un regard étonné sur Cat, il hausse ses sourcils d’un air surpris avant de hocher son menton de gauche à droite, marmonnant :  « N’importe quoi. Il est… adorable. » Pas la peine de préciser pourquoi sa voix s’est faite hésitante sur la fin de sa phrase, lui-même n’étant absolument pas certain de ce qu’il avance. Ce qu’il avance avec certitude, en revanche, c’est sa main gauche qui vient attraper le bras de Cat afin de l’attirer contre lui, le faisant ainsi tomber contre son flanc afin d’entourer sa nuque de son bras libre. « Il n’est pas méchant, il… Il a son petit caractère. Un peu comme moi. » Le bout de ses doigts effleurant distraitement la peau lisse et douce de sa gorge, il bascule son menton sur le côté afin de lui adresser un sourire mutin, lorsqu’il lui murmure avec espièglerie : « En fait, Bart et toi avez la même robe, nous on a le même caractère… » Fronçant son petit nez, qui frôle presque celui de Cat, il redresse finalement son menton pour admirer la voûte céleste, qui s’est parée de ses plus beaux bijoux étincelants, sans cesser de caresser le cou de son ami. « Je me demande qui est le plus chanceux. » L’humour pour distraire son esprit et ainsi ne pas réfléchir à ce qu’il est en train de faire, ni ce qu’il est en train de ressentir.
Alaois Ó Fearghail
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Tuer le temps : Gérant du "Friday 13th" officiellement, dans les affaires louches officieusement. Non pas que ça le comble dans sa vie, au contraire, il déteste quand il voit la dépendance parler, mais au moins, l'argent est facile. Sale, c'est vrai, mais il peut subvenir à ses besoins et surtout ceux de sa famille depuis bien longtemps grâce à cette source de revenus.
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Barthelemy Aristide Celestine Booth of Dunham Massey, Emperor of trash, raton-laveur excentrique qui n'a pas la langue dans sa poche et aime se mettre dans des situations périlleuses.


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Alaois ne peut s'empêcher de faire une petite grimace quand l'aéromancien lui demande s'il veut aller danser. Danser sur ce genre de musique ? Très peu pour lui, il l'avait surement déjà bien trop fait dans sa jeunesse pour y retourner maintenant. Non, il préférait largement rester ici, dehors, avec Silas, au moins, ils étaient au calme et surtout, il était certain que personne ne tenterait de s'approcher trop près du coréen. Cat vient donc bercer un peu le plus jeune, l'observant se redresser pour mieux regarder le fauteuil géant, comme s'il semblait réellement réfléchir à la possibilité de réellement embarqué la structure sur laquelle il est et en entendant son plan infaillible, le brun vient rire, imaginant déjà la scène.

" Et puis, avec notre télékinésie, ça serait peut-être encore plus simple ? À condition que nous ne soyons pas dans le même état..."

Il continue ensuite la conversation sur le familier du serveur, qui semblait osciller entre les moments où il l'appréciait et les moments où c'était plus compliqué, sans qu'Alaois ne puisse réellement pourquoi, bien qu'il se doutait un minimum que cela avait à voir avec ce qu'il se passait entre les deux sorciers, même si ni l'un ni l'autre ne voulait réellement sortir du déni. Et lorsqu'il sent une main l'attraper, il se laisse totalement faire, ayant bien compris ce qui allait se passer, pourtant, son cœur loupe bien des battements lorsqu'il se rend compte de la proximité qu'il avait avec son ami, bien qu'il finisse par juste s'accélérer, comme s'il voulait rattraper son retard. C'était toujours comme ça, quand ils étaient si proches, Cat avait toujours cette impression d'avoir couru un marathon vu comment ça tambourinait dans sa cage thoracique. Mais bizarrement, ça ne le gêne jamais, d'être contre Silas.

" C'est vrai que vous faites la paire... Après, je sais qu'il est juste très protecteur avec toi, je trouve ça mignon."

Un frisson lui parcourt la colonne vertébrale alors qu'il sent de légère caresse se faire dans son cou, lui qui avait réussi à presque retrouver une allure cardiaque normale, c'était raté, encore plus lorsqu'Alaois s'aperçoit que leurs visages sont drôlement proches et que les rayons de la lune mettait encore plus en lumière la beauté de l'autre sorcier. S'il l'avait voulu, il n'aurait eu qu'à avancer de quelques millimètres pour gouter à ses lèvres qui lui faisaient tant envie sur le moment, en toute amitié, bien entendu, c'était l'alcool qui le rendait comme ça, amoureux ou presque du coréen. Mais l'humour vient encre les sauver et encore une fois, le bouclé laisse échapper un rire, alors qu'il vient se blottir un peu plus contre Silas, venant passer son bras libre autour de son torse, c'était pour lui tenir chaud à cause du froid de février ça, bien évidemment.

" Je ne sais pas vraiment, je pense qu'on est chanceux tous les deux. "

Au fond, le brun se sent plus chanceux que son cavalier d'un soir, après tout, il avait pu l'observer sous la lueur des étoiles, un spectacle plus que saisissant qu'il espérait garder longtemps dans sa mémoire.

" On a des familiers incroyables, après tout, parfois un peu étranges, mais ils sont chouettes tout de même. "


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Tuer le temps : c’est presque une histoire de famille à ce rythme; résident en chirurgie thoracique et cardiovasculaire au CHU d’Edimbourg, il ne vit que pour l’euphorie du bloc, du bistouri et de flanquer une bonne raclée à son paternel
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Si le projet de cambriolage le fait dûment sourire avec malice, Sílas ne peut s’empêcher de froncer son nez droit en remuant légèrement ses lèvres l’une contre l’autre, comme s’il cherchait le meilleur moyen d’organiser les mots qui se pressent à la fenêtre de son esprit pour se faire entendre : dans le pire des cas il se vend comme un alcoolique notoire — ce qui n’est pas tout à fait faux, certes, et au mieux, il se vante comme un adolescent qui tente de frimer devant ses copains. Entre les deux, il a fait son choix. « Je tiens bien l’alcool, moi. » Non pas qu’il insinue le contraire concernant Cat, mais il connaît suffisamment les musiciens qui se balancent sur la piste de danse pour savoir qu’ils seront enveloppés dans les malaises et les nausées d’ici quelques heures.

Lui, c’est plutôt le Sorcier qui se tient debout devant le fauteuil qu’il souhaite envelopper, alors, sans trop contrôler cette main audacieuse qui part à la capture du poignet de Cat, il le fait délicatement basculer en avant pour qu’il puisse le rejoindre, amortissant la chute avec son propre corps. Le rapprochement physique, implicite, qui n’a pas besoin d’être formulé ou expliqué, lui octroie des courants électriques dans le coeur, sans qu’il ne sache réellement à quoi raccorder les doucereux éclairs qui tonnent dans son palpitant ; peut-être n’a-t-il pas vraiment envie de savoir d’où provient la (le coup de) foudre. « C’est vrai que vous faites la paire... Après, je sais qu'il est juste très protecteur avec toi, je trouve ça mignon. » Ayant entouré sa nuque de son bras libre, le coréen laisse le bout de ses doigts vagabonder sur ce grain de peau si particulier, qui roule contre son épiderme comme la plus belle des partitions de musique. « C’est vrai… Mais il t’aime bien, dans le fond. Il ne veut juste pas l’avouer. » Il n’est pas le seul, peut-être. De leur hauteur, les étoiles sont les témoins muets du regard bien trop longs qu’ils partagent ; difficile de dire ce qui se cache derrière leurs yeux plongés l’un dans l’autre, s’effleurant peut-être, se cherchant assurément… Sans être encore prêt à se frôler véritablement. Détournant le regard et le menton en premier, il fronce légèrement ses sourcils en sentant les sursauts de son coeur dans sa cage thoracique, qui lui hurle des mots qu’il ne veut pas entendre ; et pourquoi le ferait-il ? Il n’a sûrement rien d’intéressant à dire, ce coeur qu’on pense atrophié et aride, recouvert de trente couches de poussières.

Les yeux rivés auprès des lucioles argentées qui parsèment le ciel, il sent le bras de Cat qui traverse son torse lorsque ce dernier vient davantage se blottir contre lui, l’obligeant presque à en faire de même, sans qu’il ne s’en rende compte. « Je ne sais pas vraiment, je pense qu'on est chanceux tous les deux. » Il presse ses lèvres dans un maigre sourire, avant de venir torturer le coin de sa lippe inférieure : il sait, lui, qu’il est le plus chanceux. Et ce n’est pas pour son familier. « On a des familiers incroyables, après tout, parfois un peu étranges, mais ils sont chouettes tout de même. » « Je ne vois pas ce qu’il y a d’étrange chez Bart… » Ce qu’il y a d’étrange, en revanche, c’est l’électricité qui commence à annexer son coeur ; c’est une sensation curieuse, comme une nuée de picotements qui remontent à la surface par des frissons qui dégringolent le long de sa nuque, l’obligeant à tourner instinctivement les yeux vers la raison de ce trouble provoqué. Le picotement pourrait bien se transformer en dénotation nucléaire lorsqu’il bascule paresseusement sur le côté, sans s’éloigner de Cat mais plutôt pour lui faire face de profil, et se met en parler sans que le gardien de ses mots ne puisse retenir ceux qui s’échappent. « Je suis content que tu sois là, avec moi… » Il ne sait pas qui a libéré les papillons dans son ventre mais ils sont en train de tout démolir sur leur passage ; est-ce que ce ne serait pas le moment de mettre son coeur à l’abri ? « Pas que ce soir, je veux dire. Je parle pour tous les autres soirs. » Trop tard, son coeur a débordé de ses lèvres, et même de ses yeux. Quelqu’un pour ramasser les morceaux ? « Je me suis trop habitué à ta présence, je crois, parce que quand tu n’es pas là, tu… » me manques. C’est implicite, et il allait le dire : il l’aurait dit si quelqu’un n’avait pas poussé la porte de la terrasse pour faire irruption (heureusement ou malheureusement) au milieu des aveux prononcés. « Ah ! Vous êtes là, on vous cherche. » Ça tombe bien, lui aussi se cherche. Les sourcils légèrement froncés, il s’est redressé depuis quelques secondes déjà, et fait face à son ami qui, verre en main, les regarde avec un drôle d’air ; ne semblant pas réellement comprendre qu’il a interrompu quelque chose, il se met à leur parler de son nouveau rôle au sein de l’orchestre.

Sílas, ayant correctement replacé son coeur vagabond dans le coffre sous sa peau — coffre scellé à double tour, fait mine de l’écouter attentivement, relevant même l’un de ses sourcils pour feindre l’intérêt face au discours insipide de son ami. Après quelques secondes, puisque le dit ami les invite à le suivre, le coréen se lève le premier en hochant son menton de haut en bas, pressé de rejoindre la foule même si, rien qu’avec la porte entrouverte, il entend l’infâme musique qui résonne.
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Encore une fois, Alaois ne peut s'empêcher de pouffer, quand son collègue vient dire que lui, tiens bien l'alcool, les musiciens présents dans l'appartement étaient vraiment si peu résistants à la boisson ? Si c'était réellement le cas, alors leur plan de cambriolage était encore plus simple. Il fallait juste attendre le bon moment, celui ou les autres seraient tous en léthargie, affalé ici et là parce que bien trop malade pour rentrer chez eux ou tenter de se trouver un endroit confortable pour dormir. Mais Cat n'a pas le temps d'y penser plus, voilà qu'on le saisit, qu'on le fait tomber et bien vite, le voilà allongé sur ce fauteuil suspendu, contre Silas. Il manque un peu, le sorcier, ne s'est pas bien quoi dire ou faire, tant le contact l'électrise et lui fait ressentir des choses qu'il n'aurait jamais pensé ressentir à nouveau, mais c'est tout de même bien agréable, d'être ainsi allongé si proche de Silas. Pour autant, il vient continuer la conversation comme si de rien n'était, bien qu'il ne peut dévier son regard des traits du visage de l'homme dont il s'était attaché en très peu de temps.

" Au moins, c'est réciproque."

Qu'est-ce qui est réellement réciproque dans la situation ? Le fait que lui aussi, appréciait le félin ou bien qu'il n'osait s'avouer une certaine affection pour l'aéromancien ? Au diable les pensées parasites, il préfère profiter du moment, vient se blottir un peu plus contre lui alors qu'il frissonne à chaque fois que la peau de son cou est touchée. C'était étrange comme sensation, certes, mais pas désagréable. Il avait juste l'impression que petit à petit, son palpitant totalement desséché commençait à retrouver un peu d'eau pour l'aider à se réveiller.

"Non c'est vrai que Bart est un peu trop normal même, c'est ça qui est inquiétant."

Dans un nouveau rire, Cat semble peu à peu oublier ce qu'il s'est passé, s'habituer aux papouilles que sa nuque reçoit, mais à peine son cœur se trouve-t-il calmé qu'il repart de plus belle, quand le serveur vient basculer en face de lui, les voilà plutôt proches maintenant, enfin ils l'étaient déjà avant, mais pas autant... Et sa main qui était venue entourer de torse du coréen était maintenant posée dessus, ayant suivi le mouvement, sans trop savoir où se placer pendant le basculement de Silas.

" Moi aussi, je suis content que tu sois là..."

Les mots sont doucement murmuré, presque tendrement même, alors que le bouclé tente de garder son regard ancré dans celui de son cavalier. À chaque mot qu'il entend, les battements se font de plus en plus rapides, puissants, contre sa cage thoracique, c'était à la fois douloureux et grisant, est-ce qu'il était vraiment en train de se passer ce à quoi il pensait ? La main posée sur son torse commence à remonter vers sa joue, venant frôler sa peau jusqu'à s'y déposer, Cat ne sait pas trop, se laisse plutôt guidé par son cœur que par sa raison mais peut-être que...

La porte s'ouvre alors, venant faire éclater la bulle qui s'est formée autour du duo. Silas se rassoit bien vite, écoute l'intrus qui lui parle de choses bien futiles alors qu'Alaois, lui, reste encore un peu allongé, observant le ciel en essayant de contenir le mélange d'émotion qui, encore une fois, lui fait se poser un millier de questions. Finalement, ils sont convier à revenir à l'intérieur et Cat se demande pourquoi ils n'avaient pas bu un peu plus, ainsi peut-être qu'ils auraient pu être tranquille ? Avec cette musique toujours, ça rend encore plus grognon la princesse d'un soir.

" Je préviens, il va falloir changer cette musique, parce que bon... j'ai les oreilles sensibles..."


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« Moi aussi, je suis content que tu sois là… » Les mots viennent ricocher sur les siens comme pour l’encourager à poursuivre, mais la main qui s’avance jusqu’à sa joue, l’effleurant de mille caresses aériennes, aussi électrisantes qu’une pluie d’étoiles filantes traversant un ciel noir, interrompt les mouvements de ses lippes qui s’immobilisent, comme si ce simple contact avait provoqué un terrible court-circuit dans son coeur, qui se retrouve aveuglé par une lumière qui, jusqu’ici, n’avait jamais réussi à percer son obscurité. Elle irradie, cette lumière qui sème de la poussière d’étoiles, mais le gardien du palpitant n’est pas encore prêt à la laisser envahir tout l’espace. Parce que cette lumière, elle répand un sacré bordel dans le corps du maniaque : déjà, sous l’observation minutieuse du visage de Cat, son cerveau surchauffe, si bien que le mécanisme de ses pensées s’enraye jusqu’à ce qu’elles soient toutes consumées, et son buste s’embrase sous les battements de son coeur qui s’agitent, se répercutant jusqu’à ses oreilles pour occulter le reste du monde, l’horloge qui tourne, les cris, les chants, les autres…

Perdu dans l’océan de ce regard qu’il ne cesse d’arpenter comme un voyageur amoureux du paysage, il semble être happé par la main de la retenue lorsque la porte de la terrasse s’ouvre, laissant entrevoir un troisième corps qui se mêle à cet échange pourtant secret, que seules les astres devaient entendre. Comme les étoiles qui s’estompent lorsque l’aube pointe le bout de son nez, comme les vagues qui viennent en écho s’échouer sur le sable doré, Sílas tente de dissiper les murmures sentimentaux qui s’éparpillent dans son ventre, dans son torse et dans sa tête, afin de libérer sa gorge entravée.

Il est le premier à se redresser pour faire face à leur visiteur, autour duquel la conversation s’éternise sans qu’il ne parvienne réellement à se concentrer sur celle-ci, tant le trouble semé dans ses pensées et dans son coeur l’oblige à venir triturer nerveusement le tissu de son costume, la nuque tendue. Enfin, proposition est faite de délaisser la terrasse pour rejoindre l’intérieur : il ne perd pas de temps avant de se lever du fauteuil, emboitant le pas du musicien quelque peu éméché en venant frotter l’arrière de son propre crâne, comme s’il essayait de chasser quelques idées bien curieuses. « Je préviens, il va falloir changer cette musique, parce que bon... j'ai les oreilles sensibles... » Si, pour une fois, sa répartie semble perdue quelque part entre sa conscience et ses rêveries, c’est le troisième homme de leur compagnie qui lui répond, en se retournant un peu trop vite vers lui, si bien qu’il tangue et que le coréen est enjoint de le retenir par le poignet pour lui éviter la chute. « C’est moi qui choisis la playlist ! Je suis content que ça te plaise ! » Il a rien compris : cela fait froncer les sourcils de son sauveur, mais pas suffisamment pour qu’il veuille le corriger. « Faudrait peut-être ralentir l’alcool… » Oui, c’est lui — lui et sa relation amoureuse avec l’alcool, qui dit ça : non pas qu’il essaye de s’arranger parce que ça ne l’arrange pas, et que cela ne va pas en s’arrangeant, ce qui l’arrange par contre. « Allez donne-moi ça… » Il lui prend son verre des mains, sans que l’homme ivre n’y oppose la moindre résistance puisque de toute façon cela ne semble pas être dans ses compétences actuelles — et cela aussi, ça l’arrange. « …Tu vas carburer au soda, maintenant. » « Il est chiant ton mec. » Là, c’est à Cat qu’il parle ; du moins, il regarde en sa direction quand il le dit, ce qui oblige Sílas à le considérer d’un oeil mauvais, les lèvres légèrement espacées et les paupières un tantinet plissées. « Je ne suis ni l’un ni l’autre. Avance. » « Vous êtes pas ensemble ?! Ça se voit, hein… » Le coréen se dit qu'il aurait dû le laisser tomber, finalement. Avec un peu de chance, il aurait tapé la tête.
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Mais peut-être que c'était une bonne chose, au final, de se faire interrompre de la forte. Peut-être que c'était nécessaire, après tout est-ce que ce n'était pas une erreur, de se laisser à de tels sentiments pour un autre ? Cat n'était pas le gars le plus net sur terre, embourbé dans des affaires plus sombres que la mer d'encre dans son dos, alors y mêler Silas sans qu'il ne sache ce qu'il encourait à rester si proche de lui, ce n'était définitivement pas une bonne chose. Et pourtant, Alaois ne peut s'empêcher de maudire l'homme qui est venu les interrompre, de se maudire, d'avoir cette envie voire même ce besoin vital d'avoir Silas près de lui, de se laisser sentir et ressentir ce qui semblait se créer entre eux. Parfois, le sorcier aimerait juste se laisser aller à un peu de normalité, ne plus penser au fait que chaque fait et geste pouvait tout faire basculer, qu'une simple erreur pouvait avoir de lourdes conséquences.

En parlant de basculement, l'aéromancien observe celui qui semble avoir trop bu, se demande s'il a vraiment bu autant en si peu de temps quand il manque de tomber et surtout qu'il comprend l'inverse de ce qu'il lui disait. Mais il ne dit rien de plus, laisse Silas s'en charger, après tout, c'était son ami à lui, pas le sien. Le bouclé hausse tout de même un sourcil quand il comprend qu'on lui parle, pourquoi est-ce que l'ivrogne vient parler de petit ami ? Et puis la réponse du serveur étire ses lèvres dans un sourire un peu amer, il vient de revenir sur terre plus vite qu'une météorite. C'est vrai, ils n'étaient rien alors pourquoi est-ce qu'il avait tous ces comportements envers le coréen ? C'était totalement idiot. Et puis, il ne pouvait pas se lier à quelqu'un parce qu'il ne serait jamais en sécurité.

" C'est vrai, ni l'un, ni l'autre" Pour le moment "Tu as sacrément bu... je ne connais pas ton nom, mais le soda semble mieux pour toi, l'eau serait encore mieux..."

Qu'il vient dire avant de se pencher un peu vers Silas, pour venir chuchoter quelques mots.

" Mais le conservatoire c'est comme un monastère ou quoi ? Je veux dire... il a pris quoi, deux verres, trois peut-être et il est déjà dans cet état ? "

Et quand on y pensait, c'était assez drôle de voir à quel point tout semblait différencier le plus jeune de son groupe d'amis, tant par son métier, ses prestiges passés ou encore cette tolérance assez impressionnante face aux cocktails.  


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« C'est vrai, ni l'un, ni l'autre. » La formule de Cat est un écho tout à fait semblable à celle qu’il vient d’émettre, et pourtant elle ne résonne point de la même façon à ses oreilles. Tournant encore le dos à son patron, puisqu’étant passé devant lui dans le couloir, le coréen fronce légèrement ses sourcils en baissant ses longs cils noirs vers le sol, sans réellement comprendre pourquoi il se retrouve irrité d’une réalité qu’il a lui-même annoncé. Peut-être parce qu’il vient d’entendre des mots que sa raison redoute, mais que son coeur espère ? Il a l’impression qu’un boomerang, fabriqué de ses mains, lui est revenu en plein coeur, et que la pointe a frappé un coin emplit de sentiments qu’il se plaît à ignorer mais, quoiqu’il s’efforce de se construire un destin réglé comme du papier à musique, il semblerait que son palpitant se mette à jouer sa propre partition désormais. « Tu as sacrément bu... je ne connais pas ton nom, mais le soda semble mieux pour toi, l'eau serait encore mieux... » Le conseil est balayé d’un geste de la main plus ou moins bancal de la part de l’homme qui l’est tout autant, et que Sílas considère avec une étonnante froideur. « L’eau, c’est pour qu’il la boive ou le noyer dedans ? »

Tandis qu’il avance l’une de ses mains pour tenir son ami qui continue de marcher en se cognant un peu contre le mur, il hausse ses épaules avec amusement en entendant les paroles du bouclé, ses lèvres se pressant de la même conduite dans un élan rieur. « Mais le conservatoire c'est comme un monastère ou quoi ? Je veux dire... il a pris quoi, deux verres, trois peut-être et il est déjà dans cet état ? » Cette question est la manifestation même que Cat ne s’est jamais engagé dans des études supérieures ou, du moins, qu’il n’a pas perduré en cette voie ; le constat n’est pas rédigé avec mépris dans son esprit, mais il ne peut s’empêcher de tourner son menton en sa direction pour le regarder avec une certaine malice, qui a au moins le mérite d’avoir effacé les lueurs de froideur qui avaient traversé sa figure. « Il y a deux manières de faire face à la pression de tes études… » Commence-t-il à dire d’une voix apaisée, en se remettant dans le sens de la marche.  : « …L’alcool devient ta meilleure amie pour la faire disparaître, ou tu trouves le courage de l’affronter sans. Comme tu peux le constater, Simon est très courageux. » Sauf quand il y a une araignée dans les parages. Le dénommé, ayant entendu son prénom, se retourne avec un grand sourire éloquent, bien que le reste ne suive pas. « C’est qui Simon ? » Simon se trouvant affublé d’une tape à l’arrière du crâne de la part du pianiste, ce dernier fait bien vite de le pousser dans la pièce principale lorsqu’ils rejoignent enfin celle-ci, et que la musique disco-pop vient étourdir leurs oreilles.

Ses sourcils se plissant avec chagrin au-dessus de ses yeux effilés, il se fraye un chemin à travers la foule en prenant soin de contourner la piste de danse, sans oser reprendre la main de son cavalier cette fois. « Tu veux… » Il s’apprête à lui demander s’il veut boire quelque chose mais, puisque Cat ne se trouve plus derrière lui, Sílas garde ses lèvres entrouvertes sur le fil suspendu de cette phrase, ses yeux traversant la pièce en diagonale pour se rendre compte que son ami a été happé par une main sournoise, l’ayant entraîné sur la piste de danse. Bien heureux de ne pas avoir été victime, le coréen grimace avec un certain amusement sans s’avancer pour le sauver ; un verre dans la main gauche, il appuie son dos contre le mur en l’observant quelques secondes être piégé par ses amis qui, visiblement, sont un peu devenus les siens, ce soir. « Il est mignon. » Arquant l’un de ses sourcils, il tourne son menton vers Ewan qui, venu accoler son épaule à côté de la sienne, le toise avec un air bien trop finaud pour ne pas l’agacer. « Si tu le dis. » « Ça ne t’avait pas frappé avant que je le dise, c’est ça ? » C’est lui qu’il va frapper s’il continue de parler. « Faut croire que non. C’est un ami. » Pourquoi est-ce que les battements de son coeur se sont accélérés ? Il est vraiment nul, ce coeur, il pourrait être un peu de son côté pour une fois. « Ah oui, d’accord, un ami… Un ami. Tu veux mes lunettes ? Parce que t’as pas l’air d’y voir clair, là. » Joignant le geste à la parole, Ewan attrape la branche de ses lunettes d’une main, afin de l’ôter de ses oreilles et de lui tendre. Un grognement agacé vient lui répondre tandis que le coréen repousse la main moqueuse de la sienne, en apportant son verre à ses lèvres de l’autre. Le verre vide finissant dans la paume du roux, Sílas passe la pointe de sa langue sur ses lèvres en l’abandonnant pour rejoindre, non sans une certaine  appréhension, la piste de danse.

Passant derrière Cat d’une démarche gracile, sa silhouette se confondant bien heureusement avec les ombres dansantes des néons, il attrape délicatement sa main pour l’arracher à la foule compacte qui se déhanche afin de le ramener contre lui dans un mouvement souple, en espérant qu’il puisse reconnaître, dans la pénombre, son parfum ou même sa carrure. « C’est moi… » Précise-t-il d’une voix espiègle, puisque l’éventualité de se recevoir une gifle ne l’attire bizarrement pas. S’apprêtant à le conduire en-dehors de la piste de danse, leur chemin de fuite se retrouve rapidement entravés par des corps qui s’enlacent sitôt que la musique s’adoucit, sur des notes de soft rock et de ballad (♪♫), qui est d’une bien meilleure sonorité que les chansons précédentes. Prenant une fine inspiration, il pose un regard d’abord hésitant sur son comparse, avant de relever leurs mains liées pour l’obliger à tourner sur lui-même, faisant virevolter les pans de sa longue robe qui volètent sous ses mouvements, sans perdre son sourire amusé. « Bart n’était pas trop jaloux de ta robe ? » Demande-t-il en le ramenant contre lui, son corps se balançant instinctivement sous le rythme de la musique en imitant les duos autour d’eux, sans que ses yeux, eux, ne voient rien d’autre que le doux visage de son bouclé.
Alaois Ó Fearghail
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Tuer le temps : Gérant du "Friday 13th" officiellement, dans les affaires louches officieusement. Non pas que ça le comble dans sa vie, au contraire, il déteste quand il voit la dépendance parler, mais au moins, l'argent est facile. Sale, c'est vrai, mais il peut subvenir à ses besoins et surtout ceux de sa famille depuis bien longtemps grâce à cette source de revenus.
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Barthelemy Aristide Celestine Booth of Dunham Massey, Emperor of trash, raton-laveur excentrique qui n'a pas la langue dans sa poche et aime se mettre dans des situations périlleuses.


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" Ça dépend, plutôt eau plate ou salée ?"

Non parce que sinon, ils peuvent très bien retourner sur la terrasse et l'aider à faire un grand plongeon avec un peu de magie mais bon, est-ce que Sílas voulait vraiment perdre un ami de la sorte ? Aussi énervant soit-il ? Pas sûr. Alaois continue de suivre les deux hommes, se demandant si vraiment, les études dans un conservatoire était digne d'un monastère, à ne pas avoir touché à l'alcool pour être dans cet état après quelques verres à peine. Et il est très heureux de retrouver l'air plus malicieux du coréen quand il se retourne vers lui, pour lui expliquer les différentes manières de faire face à la pression des études. C'est vrai que pendant sa seule année complète de chimie, Cat avait bien vu de nombreux étudiants partir en soirée et revenir le matin complètement éméchés, mais lui avait toujours su bien gérer les pressions diverses et variées avec sa vie personnelle et le boulot qu'il faisait à l'abri des regards, alors une pression des études... non, il n'avait pas vraiment connu ça.

" Tu oublies ceux qui ne la ressentent tout simplement pas, cette pression."

Il vient étouffer un petit rire en voyant le dit Simon se prendre une petite tape, de quoi lui remettre les idées en place alors qu'il semble avoir une perte de mémoire sur sa propre personne. Mais le sourire est de courte durée, quand il entend la musique devenir de nouveau agresser ses oreilles, vraiment, ce n'était pas son style, encore moins aussi fort. Suivant le serveur dans la foule, Cat se dit qu'il aurait bien besoin de quelque chose à boire, pour tenter d'oublier non pas la pression, mais la musique qui passe actuellement, mais avant d'avoir pu atteindre le graal, il sent une main l'agripper et l'attirer sur la piste de danse, il n'a même pas le temps de prévenir son cavalier qu'il se fait kidnapper. Et puis, il se retrouve au milieu de tous, qui semblent réellement l'apprécier après si peu de temps passer avec lui. Et c'était bien étrange, dans l'esprit du bouclé.

" Alors, tu en penses quoi ?"

Cat regarde la personne qui vient de lui crier sa question dans les oreilles, la juge un peu du regard avant de lui demander de qui elle parlait parce que pour l'instant, il ne pouvait que répondre que la musique était de mauvais gout.

" De Sílas, rooh."
" Je devrais en penser quelque chose ?"
" À toi de me le dire... Y'a rien entre vous ?"
" On est juste amis."

C'est ce que le coréen avait dit, après tout, alors Cat s'efforçait de faire taire son cœur et les souvenirs de ce qui avait commencé à se passer sur la terrasse, parce qu'il n'y avait rien entre eux, autre que de l'amitié.

" Mais bien sûr, juste des amis... Vous semblez tous les deux dans le déni, ça vous fait un autre point commun..."

Et le brun n'a pas le temps de répondre, se fait de nouveau attraper, embarqué vers une destination inconnue, mais cette fois-ci, un sourire orne ses lèvres, quand il sent un léger parfum venir lui chatouiller ses narines.

" Je sais..."

Est-ce qu'il pourrait dire qu'il pourrait le reconnaitre entre milles ? Peut-être pas, pourtant, Alaois savait très bien que la main appartenait à Sílas à peine avait-elle effleurer la sienne, mais il se garderait bien de le dire, se contente de profiter du moment alors que la musique change pour quelque chose de plus doux et qu'ils se retrouvent coincé. À croire que tout était prévu... Mais Cat fait abstraction de tout ça, souriant doucement à son ami quand son regard revient vers lui, sourire qui s'agrandit alors qu'il tournoie, avant de doucement se retrouver contre lui, sa tête se posant quelques instants sur l'épaule de l'autre sorcier le temps que la sensation de tournis le quitte. Finalement, sa main libre vient se glisser sur l'épaule de son danseur alors qu'il pouffe de rire à la question, redressant la tête pour mieux admirer son prince charmant.

" Si tu l'avais vu quand j'ai ramené la robe, il était dégouté et m'a demandé d'avoir la même à sa taille."

Suivant les balancements, Alaois vient replonger son regard dans celui du serveur, son cœur battant plus vite que d'habitude, mais c'est parce qu'ils avaient dansé, ce n'était pour du tout à cause de leur proximité.

" Et il m'a boudé pendant trois jours quand je lui ai dit qu'il n'était pas invité, aussi. Il m'a dit qu'il allait monter un club avec Icarus pour nous mettre des bâtons dans les roues, je ne sais pas si tu en as entendu parler...  "

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Âge : vingt-neuf ans (29.08)
Tuer le temps : c’est presque une histoire de famille à ce rythme; résident en chirurgie thoracique et cardiovasculaire au CHU d’Edimbourg, il ne vit que pour l’euphorie du bloc, du bistouri et de flanquer une bonne raclée à son paternel
Familier : Icarus est un chat européen qui adore emmerder son monde et qui est plutôt doué à la tâche (comme son sorcier, tout à fait)
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Quand bien même le projet de noyade vient rebondir sur les lèvres de Cat avec amusement, Sílas se contente d’émettre un rire aussi fin que court, en secouant lestement son menton de gauche à droite, sans revenir davantage vers son comparse mais… Peut-être aurait-il dû car, en se retournant vers lui après avoir traversé la foule, le coréen se rend compte que sa princesse d’un soir lui a été dérobée. En un coup d’oeil circulaire, il remarque rapidement que celle-ci est désormais prisonnière sur la piste de danse, entourée des amis qui sont probablement devenus les siens en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, et qui tournoient autour de son corps en semblant lui tenir une conversation pour le moins désagréable. Quoique regrettant leur présente séparation forcée, Sílas ne s’en insurge pas vraiment et trouve plutôt refuge contre le mur avec un verre pour soulager la tension nerveuse accumulée dans sa gorge, tension qui est prestement ravivée par Ewan : après un soupir, qui mêle agacement et résilience, il l’abandonne à son tour pour rejoindre la silhouette qu’il n’arrive pas à quitter des yeux depuis quelques minutes déjà.

Dans l’obscurité entravée par les néons qui traversent la pièce en répandant des rayons rouges et bleus, parmi les corps enlacés, les mains perdues et les bras en mouvements, ce sont leurs doigts qui s’accrochent l’un à l’autre comme si, même dans la pénombre, ils s’étaient cherchés et trouvés. « Je sais… » Il l’a reconnu, avant même d’entendre sa voix. C’est une idiotie, quelques lettres accrochées l’une à l’autre, une simple réponse qui, pourtant, vient effeuiller son coeur sous sa peau. Si son visage tente de ne pas réagir, sa nuque, elle, libère quelques frissons bien curieux, dont la simple présence l’irrite ; ce ne sont que quelques mots aussi risibles que simples, qui ne méritent assurément pas une telle agitation intérieure. Alors, pour tenter de chasser les pensées persistantes qui commencent à s’accumuler dans son esprit, encombrant ses yeux de quelques étincelles doucereuses, il prend une fine inspiration tout en se prêtant à la valse de ses pairs, intimant un mouvement semblable à celui qui porte une robe, avant de bien promptement le reprendre dans son étreinte, comme s’il craignait de le voir s’échapper une nouvelle fois. Mais Cat ne se libère pas de son étreinte, et revient plutôt pour se cacher contre son épaule qui l’accueille avec bonheur, octroyant une proximité qu’il tente de conserver en enlaçant sa taille de son autre bras. « Si tu l'avais vu quand j'ai ramené la robe, il était dégouté et m'a demandé d'avoir la même à sa taille. » Il s’en doutait, et n’a nul besoin de forcer son imagination pour que l’image s’impose dans son esprit, produisant un sourire plaisantin qui vient courber ses lèvres tandis qu’il baisse légèrement le menton.  « C’était la condition pour que tu sortes sans lui, que tu lui offres la même robe ? » La demande est formulée alors qu’il redresse sa figure pour permettre à ses yeux de plonger dans la mer noire qui compose ce regard qui l’intimiderait presque, parfois, mais qu’il ne peut s’empêcher de parcourir, comme un tableau de maître peint avec la plus grande des minuties. C’est lui, maintenant, qui craint la noyade.

Un flottement étrange vient le saisir alors qu’il se perd dans l’examen visuel de ce visage dont il connaît pourtant les traits, non pas sur le bout des doigts, mais sur chaque recoin de son coeur. C’est nouveau, c’est curieux, à la fois léger et lourd, comme une caresse qui viendrait déposer un poids énorme sur son palpitant, si bien que la sensation est un peu étourdissante et qu’il fronce les sourcils sans rompre leur contact visuel. « Et il m'a boudé pendant trois jours quand je lui ai dit qu'il n'était pas invité, aussi. » La voix dissipe le brouillard, et il passe la pointe de sa langue sur ses lèvres en essayant de se concentrer sur ce qu’il entend, à défaut d’écouter. « Il m'a dit qu'il allait monter un club avec Icarus pour nous mettre des bâtons dans les roues, je ne sais pas si tu en as entendu parler... » Bien plus égayé que surpris par l’annonce, il commence à onduler son menton sur la négation tout en répondant, d'une voix soufflée et douce : « Pas du tout. » Ses lippes se séparent sous l’ombre d’un sourire quand il précise : « On aurait pu l’emmener avec nous, si tu voulais… » La formulation employée par Cat lui revient peut-être en mémoire pour le frapper puisque, sans attendre de réponse, il reprend aussitôt, en comprimant ses sourcils au-dessus de ses yeux étirés. « Nous mettre des bâtons dans les roues, tu as dit ? Pourquoi ? Il ne veut pas qu’on soit - amis ? » On ne va pas évoquer le fait que, présentement, le terme lui paraît altéré par les sursauts de son coeur et par la tendresse que comporte son regard sitôt qu’il croise les traits du bouclé, duquel le coréen n’a aucune envie d’être séparé. Non, on ne l'évoquera pas.
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C'était un fait, il le reconnaitrait entre mille, même les yeux bandés, rien qu'à son touché. C'était un peu inquiétant d'ailleurs, de pouvoir reconnaitre une personne rien qu'avec ça ou bien juste par sa présence. Non, c'est parce qu'il était habitué à faire attention à tout ça à cause de ses affaires un peu louches et puis c'était tout. Le cœur d'Alaois n'a de cesse de tambouriner dans sa cage thoracique alors qu'il est ramené contre celui qui vient de le sauver des griffes de petites fouines. Pendant quelques instants, il vient oublier les millions de pensées qui lui traversent l'esprit, préfère respirer le parfum du coréen qu'il aime tant. Enfin non, qu'il apprécie un minimum, c'est le parfum qu'il aimait bien entendu, rien de plus. L'aéromancien tente de vite distraire son esprit pour éviter une nouvelle fois que son cerveau se mette à surchauffer, préfère plonger ses yeux dans celui de Sílas, bien que ça n'améliore pas son état, alors il préfère se concentrer sur la conversation, alors qu'il se perd à la contemplation des traits de son cavalier.

" Tu le connais bien, maintenant, c'est fou. Enfin il y avait deux trois conditions en plus mais ... C'était la principale."

Cat continue d'ailleurs d'expliquer les bouderies de son familier, ignorant totalement ce qui pouvait se trouver autour d'eux, préférant de loin rester là, contre le serveur, avec cette envie que ce moment ne s'arrête jamais. Même si ce que vient lui dire son ami lui fait froncer un peu les sourcils, faire la moue, ramener Bart ici ? Vraiment ?

" Je ne voulais pas. Je voulais passer du temps qu'avec toi."

C'était sorti tout seul, sans que l'enfant des vents ne pisse retenir quoique ce soit. Les mots s'étaient formés dans son esprit et avaient directement trouvé le bout de sa langue pour se faire entendre. Ce n'était pas normal de perdre le contrôle de ses propos, il n'était pas si alcoolisé que ça. Et pourtant, Sílas lui faisait aussi cet effet par moment. D'ailleurs, la suite des questions lui fait un peu détourner le regard, juste quelques instants le temps qu'il rassemble et réveille son esprit, pour éviter de dire n'importe quoi, encore une fois.

" Il est un peu jaloux, c'est vrai, ça a longtemps été lui et moi alors tu comprends..."

Non, Amis ça ne convenait pas, Bart voyait bien qu'il y avait plus que de l'amitié et il ne savait pas comment gérer cette nouvelle relation en devenir, à la fois heureux pour son sorcier, mais apeuré de peut-être le revoir souffrir d'une manière ou d'une autre.



Sílas Carter
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On peut aisément penser que Sílas est une énigme, et qu’il n’y a qu’une seule façon d’obtenir des réponses de sa part, puisque sa bouche refuse de coopérer avec son coeur : grâce à ses yeux bien trop bavards qui ne peuvent se défaire du visage de Cat, et qui retracent minutieusement chaque détail de sa figure, de la courbe de ses lèvres jusqu’à l’arrondi de son regard, en passant par ses cheveux éparpillés en boucles brunes s’entortillant autour de sa mâchoire comme des points d’interrogation, telles mille caresses interdites qui ne peuvent être pleinement apposées. La situation échappe autant à l’un qu’à l’autre mais, en cet instant, le musicien se sait détendeur d’une seule certitude : il a envie de l’embrasser, maintenant, tout de suite. C’est déconcertant de se le formuler intérieurement, et encore plus déroutant de s’autoriser à le souhaiter sans se chercher d’excuse, sans tenter de détourner ses pensées ou de s’en blâmer. Il se le reprochera sans nul doute plus tard mais, pour l’instant, suspendu aux billes émeraudes qui le tiennent captif, il ne peut songer à autre chose que l’attrait de ses lèvres pour les siennes, sans que cette envie persistante ne le pousse à les saisir. « Tu le connais bien, maintenant, c'est fou. » Est-ce vraiment si surprenant ? L’envie de connaître le goût de ses lèvres lui octroie visiblement un éclair de lucidité sur la question, puisqu’il ne peut sincèrement s’étonner, lui ; combien de temps ont-ils passé ensemble, ces dernières semaines ? Est-ce réellement ordinaire de consacrer autant d’heures à quelqu’un que l’on nomme ami ? Il n’en a peut-être pas suffisamment pour jauger de la fiabilité de son avis sur la question. « Enfin il y avait deux trois conditions en plus mais ... C'était la principale. »  « Je suis curieux d’entendre les autres. » Il est curieux de beaucoup de choses, ce soir, peut-être un peu trop d’ailleurs. « Je suis certain que l’une de ces conditions est en rapport avec ce que tu lui donnes à manger… »

Leur étreinte est un mystère dans l’incertitude, une porte ouverte qu’il est en train de pousser, sans savoir s’il souhaite réellement en franchir le pas, ou si le confort de l’ombre et du déni ne lui est pas trop confortable pour qu’il accepte d’en être arraché. Il tente de reprendre de la contenance en même temps que la conversation sur Bart, détournant un instant les yeux pour essayer de rétablir de l’ordre dans son esprit, désireux de chasser ce désir obsédant venu étourdir son esprit en même temps que son palpitant. « Je ne voulais pas. Je voulais passer du temps qu'avec toi. » Une confession échappée, libérée sans trop savoir comment ni pourquoi, mais qui vient picorer le coeur de celui qui sourit d’une manière tout à fait imperceptible, et dont la peau est parsemée de frissons tout à fait singuliers, qui semblent provenir tout droit de la chose intrépide qui martèle sous sa peau. Même s’il a envie de répondre, de partager son désir (son besoin) d’être auprès de lui, le Carter ne dit rien : il a trop peur de se lancer contre un mur pour oser sauter le pas. Parce qu’il pourrait le laisser parler, ce coeur qui a tant de choses à dire, mais ses lippes se serrent l’une contre l’autre sans laisser filtre la moindre syllabe : encore une fois, ce sont ses yeux qu’il faut regarder pour comprendre à quel point les paroles d’Alaois viennent l’émouvoir. C’est qu’il ne savait pas, lui, qu’il avait besoin que quelqu’un, quelque part, veuille passer du temps avec lui.

« Il est un peu jaloux, c'est vrai, ça a longtemps été lui et moi alors tu comprends… » Il croit comprendre du moins, et cela se traduit par un bref hochement de tête tandis qu’il en revient à son visage, bien qu’il s’efforce de ne pas se laisser envahir par le sous-entendu de cette phrase ; est-ce qu’il doit se sentir, d’une manière ou d’une autre, inclut dans l’équation du duo ? Il n’est pas sûr d’identifier le message, Sílas, ou du moins il n’est pas sûr de vouloir l’identifier, craignant peut-être qu’à force d’insister, le cadenas imposé à son coeur cède. « Il a l’impression que je m’incruste un peu trop souvent entre vous. » Est murmuré avec un sourire en coin, tandis que la musique prend fin, et qu’une autre succède : davantage entraînante et disco-pop, elle oblige le pianiste à se dérober pour rejoindre les fêtards qui ne dansent pas, en espérant pour que cela soit suffisant à dissiper ses drôles de pensées qui, il le pense encore, n’ont pas lieu d’être. Ils sont amis, si tenté est qu'on puisse partager une quelconque amitié avec son patron. Rien de plus.
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Un autre monde, c'est là où se trouve Alaois actuellement. Dans un autre monde avec Silas, dont il ne cesse d'observer chaque trait, chaque détail qu'il pouvait voir à la lumière des néons, comme s'il voulait l'imprimer à tout jamais dans son esprit. Il s'amuse même à tenter de devenir les émotions qui passent dans les prunelles du coréen et si parfois, il a l'impression d'y voir de l'envie, du désir, Cat ne cherche pas plus loin, préfère se dire que c'est lui qui imagine tout ceci, parce qu'après tout, il n'était qu'amis.

" Tu as totalement raison, je lui dois aussi une pizza par semaine pendant un mois et attention, pas une pizza faite maison, une de la pizzeria du coin, parce que, je cite : elles sont super grasses et délicieuses " Bien sûr, ça le fait rire même s'il affiche une mine un peu déconfite. Mine qui ne reste pas longtemps quand il retrouve le regard de son cavalier. " Ensuite, je dois aller lui racheter des bombes de bain, ne lui dit pas, mais c'était déjà dans ma liste de choses à faire alors forcément, j'ai accepté. Et puis, la dernière, c'est qu'il veut venir un peu plus souvent au bar, j'ai accepté à condition qu'il soit sage."

Et puis, la conversation dévie, encore une fois, alors que les mots lui échappent, venant former une confession que le patron aurait aimé garder secrète. Son cœur bat vite, plus vite encore lors qu'il perd le contact visuel qu'il avait, bien trop honteux ou timide d'un coup. Heureusement, il se rattrape, enfin, c'est ce qu'il pensait, parce que la réponse de l'autre aéromancien assortit à son sourire en coin fait chavirer le palpitant du sorcier.

"Après, ce n'est pas dérangeant. Il t'apprécie aussi."

Et puis la musique change et c'est peut-être tant mieux ainsi, au moins, le bouclé se réveille, ne laisse plus son esprit s'embrumer après tout ce qui vient de se passer. C'est avec les idées un peu plus claires que la soirée se poursuivra, dans la bonne humeur et quelques piques concernant les choix de musique. Pourtant, à peine Alaois aurait-il retrouvé son lit que les pensées intrusives reviendront, venant tenter de déchirer le voile de déni qui emprisonnait son cœur et son esprit concernant son fameux chevalier servant d'une soirée.


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